Dauphiné Libéré
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Dans ce quartier paisible, le silence plane. Jeanne*, vêtue d’une veste polaire grise zippée jusqu’en haut, sort de chez elle. Elle habite ici depuis plus de quarante ans. Cette retraitée s’approche timidement du bâtiment, situé en face du sien. Au pied de l’immeuble de quatre étages, une dizaine d’extincteurs, utilisés par les voisins, sont entassés les uns sur les autres. À proximité, des bouts de bois carbonisés et des tuiles éclatées en mille morceaux. « J’ai dû prendre un médicament pour dormir, sinon je n’aurais pas fermé l’œil de la nuit. C’est horrible ce qui s’est passé », confie-t-elle encore bouleversée.
People. Les managers de Kendji Girac «regrettent» que le procureur ait «divulgué» sa vie privée
Kendji Girac, blessé par balle lundi à Biscarrosse (Landes), voulait « simuler un suicide » pour faire peur à sa compagne qui menaçait de le quitter après une dispute, a déclaré jeudi le procureur de Mont-de-Marsan lors d'une longue conférence de presse, revenant sur les circonstances du drame.
Dans un communiqué transmis à l'AFP, les managers de Kendji Girac ont « regretté », que le magistrat « ait cru bon de divulguer l'intimité de la vie privée et familiale de Kendji Girac, qui est un homme discret et réservé par nature, et ce sans nécessité au regard de l'enquête en cours ».
Vianney s'indigne sur les réseaux sociaux
Pointant l'absence de « poursuite » de concernant le chanteur, ils demandent désormais « aux médias » « de respecter le temps de convalescence » du chanteur.
De son côté, le chanteur Vianney a ironisé sur les propos d'un « procureur multi-casquettes », espérant « que la presse people lui enverra des fleurs », a-t-il écrit sur X (ex-Twitter).
Haute-Savoie. L’adolescent voulait perpétrer un attentat suicide : Marignier sous le choc
« T’as pas entendu à la télé hier ? » Ce jeudi matin, rares sont les habitants de Marignier à ne pas être au courant. Mardi 23 avril, un jeune homme de 16 ans a été interpellé au domicile de ses parents puis placé en garde à vue dans le cadre d’une enquête pour “participation à une association de malfaiteurs terroriste criminelle en vue de la préparation de crimes d’atteintes aux personnes”.
Repéré sur le réseau social Telegram, l’adolescent cherchait à se procurer du matériel pour fabriquer une ceinture explosive. Il aurait voulu commettre un attentat suicide durant les Jeux olympiques de Paris.
Dans la petite commune de 6 500 habitants, l’information a rapidement circulé. Ceux qui ne l’ont pas appris la veille, par le biais des médias, ont eu tôt fait de comprendre...
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