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En direct. Gouvernement : Emmanuel Macron a « pris acte » de la démission de Michel Barnier

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Pour la première fois depuis 1962, un gouvernement français a été renversé à l'Assemblée nationale. La motion de censure déposée par le Nouveau Front populaire a été votée par 331 députés, très au-dessus de la majorité absolue de 288 députés.Le gouvernement est désormais démissionnaire, en charge des seules affaires courantes. Michel Barnier a rendu sa démission ce jeudi matin, lors d'un entretien d'une heure avec Emmanuel Macron. Le président de la République doit de son côté s'adresser aux Français à 20 heures. S'il a exclu toute démission, Emmanuel Macron pourrait annoncer rapidement le successeur de Michel Barnier. Comme cet été, les représentants de la gauche l'appellent à nommer un Premier ministre issu du Nouveau Front populaire.
Suivez l'actualité politique en direct :

Les temps forts

Retrouvez ci-dessous les informations essentielles de ce direct. Masquer les temps forts
16:42

Motions de censure : le vote des députés à la loupe

Le gouvernement de Michel Barnier est tombé mercredi soir, mais qui est responsable de sa chute ? Découvrez qui a décidé quoi en quelques clics, grâce à nos infographies.>> Notre article à lire ici.
16:34

Nomination à Matignon : Lucie Castets n'en fait pas « une question de personne »

Au lendemain de la censure du gouvernement Barnier, Lucie Castets estime nécessaire « un changement de cap politique ». « Je dis au président de la République qu'il faut reconnaître le résultat des élections », a-t-elle martelé en marge d'un déplacement à Tours (Indre-et-Loire) consacré aux services publics. « Je l'invite à repartir de ces constats pour désigner un gouvernement issu de la gauche, du Nouveau Front populaire. »Désignée par le Nouveau Front populaire comme candidate pour Matignon au lendemain des élections législatives en juillet, Lucie Castets a assuré cette fois « ne pas en faire une question de personne ».
16:17

Que va dire Jean-Luc Mélenchon ce soir au JT ?

En visite en Arabie saoudite, Emmanuel Macron a évacué l'idée d'une démission. Qu'à cela ne tienne, Jean-Luc Mélenchon sera au journal télévisé de TF1 ce jeudi soir pour réclamer le départ du président, devant des millions de spectateurs. « Il va avoir une parole rassurante, on veut montrer qu'on a un programme et que c'est Macron qui crée le chaos et pas nous », explique un proche du triple candidat à la présidentielle.LFI s'appuie notamment sur un sondage Elabe publié la semaine dernière : 63 % des Français souhaitaient la démission du président en cas de censure du gouvernement Barnier. En cas de présidentielle anticipée, les Insoumis ne s'en cachent pas : ils se préparent à partir seuls, derrière un candidat qui serait, naturellement, Jean-Luc Mélenchon.
15:52

Jean-Noël Barrot en appelle à « l'union des forces républicaines »

Le ministre démissionnaire des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot en appelle à « l'union des forces républicaines », au lendemain de la censure du gouvernement auquel il appartenait.« La guerre est à nos portes », rappelle-t-il, évoquant des « réalités » qui ne sont « ni théoriques, ni lointaines », et « exigent que la France puisse les affronter dans l'unité ». En appelant au « difficile » « rassemblement le plus large possible des dépositaires de la souveraineté populaire », Jean-Noël Barrot estime que « notre pays le mérite ».
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Quels avantages ont les ministres après avoir démissionné ?

Avec la censure du gouvernement votée le 4 décembre 2024 par l'Assemblée nationale, Michel Barnier et son gouvernement ont été contraints à la démission. Quels avantages auront-ils après avoir quitté leur poste ? La réponse en vidéo :
15:10

Emmanuel Macron a « pris acte » de la démission de Michel Barnier

Le président de la République a « pris acte » de la démission de son Premier ministre et du gouvernement, annonce l’Élysée.Les deux hommes se sont entretenus ce jeudi matin pendant près d'une heure, quand le Premier ministre a remis sa démission. « Michel Barnier assure, avec les membres du gouvernement, le traitement des affaires courantes jusqu'à la nomination d'un nouveau gouvernement », précise la présidence française.Emmanuel Macron doit s'exprimer ce jeudi à 20 heures dans une allocution télévisée.
14:56

Le PS tend la main à Macron, Éric Coquerel en appelle à « la raison »

Trois leaders socialistes ont écrit un long courrier à Emmanuel Macron pour lui demander de les recevoir. Signé d'Olivier Faure (Premier secrétaire du PS), de Patrick Kanner (chef des sénateurs PS) et de Boris Vallaud (chef des députés PS), il pose l'espoir de voir nommer un Premier ministre issu de la gauche (lire plus bas).
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« Je les appelle à revenir à la raison au lieu de croire qu'on pourrait créer une coalition avec l'accord de Monsieur Macron. Je ne sais pas très bien sur quel programme », tance le député LFI Éric Coquerel sur BFMTV.  « Moi, ce que j'ai vu à l'Assemblée, c'est un bloc central qui n'a accepté aucun compromis », estime encore le président de la commission des Finances. La France insoumise ne croit pas qu'Emmanuel Macron décide de nommer un Premier ministre issu du Nouveau Front populaire et réclame sa démission.
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« Je ne comprends pas » : Élisabeth Borne critique le vote de François Hollande

L'ancienne Première ministre Élisabeth Borne était l'invitée de Face aux Territoires, ce jeudi sur TV5 Monde. Dans cette émission réalisée en partenariat avec le groupe EBRA auquel appartient votre journal, l'ex-locataire de Matignon a vivement critiqué le choix de l'ex-président de la République François Hollande de censurer le gouvernement de Michel Barnier.« Je ne comprends pas, parce que je pense qu'il mesure pleinement la difficulté dans laquelle entre dans notre pays. Je pense qu'on peut attendre autre chose d'un ancien président de la République », a-t-elle lancé.
14:22

Roland Lescure n'exclut pas un Premier ministre de gauche

L'ex-ministre de l'Industrie propose dans Libération une « coalition du PCF à LR », avec un Premier ministre qui ne serait « pas forcément » issu du « socle commun ». Comprendre : de gauche - mais pas LFI.Celui dont le nom a circulé peu après la censure pour succéder à Michel Barnier « croit très fort que ça ne doit pas venir de quelqu’un de la majorité [le socle commun, NDLR] », selon son entourage.
Infographie

Votre député a-t-il voté la censure ?

Votre député a-t-il voté pour la motion de censure qui a renversé le gouvernement Barnier ? Découvrez-le avec notre infographie, en faisant une recherche par nom, département, etc.
14:08

La bourse de Paris toujours en hausse

Pas - encore  ? - de « tempête économique » ou « financière » : au lendemain de la censure du gouvernement Barnier, la bourse de Paris déjoue les Cassandre, et s'affiche en hausse. Dans la foulée des records de la veille à la bourse de New York, l'indice CAC 40 progresse. Il était déjà en hausse mercredi, avec +0,66% à la clôture.
13:52

Taxes sur l'aérien : les compagnies aériennes vont rembourser

C'est une conséquence assez inattendue mais obligée de la censure du gouvernement Barnier, avant tout vote d'un budget pour 2025 : l'augmentation de la taxe aérienne que le texte devait instaurer ne s'appliquera pas. Les compagnies aériennes vont rembourser, promettent-elles, les clients qui ont déjà réservé leurs billets depuis novembre pour partir en 2025. >> Plus d'informations dans cet article.
13:18

Cécile Duflot appelle à une coalition « des écologistes au bloc central »

L'ancienne ministre écologistes du Logement, désormais directrice de l'ONG Oxfam, plaide pour la « constitution d’une coalition climat et sociale » qui « doit aller des écologistes au bloc central ».Dans un entretien au Monde, Cécile Duflot estime que « dans le pays, elle doit rassembler les deux tiers des Français qui refusent la fatalité ». Elle préconise enfin l’instauration du scrutin proportionnel pour extirper le pays de l’impasse politique.
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Emmanuel Macron va déjeuner avec François Bayrou

Le Parisien rapporte qu'Emmanuel Macron va déjeuner avec le maire de Pau, allié de la première heure du président. Son nom circule actuellement pour remplacer Michel Barnier à Matignon.
12:36

Laurent Wauquiez réunit son groupe à 15 heures

Le député LR Laurent Wauquiez va réunir les députés de son groupe à l'Assemblée nationale, la Droite républicaine, cet après-midi à 15 heures, selon une information de BFMTV.
12:31

Laurence Rossignol (PS) réclame « un Premier ministre de gauche »

La sénatrice du Val-de-Marne souhaite la nomination d'un Premier ministre de gauche et un accord de non-censure entre les partis du « front républicain ». Elle demande « un Premier ministre de gauche, appuyé par une majorité du front républicain ».
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Raphaël Glucksmann veut une « plateforme minimale » du front républicain

Photo Sipa/Alain Robert Leader de Place publique, Raphaël Glucksmann appelle dans une tribune parue dans Le Monde à la construction, après la démission de Michel Barnier, d'une « plateforme minimale » entre les forces politiques ayant fait barrage à l'extrême droite aux dernières élections législatives.Dans cette tribune signée avec l'eurodéputée Aurore Lalucq et le député Aurélien Rousseau, membres de son parti, Raphaël Glucksmann, nouvelle figure de la social-démocratie, fustige les forces politiques « incapables d'accepter réellement l'idée de compromis entre rivaux et adversaires ». Raphaël Glucksmann lance donc un appel aux « forces politiques ayant œuvré au front républicain en juillet », en reprochant au passage aux LR d'avoir « rejeté ce barrage républicain ».
11:53

Gabriel Attal réunit les députés EPR à 16h

Après avoir rassemblé les cadres du parti ce matin, Gabriel Attal va réunir les députés d'Ensemble pour la République (EPR), dont il est le président de groupe à l'Assemblée, à 16h cet après-midi.
11:49

« Je ne suis candidat à rien », affirme Sébastien Lecornu

Alors que son nom circule comme potentiel successeur de Michel Barnier, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a assuré n'être « candidat à rien » au micro de RTL. 
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Marine Tondelier, invitée du 13h de TF1

La secrétaire nationale des Écologistes sera l'invitée du JT de 13H de TF1. Elle répondra aux questions de Marie-Sophie Lacarrau.
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Michel Barnier a quitté l'Élysée après plus d'une heure d'échange avec le président

Michel Barnier, qui devait remettre la démission de son gouvernement à Emmanuel Macron, a quitté jeudi l’Élysée au terme d’un entretien d’une heure avec le chef de l’État.
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Le président a raccompagné sur le perron le premier ministre renversé par les députés. Michel Barnier s’est ensuite encore attardé plusieurs minutes pour discuter avec le secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, avant de partir en voiture.
11:05

Futur gouvernement : Violette Spillebout appelle les socialistes au compromis

Pour mener à bien les futures négociations, la députée EPR du Nord a demandé des renoncements de parts et d'autres pour la constitution d'un prochain budget. Elle a ciblé en particulier les socialistes qui « doivent accepter que tout le programme du NFP ne sera pas mis en œuvre ». 
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Gérard Larcher s'entretiendra avec Emmanuel Macron à 15h

Après la présidente de l'Assemblée nationale, Emmanuel Macron recevra le président du Sénat, Gérard Larcher, à 15h.
10:43

Le fils de Michel Barnier félicite son père sur les réseaux sociaux

Nicolas Barnier, fils du Premier ministre démissionnaire, a publié sur X un message destiné à son père  : Fier de toi. Une mission s’arrête, une aventure commence ».Nicolas Barnier est à la tête de l'Agence de la ruralité d'Île-de-France
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Censure : les réactions des voisins européens

Les partenaires européens s'inquiètent de l'image renvoyée par la France sur la scène internationale. Le président français, Emmanuel Macron, sort affaibli de la séquence politique.
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Attal réunit ses cadres à 11h, Braun-Pivet sera reçue à l'Élysée à 12h15

Gabriel Attal, président de Renaissance, réunit les cadres de son parti à 11h : Bruno Le Maire, Élisabeth Borne, Gérald Darmanin, Yaël Braun-Pivet, Valérie Hayer, François Patriat, et Franck Riester.La présidente de l'Assemblée nationale sera ensuite reçue par Emmanuel Macron à 12h15.
09:49

Michel Barnier est à l'Élysée pour remettre sa démission

Au lendemain du vote de la motion de censure mercredi soir, le Premier ministre Michel Barnier est attendu à l'Élysée ce matin à 10 heures, afin de remettre la démission de son gouvernement à Emmanuel Macron, comme le prévoit l'article 50 de la Constitution.En parallèle, le président de la République poursuit ses consultations pour choisir un Premier ministre : il reçoit à l’Elysée jeudi des responsables politiques et la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet. Il doit s'exprimer ce jeudi soir à 20 heures dans une allocutions aux Français.
09:46

LFI censurera « automatiquement » un Premier ministre pas issu du NFP

La cheffe des députés LFI Mathilde Panot assure que La France insoumise « censurera automatiquement le gouvernement » si Emmanuel Macron ne nomme pas un Premier ministre issu du NFP, sur LCI. « Il peut y avoir de nouveau le président de la République qui vient avec un nouveau nom. Tous les noms qui sont évoqués viennent du socle commun, qui sera de nouveau renversé tôt ou tard, donc la seule manière de sortir de l'impasse politique qu'Emmanuel Macron a lui-même créé avec cette dissolution, c'est que le peuple tranche dans les urnes », poursuit-elle.
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« Je ne suis pas un putschiste » : Éric Ciotti a voté la censure d'un « mauvais budget »

Le président de l’Union des droites pour la République, rallié au RN de Marine Le Pen, assure sur Europe 1 avoir essayer « d'éviter la chute » de Michel Barnier. « Moi, je me suis basée sur la Constitution, ce que nous avons voulu faire, ce n’est pas s’opposer à une personne, mais nous avons voulu faire chuter un texte, un mauvais budget », déclare Éric Ciotti.Un budget qu’il juge « socialiste », avec une « avalanche d’impôts » qui ne « faisait aucune économie » : « Je suis dans l’opposition, et je ne soutiens pas n’importe quoi », souligne l’ancien président des LR, ajoutant qu’il aimerait qu’un nouveau Premier ministre soit nommé ce jeudi soir. « Moi, je ne suis pas un putschiste », conclut-il.
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Bayrou, Lecornu, Baroin... les noms qui circulent pour Matignon

Qui pour reprendre le flambeau après le passage éclair du Premier ministre de 73 ans ? Plusieurs noms circulent. On attend un remplacement rapide. Ce jeudi soir, Emmanuel Macron s'adressera aux Français, 24 heures après le vote de la motion de censure qui a renversé le gouvernement de Michel Barnier, qui avait tenté lundi le pari du 49.3 pour faire passer le budget de la Sécu. Qui pour reprendre le flambeau après le passage éclair du Premier ministre de 73 ans ? >> Notre article ici.
09:22

« Recettes, retraite, pépètes » : les « trois points » de Ruffin pour « retrouver la confiance »

Quelques heures après la censure du gouvernement Barnier, le député de la Somme François Ruffin affirme que « le souci » n'est pas « de savoir le qui, c'est le quoi et comment on retrouve la confiance des Français » : selon lui, cela tient en trois points: « recettes, retraite, pépètes », a-t-il lancé dans la matinale de TF1.
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« Les recettes, on est dans une crise fiscale, car Bruno Le Maire et Emmanuel Macron ont creusé le déficit à la pelleteuse depuis sept ans. Il faut retrouver des recettes fiscales. Le capital doit être taxé au moins à l'égal du travail. Les petits doivent payer petit et les gros, gros. Il faut le retour de l'impôt à la fortune », a-t-il précisé.Avant d'ajouter qu'il faut abroger la réforme des retraites, « une réforme antisociale », et que les Français « doivent pouvoir vivre de leur salaire et pas en survivre ».
09:19

Pour Bertrand, les « extrêmes, LFI et le RN » n'ont « en tête que leurs intérêts »

Le président LR des Hauts-de-France évoque sur BFMTV et RMC sa « honte » et sa « colère » après la censure du gouvernement de Michel Barnier. Il déplore que les « extrêmes, LFI et le RN » n'ont « en tête que leurs intérêts »,ceux « du pays ne comptent pas » pour eux, selon lui.« Aujourd'hui, c'est comme si les deux extrêmes étaient devenus le centre de la vie politique », déclare-t-il. « Ils veulent accélérer le calendrier politique », grâce à une « collusion des extrêmes » qui a la même logique « du chaos ».
09:17

Appels à la démission de Macron : Bertrand dénonce « un coup d’État rampant »

« Celles et ceux qui veulent le départ du chef de l’État se rendent complices d’un coup d’État rampant », déclare Xavier Bertrand sur BFMTV et RMC ce jeudi matin. Plusieurs personnalités politiques, essentiellement issues des rangs de LFI, appellent en effet à la démission d’Emmanuel Macron.
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Le président LR des Hauts-de-France estime que le « chef de l’État est un symbole de la stabilité dont on a besoin compte tenu de la crise que l’on traverse », et appelle le président à nommer rapidement un Premier ministre.
09:00

« Je veux gouverner », lance Olivier Faure

« Il y a divergence » avec la France insoumise, assume ce matin sur France Inter le Premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure, avant d'ajouter: « Je ne veux pas simplement résister et protester, je veux gouverner ».
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« Nous sommes prêts à gouverner. Nous avons gagné le 7 juillet. Nous avons la légitimité pour que cela se fasse sur nos bases. Ensuite texte par texte nous sommes prêts aux dialogue », détaille-t-il.Il demande à Emmanuel Macron « d'appeler, dans la journée, les chefs de partis et des groupes parlementaires » - dont lui -, à l'exception de Marine Le Pen.
Décryptage

« Les Français sont mécontents d’une démocratie inefficace »

Face à l’impuissance publique et au chaos politique monte chez les Français une exigence d’efficacité et d’autorité, analyse le politologue Luc Rouban (Sciences Po-Cevipof) : « La France est l’un des pays d’Europe dont les citoyens sont les plus mécontents de la démocratie. Ils sont mécontents d’une démocratie inefficace [...]. C’est une demande d’efficacité, d’action directe, qui est portée par le RN, et qui était déjà celle des gilets jaunes. Et qui était aussi à l’origine de l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République en 2017 », explique-t-il.> L'entretien complet à lire ici
08:45

Yaël Braun-Pivet demande à Macron de nommer « rapidement » un Premier ministre

La présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet demande ce jeudi matin au président de la République de nommer « rapidement » un Premier ministre, afin de « ne pas laisser s'installer le flottement » 
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Si un nouveau gouvernement est rapidement nommé, la présidente de l'Assemblée a souhaité sur France inter qu'il poursuive « la navette parlementaire sur le projet de loi de sécurité sociale qui n'a pas été adopté avec l'adoption de la motion de censure. [...] Il est encore temps de doter la France d'un budget avant la fin de l'année [...] si à nouveau tout le monde se met autour de la table », a expliqué la présidente de l'Assemblée nationale.
08:21

« Pas question » : Manuel Bompard rejette l'hypothèse d'une coalition avec les macronistes

Invité de Thomas Sotto sur RTL, le coordinateur national de la France Insoumise a confirmé « qu'il n'était pas question d'une grande coalition avec le bloc macroniste ».
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Laurent Jacobelli (RN) : « Ce n'est pas la peau de Michel Barnier qui était en cause »

Sur Europe 1, le député de Moselle est revenu sur le vote de la motion de censure, affirmant que « ce n'est pas la peau de Michel Barnier qui était en cause ». « Le seul moyen de s'opposer à ce budget, c'était la motion de censure », a-t-il ajouté.
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Même exclu du futur gouvernement, LR « ne [le] fera pas tomber », affirme Wauquiez

LR « ne fera pas tomber un gouvernement » même s'il n'y participe pas, affirme Laurent Wauquiez, président du groupe Droite républicaine à l'Assemblée nationale. « On ne sera pas dans le blocage, on ne sera pas dans la stratégie du pire [...], on ne fera pas tomber le gouvernement, on ne fera pas ce qu’a fait Marine Le Pen », a dénoncé le député de Haute-Loire sur France 2, qui conditionne la participation de LR à un futur gouvernement en fonction des priorités qui seront mises sur la table.
07:48

Censure : inquiétude de l'agence Moody's sur la France

L'agence de notation Moody's estime que la chute du gouvernement « réduit la probabilité d'une consolidation des finances publiques » de la France et « aggrave l'impasse politique du pays » : « Ce vote reflète l'environnement politique fracturé du pays » et « cet événement est négatif pour le crédit », soit la note du pays, indique Moody's, une des trois agences de notation mondiales.« Actuellement, nous nous attendons à ce que le déficit annuel du pays atteingne 6,3% du PIB en 2024, 5,3% en 2025 et 4,7% en 2026, bien au-dessus des plafonds de l'Union européenne », écrit Moody's.Moody's, tout comme Fitch, ont abaissé en octobre un avertissement à la France en abaissant la perspective à négative. Le 30 novembre dernier, S&P a elle maintenu inchangées la note « AA- » du pays ainsi que sa perspective stable... mais c'était avant la censure.
Décryptage

Un gouvernement démissionnaire qui « gère les affaires courantes » : en quoi ça consiste ?

Le gouvernement de Michel Barnier a été renversé mercredi soir. Photo Sipa/Olivier Juszczak Censuré, le gouvernement de Michel Barnier est de facto démissionnaire. Il va disposer d'un pouvoir restreint pour expédier les affaires courantes. Dans l’impossibilité de défendre le projet de budget, il pourra toutefois faire voter des mesures financières d'urgence.>> Notre article à lire ici
07:23

Une « période d'incertitudes » s'ouvre : la presse s'inquiète après la chute du gouvernement

« Quelles suites après la chute de Barnier? », titrent les Dernières nouvelles d'Alsace. « Et maintenant? », s'interroge l'Est Eclair en Une. Même son de cloche au Parisien, avec une photo du président Emmanuel Macron et de M. Barnier, où l'on peut distinguer le second à l'arrière-plan, faisant écho à la titraille « Après la censure le grand flou ». Au diapason, la presse française s'interroge sur la suite après la chute du gouvernement.Notre confrère du Républicain Lorrain tire un bilan critique de la séquence d'hier  : « Les macronistes et LR peuvent vainement dénoncer le « cynisme » de la cheffe de l'extrême droite, ils devraient d'abord s'en prendre à eux-mêmes. Dès le premier jour, ils se sont montrés incapables de s'accorder. La solidarité gouvernementale n’a jamais été au rendez-vous. Retour donc à la case départ. »
07:05

Michel Barnier va remettre la démission de son gouvernement ce matin

Après le vote de la motion de censure hier soir, le Premier ministre est attendu à l'Élysée ce matin à 10h pour remettre la démission de son gouvernement à Emmanuel Macron, comme le prévoit l'article 50 de la Constitution.
07:00

L'essentiel de la journée de mercredi

331 députés ont voté la censure, le gouvernement Barnier est renversé. Le Premier ministre Michel Barnier, qui avait engagé lundi la responsabilité de son gouvernement pour faire passer le budget de la Sécu, a raté son pari : la motion de censure déposée par le Nouveau Front populaire a été votée également par 331 députés. Une majorité de 288 députés était nécessaire. Le gouvernement Barnier est désormais considéré comme démissionnaire.« Emmanuel Macron est le grand responsable de la situation actuelle », estime Le Pen. Sur le plateau de TF1, la leader du Rassemblement national a désigné le chef de l’État comme le grand « responsable de la situation actuelle », l'accusant notamment de la « déconstruction de pans entiers de notre pays » et pointant la « précarité » et la « désindustrialisation ».« Macron ne tiendra pas trois ans », assure Mélenchon. « La censure inéluctable a eu lieu. Même avec un Barnier tous les trois mois, Macron ne tiendra pas trois ans », assure Jean-Luc Mélenchon sur le réseau social X.Macron s'adressera aux Français jeudi à 20h. Emmanuel Macron « s'adressera aux Français » dans une allocution jeudi à 20h au lendemain de la chute du gouvernement de Michel Barnier, a annoncé l’Élysée. L'entourage du chef de l’État n'a pas fourni de précisions sur le moment auquel un nouveau Premier ministre serait nommé.Le récit d'une journée historique à l'Assemblée. Les voix additionnées des députés du Nouveau Front populaire et du Rassemblement national ont permis ce mercredi le vote d’une motion de censure provoquant la chute du gouvernement. Retour sur une opération inédite depuis 62 ans au palais Bourbon, où les échanges ont été à la hauteur de ce moment historique. >> Notre article à lire ici.
07:00 Bonjour à toutes et à tous, bienvenue dans notre direct consacré à l'actualité politique. var containsAtLeastOneTwitterComponent = true;
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Isère. Meurtre de Victorine : la réclusion criminelle à perpétuité requise à l’encontre de Ludovic Bertin

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Ce jeudi après-midi, au neuvième jour du procès de Ludovic Bertin, accusé du meurtre précédé d’une tentative de viol de Victorine Dartois le 26 septembre 2020 à Villefontaine, l’avocate générale Françoise Benezech s’est levée pour requérir une peine de réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une période de sûreté de 25 ans à l’encontre de l’homme de 29 ans.

« C’est parce qu’il a voulu et commence à la violer qu’il a tué Victorine Dartois »

Jugé depuis le 25 novembre dernier devant la cour d’assises de l’Isère, Ludovic Bertin répond également d’un viol dénoncé par une autre jeune femme. Un viol dont « Vicky » dit avoir été victime en septembre 2018, soit deux ans avant la mort de Victorine Dartois, au retour d’une soirée en boîte de nuit. « Les faits commis au préjudice de « Vicky » permettent d’éclairer les faits commis au préjudice de Victorine Dartois », analyse l’avocate générale pour qui, « c’est parce qu’il a voulu et commence à la violer qu’il a tué Victorine Dartois ». « Le meurtre et la tentative de viol sont absolument indissociables », a résumé Françoise Benezech.Le verdict est attendu ce vendredi.
Au sommaire du dossier
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Politique. Thierry Kovacs lâche la vice-présidence de la région Auvergne Rhône-Alpes

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Le maire de Vienne et président de Vienne Condrieu Agglomération Thierry Kovacs a annoncé ce jeudi 5 décembre sa décision de démissionner de la vice-présidence de la région Auvergne Rhône-Alpes. Nommé en juin 2022 par Laurent Wauquiez puis maintenu par Fabrice Pannekoucke, l’élu avait en charge l’environnement et l’écologie positive.Dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, il explique vouloir se consacrer totalement à son territoire : « J’ai toujours défendu avec force les valeurs et les convictions auxquelles je crois profondément. J’ai toujours refusé de renier celles-ci contre un poste ou une fonction. Je suis ainsi fait ! L’état catastrophique des finances publiques après 7 ans de Macronisme oblige toutes les collectivités à devoir faire des efforts extrêmement importants […] » Il poursuit : « Nous devons tous regarder comment faire mieux, ou autant, avec moins. C’est ce que je m’emploie à faire aussi bien en tant que maire de Vienne, président de Vienne Condrieu-Agglomération ou que vice-président de la Région. J’estime que ces nouvelles contraintes lourdes ne pourront plus être menées de front ensemble. Je souhaite que Vienne et son agglomération puissent faire face aux conséquences de ces rigueurs budgétaires nationales en déployant toute mon énergie pour faire aboutir nos projets et pour que notre ville et notre agglomération continuent de rayonner. »
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