Il n’est pas possible de clore le débat sur la pratique du pouvoir par le pape François, réputé trop centralisateur, sans connaître la manière dont il sera exercé par son successeur, Léon XIV, explique l’économiste Pierre-Yves Gomez dans sa chronique.
Le président de la République marginalise la question des finances publiques pour mettre sous les projecteurs la question démocratique, constate dans sa chronique Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».
Joëlle Ducos et Denis Kambouchner expriment, dans une tribune au « Monde », leurs doutes sur la réforme de la formation des enseignants et le déplacement du concours après un bac + 3. Pour les deux universitaires, la mise en place de cette nouvelle mouture manque de concertation, alors que les défis à relever sont « gigantesques ».