17.04.2024 à 16:11
Rédaction Toute l'Europe
Le point commun central aux pays de l’UE ? La démocratie. Appliquer la séparation des pouvoirs, respecter les droits de l’Homme et organiser les élections au suffrage universel sont des conditions indispensables pour faire partie de l’Union. 27 régimes politiques Mais au-delà de ces règles générales, les Etats gardent chacun une organisation politique qui leur […]
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Le point commun central aux pays de l’UE ? La démocratie. Appliquer la séparation des pouvoirs, respecter les droits de l’Homme et organiser les élections au suffrage universel sont des conditions indispensables pour faire partie de l’Union.
Mais au-delà de ces règles générales, les Etats gardent chacun une organisation politique qui leur est propre. Première différence majeure : 6 pays sont des monarchies, dans lesquelles le souverain ne détient plus aucun pouvoir exécutif. A l’inverse, les 21 autres Etats sont des républiques.
Ensuite, le mode d’élection des représentants du peuple. Seul un pays vote au scrutin majoritaire : la France (la Hongrie utilise quant à elle un système hybride, qualifié de “majoritaire mixte”). Les autres pays de l’UE élisent leurs parlementaires à la proportionnelle. Ou au moins avec une dose, plus ou moins forte, de proportionnelle. Cela oblige souvent les différents partis politiques à coopérer, puisqu’ils sont en général nombreux à être représentés au Parlement national, sans que l’un d’eux ne dispose forcément de la majorité.
Troisième différence de taille entre les pays européens : la répartition des pouvoirs entre le chef de l’Etat (monarque ou président) et le chef du gouvernement (Premier ministre). Dans la grande majorité des pays de l’UE, c’est le Premier ministre qui est le personnage le plus important. La France est l’une des rares exceptions. Lors des réunions des dirigeants de l’UE à Bruxelles (au Conseil européen), on ne trouve que 4 présidents, contre 23 chefs du gouvernement (Premier ministre ou chancelier).
Les pays européens divergent aussi sur leur couleur politique. Les électeurs ne votent ni en même temps pour choisir leur gouvernement, ni de la même façon. L’alternance politique est la norme en Europe, comme dans les autres démocraties.
Actuellement, la grande majorité des dirigeants européens sont issus de trois grandes familles politiques :
Par ailleurs, l’Italie et la Hongrie sont dirigées par des personnalités issues de la droite populiste, tandis que la Slovaquie ou la Roumanie ont à leur tête des coalitions difficilement classables.
Outre les questions économiques, sociales ou sociétales, la construction européenne est l’un des grands points de désaccord entre toutes ces tendances politiques.
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17.04.2024 à 15:57
Rédaction Toute l'Europe
Le 26 mai 2019, après une journée électorale ayant enregistré une participation en forte hausse par rapport à 2014 (50,12 % de participation, +7,69 points), six listes ont obtenu un score supérieur à 5 %, nécessaire pour envoyer des représentants au Parlement européen. Les résultats définitifs du Ministère de l’Intérieur ont donné le Rassemblement national (RN) en première […]
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Le 26 mai 2019, après une journée électorale ayant enregistré une participation en forte hausse par rapport à 2014 (50,12 % de participation, +7,69 points), six listes ont obtenu un score supérieur à 5 %, nécessaire pour envoyer des représentants au Parlement européen.
Les résultats définitifs du Ministère de l’Intérieur ont donné le Rassemblement national (RN) en première position avec 23,34 % des voix. Le parti nationaliste a ainsi obtenu 22 sièges au Parlement européen (puis 23 après la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne).
Arrivée en deuxième position du scrutin, la liste de La République en marche (LaREM, devenue depuis Renaissance) a récolté 22,42 % des suffrages et obtenu 21 sièges (23 après le Brexit).
La liste d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV) est arrivée en 3e position, récoltant 13,48 % des voix et 12 sièges (13 après le Brexit). Viennent ensuite Les Républicains (LR, 8,48 % des voix, 8 sièges), La France insoumise (LFI, 6,31 %, 6 sièges) et la liste du Parti socialiste et de Place publique (PS-PP), avec 6,19 % des voix, leur permettant d’obtenir 5 sièges (6 après le Brexit).
Envie d’en savoir plus sur les élections européennes de juin 2024 ? Retrouvez l’intégralité de notre dossier sur les élections européennes !
Debout la France (DLF, 3,51 %) et Génération.s (3,27 %) se sont retrouvés sous la barre des 5 %, mais au-dessus du seuil de 3 % qui permet à une liste de voir une partie de ses frais de campagne remboursés.
Huit autres listes ont recueilli plus de 0,5 % des voix : l’Union des démocrates et indépendants (UDI, 2,5 %), le Parti communiste français (PCF, 2,49 %), le Parti animaliste (PA, 2,16 %), la liste Urgence Ecologie (1,82 %), l’Union populaire républicaine (UPR, 1,17 %), Lutte ouvrière (LO, 0,78 %), Les Patriotes (LP, 0,65 %) et la liste Alliance jaune (AJ, 0,54 %).
Les 18 autres listes ont cumulé les 0,9 % de voix restantes.
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17.04.2024 à 13:25
Aurélia Froloff
“L’Union européenne envisage d’élargir le champ de ses sanctions déjà en place contre l’Iran après l’attaque lancée contre Israël le week-end dernier”, a fait savoir Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne, à l’issue d’une réunion extraordinaire des ministres des Affaires étrangères de l’UE en visioconférence, mardi 16 avril [Le Figaro]. Le régime de […]
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“L’Union européenne envisage d’élargir le champ de ses sanctions déjà en place contre l’Iran après l’attaque lancée contre Israël le week-end dernier”, a fait savoir Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne, à l’issue d’une réunion extraordinaire des ministres des Affaires étrangères de l’UE en visioconférence, mardi 16 avril [Le Figaro].
Le régime de sanctions actuel contre la technologie des drones iraniens, “établi en juillet 2023 pour punir l’Iran d’avoir aidé la machine de guerre de Vladimir Poutine […], serait ainsi étendu aux missiles et aux mandataires de l’Iran dans la région”, indique Euronews. Parmi eux se trouvent notamment “le Hezbollah au Liban ou les rebelles houthis au Yémen”, détaille Le Soir.
“L’Union étudiera également la possibilité d’inscrire les Gardiens de la révolution iraniens sur la liste des organisations terroristes”, a aussi précisé Josep Borrell, “tout en soulignant qu’une telle mesure serait difficile à prendre étant donné que la branche militaire n’a pas encore été associée à un acte de terrorisme dans l’un des Etats membres de l’UE” [Euronews].
Les drones visés par les sanctions de l’UE sont ceux “utilisés samedi [13 avril] lorsque Téhéran a lancé quelque 300 drones et missiles de croisière et balistiques en direction d’Israël, dans le cadre de sa toute première attaque directe contre le territoire israélien”, remarque Euronews.
En 2023, “l’exportation de l’UE vers l’Iran de composants utilisés dans la fabrication de drones” avait été interdite [Le Figaro]. “L’idée, soutenue notamment par la France et l’Allemagne, serait d’élargir à d’autres types d’armement, comme les missiles, même si l’UE n’a pour le moment aucune preuve que des missiles iraniens soient utilisés dans le bombardement des villes et infrastructures en Ukraine”, poursuit le quotidien.
Une autre sanction, demandée par Israël et certains Etats membres, est l’inscription des Gardiens de la révolution iraniens sur la liste des organisations terroristes. Mais le chef de la diplomatie européenne reste prudent à cet égard, rappelant l’absence d’attentat sur le sol européen leur étant attribué.
“Je demanderai aux services juridiques du Service européen pour l’action extérieure de réexaminer la question et de voir s’il existe un cas sur lequel nous pourrions fonder cette proposition, mais pour l’instant, nous ne l’avons pas”, a-t-il expliqué [Euronews].
Josep Borrell veut éviter que la crise actuelle au Proche-Orient ne devienne une “guerre totale” et que ses derniers développements comme les frappes de Téhéran ne mènent à l’escalade [Reuters].
“Les ministres des 27 Etats membres ont fermement condamné l’attaque iranienne et réaffirmé leur engagement en faveur de la sécurité d’Israël” a rappelé ce dernier, rapporte Reuters. La nécessité est d’éviter une “escalade” régionale, martèle le chef de la diplomatie européenne [Le Figaro].
Le raid de l’Iran était une réponse à “la récente frappe aérienne d’Israël sur un bâtiment diplomatique iranien dans la capitale syrienne, Damas, qui a coûté la vie à sept membres de la Garde révolutionnaire iranienne” [Euronews]. Une attaque qui avait “également été condamnée par M. Borrell au nom de l’UE”, relate la chaîne d’information en continu.
Mardi 16 avril, le diplomate a aussi appelé à “ne pas oublier Gaza” et la crise humanitaire qui s’y déroule, alors que les regards sont tournés actuellement sur les tensions entre Israël et l’Iran [7 sur 7].
Le site d’information belge ajoute que “les ministres européens des Affaires étrangères se retrouv[eront] lundi [22 avril], dans le cadre d’une réunion formelle, pour avancer sur [les] sanctions [contre l’Iran et ses alliés]. Avant cela, les tensions au Proche-Orient seront aussi l’agenda du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE, [qui débute] ce mercredi à Bruxelles”.
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17.04.2024 à 13:18
Hugo Palacin
Alors que les principaux partis ont tous désigné leur tête de liste pour mener la campagne électorale, les sondages sur les élections européennes se succèdent. Autant de sources de satisfaction, d’inquiétude, d’espoir ou de mécontentement pour les candidats et les militants engagés dans cette campagne. Pour mieux s’y retrouver parmi les dizaines de sondages sur […]
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Alors que les principaux partis ont tous désigné leur tête de liste pour mener la campagne électorale, les sondages sur les élections européennes se succèdent. Autant de sources de satisfaction, d’inquiétude, d’espoir ou de mécontentement pour les candidats et les militants engagés dans cette campagne.
Pour mieux s’y retrouver parmi les dizaines de sondages sur les intentions de vote des Français, qui se succèdent en prévision des élections européennes, nous vous proposons cet agrégateur. Il permet de visualiser plus finement l’évolution des intentions de vote des Français, de sondage en sondage, jusqu’au scrutin, le 9 juin.
Depuis mai 2023, nous avons recensé 51 études d’opinion dans notre agrégateur de sondages. Des sondages dont la publication s’est intensifiée depuis janvier 2024, permettant d’observer plus finement et sur une période plus condensée l’évolution des intentions de vote pour les différentes listes candidates aux élections européennes.
Première observation, la liste du Rassemblement national (RN), menée par Jordan Bardella, a toujours fait la course en tête. Donné aux alentours de 25 % d’intentions de vote en mai 2023, le RN a depuis largement consolidé sa place de leader dans les sondages, flirtant désormais avec la barre des 30 %. Dans une étude d’opinion réalisée début mars pour le Huffington Post, YouGov place même le parti lepéniste à 33 %.
La majorité présidentielle, elle, peine à combler son retard sur son principal opposant. Donnée à environ 19 % en mai, elle a entamé une lente remontée dans les sondages avant de repasser sous la barre des 20 % courant novembre. Depuis, Renaissance et ses alliés stagnent. L’absence de tête de liste, qui a tardé à être désignée, a semblé jouer en défaveur de la liste macroniste, créditée mi-avril de 16 % d’intentions de vote par Elabe et Harris interactive, son score le plus faible. Testée depuis fin février dans les sondages, Valérie Hayer est donnée à environ 17,5 % d’intentions de vote.
Allié au mouvement Place publique, le Parti socialiste (PS-PP) se stabilise en troisième position. Donnée entre 9 et 10 % d’intentions de vote courant février, la liste emmenée par Raphaël Glucksmann progresse depuis, atteignant désormais 12,5 % en moyenne. Petit à petit, l’écart avec la liste de la majorité présidentielle semble se réduire.
Derrière le RN, Renaissance et les socialistes, plusieurs listes se tiennent dans un mouchoir de poche. Depuis les premiers sondages, Les Républicains oscillent entre 7 et 8 % d’intentions de vote, sans vraiment décoller. La France insoumise, sondée au départ aux alentours de 10 %, a depuis chuté dans les études d’opinion et alterne également entre 7 et 8 % en moyenne.
La liste d’Europe Ecologie Les Verts, elle, n’en finit plus de baisser dans les sondages. Au-dessus de la barre des 10 % l’été dernier, les écologistes peinent aujourd’hui à passer les 7 %. Ils se retrouvent désormais distancés par Reconquête. Le parti d’Eric Zemmour a longtemps flirté avec les 5 %, seuil minimal pour envoyer des élus au Parlement européen, mais semble maintenant se stabiliser entre 6 et 7 % d’intentions de vote en moyenne.
Ces 7 listes sont les seuls à être constamment créditées de plus de 5 % des voix dans les sondages, ce qui leur permet d’espérer être représentées dans l’hémicycle européen à l’issue du scrutin. Le Parti communiste français vient ensuite avec 3 % d’intentions de vote en moyenne. Un seuil qui n’est pas qualificatif mais qui demeure important, puisqu’il permet de voir une partie des frais de campagne de la liste remboursée par l’Etat.
Les listes présentes sur cette infographie sont celles qui sont testées dans les études d’opinion des instituts de sondage concernant les élections européennes de 2024. A chaque liste est attribuée une courbe. Celle-ci est obtenue par “rolling” : elle suit la moyenne des cinq derniers sondages en date et évolue donc à chaque nouvelle étude d’opinion publiée. Concrètement, si un parti a obtenu 24 %, 25 %, 26 % et 27 % d’intentions de vote lors des quatre derniers sondages et qu’un nouveau sondage le place à 28 %, sa courbe d’évolution se situera désormais à hauteur de 26 %, ce qui équivaut à la moyenne des cinq sondages.
Cette méthode permet de “lisser” les résultats des sondages successifs et d’éviter de trop grandes variations d’une étude d’opinion à l’autre. La tendance des intentions de vote pour chaque parti permet alors d’être observée plus finement, sur le moyen terme et non à plusieurs instants donnés, offrant ainsi une photographie plus large de l’évolution des intentions de vote des Français aux élections européennes du 9 juin 2024.
Sur l’infographie, les résultats des différentes listes pour chacun des sondages pris en compte sont consultables sous forme de points, au second plan. Ils peuvent ainsi être comparés avec la courbe d’évolution de la tendance d’intention de vote de chaque liste.
AR : L’Alliance rurale (liste menée par Jean Lassalle, qui a remplacé Willy Schraen)
Aut. : Autres listes/partis
DLF : Debout la France (liste initialement menée par Nicolas Dupont-Aignan, ayant finalement annoncé son retrait de la campagne des élections européennes)
EAC : Ecologie au centre (liste menée par Jean-Marc Governatori)
EELV : Europe Ecologie Les Verts (liste menée par Marie Toussaint)
EPT : Ecologie positive et Territoires (liste menée par Yann Wehrling)
LFI : La France insoumise (liste menée par Manon Aubry)
LO : Lutte ouvrière (liste menée par Nathalie Arthaud)
LP : Les Patriotes (liste menée par Florian Philippot)
LR : Les Républicains (liste menée par François-Xavier Bellamy)
ND : Nouvelle Donne (liste menée par Pierre Larrouturou)
NE : Notre Europe (liste menée par Jean-Christophe Fromantin)
NPA : Nouveau parti anticapitaliste (liste menée par Selma Labib)
PA : Parti animaliste (liste menée par Hélène Thouy)
PCF : Parti communiste français (liste menée par Léon Deffontaines)
PRG : Parti radical de gauche (liste menée par Guillaume Lacroix, avec Régions et peuples solidaires, et Volt France)
PP : Parti pirate (liste menée par Caroline Zorn)
PS - PP : Parti socialiste et Place publique (liste menée par Raphaël Glucksmann)
Rec. : Reconquête ! (liste menée par Marion Maréchal)
Ren. : Renaissance, avec le Mouvement démocrate, Horizons, le Parti radical et l’Union des démocrates et indépendants (liste menée par Valérie Hayer)
Res. : Résistons ! (liste initialement menée par Jean Lassalle, qui a finalement rejoint la campagne de l’Alliance rurale)
RN : Rassemblement national (liste menée par Jordan Bardella)
UPR : Union populaire républicaine (liste menée par François Asselineau)
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17.04.2024 à 13:16
Hugo Palacin
Comme pour chaque campagne électorale, les meetings politiques se succèdent à mesure que le scrutin approche. Ces moments de rencontre entre les candidats et leurs sympathisants permettent aux candidats de mettre en avant leurs propositions programmatiques. Les principaux partis ont d’ores et déjà tenu leurs premiers meetings de campagne, mais bon nombre d’événements seront organisés […]
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Comme pour chaque campagne électorale, les meetings politiques se succèdent à mesure que le scrutin approche. Ces moments de rencontre entre les candidats et leurs sympathisants permettent aux candidats de mettre en avant leurs propositions programmatiques. Les principaux partis ont d’ores et déjà tenu leurs premiers meetings de campagne, mais bon nombre d’événements seront organisés un peu partout en France jusqu’au scrutin, le 9 juin.
Sommaire
Les prochains meetings :
Les précédents meetings :
Les prochains meetings :
Pas de meeting annoncé pour l’instant.
Les précédents meetings :
Les prochains meetings :
Les précédents meetings :
Les prochains meetings :
Les précédents meetings :
Les prochains meetings :
Les précédents meetings :
Les prochains meetings :
Les précédents meetings :
Les prochains meetings :
Pas de meeting annoncé pour l’instant.
Les précédents meetings :
Pour aller plus loin…
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17.04.2024 à 11:55
Hugo Palacin
Les 485 mesures des Insoumis “Tout changer”. C’est la promesse du programme de La France insoumise, dévoilé cette semaine. Et il est pour le moins exhaustif. Toute l’Europe a sorti la calculette pour vous : la liste menée par Manon Aubry présente 485 mesures, réparties en 9 chapitres thématiques. Les Insoumis veulent, entre autres, “mettre fin […]
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“Tout changer”. C’est la promesse du programme de La France insoumise, dévoilé cette semaine. Et il est pour le moins exhaustif. Toute l’Europe a sorti la calculette pour vous : la liste menée par Manon Aubry présente 485 mesures, réparties en 9 chapitres thématiques. Les Insoumis veulent, entre autres, “mettre fin aux accords de libre-échange”, “établir une taxe permanente sur les superprofits”, “abolir les règles du marché de l’électricité” de l’UE, ou encore inscrire l’accès à la contraception et à l’IVG dans la charte européenne des droits fondamentaux.
Pacte (rouge) vert. Mais c’est le volet écologique du programme des Insoumis qui est le plus fourni (124 mesures sur les 485). Manon Aubry et ses 80 colistiers proposent d’atteindre la neutralité climatique en 2040, contre 2050 pour ce qui est de l’objectif européen actuel, et de s’orienter vers un mix énergétique 100 % renouvelable d’ici le milieu du siècle. Le programme du mouvement de gauche radicale reprend d’ailleurs plusieurs lois de l’UE déjà adoptées sous la mandature qui s’achève (2019-2024) afin d’en rehausser les ambitions. A l’image d’un règlement protégeant les forêts, entré en vigueur en juin 2023, qui interdit la commercialisation de produits issus de la déforestation. LFI propose d’en étendre le principe à tous les types d’écosystèmes dégradés.
L’internationale. Premier grand parti à présenter son programme, LFI fait également des questions géopolitiques une priorité. S’agissant de la situation en Israël et en Palestine, le mouvement appelle à un “cessez-le-feu immédiat au Proche-Orient” et à la fin de l’accord d’association qui lie l’Etat hébreu et l’UE depuis 2000. Pour ce qui est de l’Ukraine, LFI compte “poursuivre le soutien” à Kiev, tout en refusant son adhésion à l’Union. Des positions qui seront également mises en avant chez nos voisins européens pour ce scrutin transnational, puisque les Insoumis s’inscrivent dans “Maintenant le peuple”, une coalition européenne regroupant 10 partis issus de 9 pays, dont les Espagnols de Podemos et les Portugais du Bloco de Esquerda.
Nièce de. Depuis quelques semaines, une personnalité aussi étonnante qu’inconnue enflamme le réseau social TikTok, prisé par la nouvelle génération. Amandine Le Pen, 24 ans, influenceuse “fière d’être française” et nièce de Marine Le Pen, alimente ses 32 000 abonnés en vidéos quotidiennes. A la plage ou déguisée en Lara Croft, toujours avec un grand sourire et parfois dans des poses plus suggestives, les vidéos d’Amandine Le Pen, dont la ressemblance avec l’ancienne présidente du Rassemblement national est frappante, cumulent ainsi des millions de vues. Sa cousine, Léna Maréchal Le Pen, dont le visage ressemble trait pour trait à celui de Marion Maréchal, rencontre elle aussi un petit succès avec des vidéos dépassant les deux millions de visionnages. Seul problème, ces deux jeunes femmes n’existent pas. Elles ont tout simplement été inventées par trucage vidéo grâce à l’utilisation poussée de l’intelligence artificielle (IA). Ce qu’on appelle plus communément des “deepfakes”.
Inquiétude. Cette ressemblance troublante entre les deux femmes politiques et leurs clones numériques rajeunis pourrait prêter à sourire. Sauf qu’en pleine campagne électorale pour les européennes du 9 juin, la popularité de ces comptes TikTok, notamment auprès des plus jeunes, suscite des inquiétudes. D’autant plus que ces fausses influenceuses usent de leur petite notoriété pour faire passer des messages résolument politiques. Dans ses vidéos, Amandine Le Pen appelle clairement à voter pour le RN et Jordan Bardella le 9 juin. Même schéma pour Léna Maréchal Le Pen, qui fait la promotion de la candidature de Marion Maréchal. Une forme de campagne électorale déguisée qui vise avant tout à convaincre les jeunes électeurs qui sont aussi ceux qui s’abstiennent le plus en général.
Bannies. En début de semaine, TikTok a sifflé la fin de la récré, fermant les deux comptes qui “enfreign[ai]ent les règles de la plateforme” concernant les contenus générés par IA. Car en Europe, les grandes plateformes doivent désormais être vigilantes sur les questions de désinformation. L’UE a musclé son arsenal législatif, avec une nouvelle loi pour réguler l’intelligence artificielle, et l’adoption du DSA pour lutter contre les contenus illicites en ligne. Mi-mars, la Commission européenne avait réclamé des explications à plusieurs grandes entreprises du numérique, dont TikTok, sur la façon dont elles gèrent les risques liés à la diffusion de ces “deepfakes”. Questionné sur ses intentions par BFM TV, le créateur des fausses influenceuses lepénistes a quant à lui assuré que “cela n’avait rien de politique”. “Voyez cela comme une expérience sociale pour démontrer les dangers de la désinformation et des deepfakes”, a-t-il ajouté. C’est le moins qu’on puisse dire.
Vendredi dernier, le service en ligne pour établir sa procuration pour les élections européennes a été lancé. Pour la première fois, il sera possible de réaliser cette démarche sur Internet, sans avoir à se déplacer dans un commissariat. Si vous savez déjà que vous ne serez pas dans votre commune de vote pour le scrutin du 9 juin, vous pouvez dès maintenant effectuer les démarches pour donner procuration à quelqu’un. Retrouvez notre article sur le vote par procuration, qui répondra à toutes vos questions.
Ce lundi débutait la période officielle de décompte du temps de parole des candidats et soutiens aux listes engagées dans la campagne des européennes en France. Durant huit semaines, l’Arcom, autorité de régulation des médias, veillera à ce que les chaînes de télévision et stations de radio respectent une certaine “équité” entre les listes candidates dans le temps d’antenne qui leur sera accordé. On vous explique tout ce que cela implique pour les médias comme pour les candidats dans cet article.
Samedi, la liste définitive des 81 candidats d’Europe Ecologie Les Verts pour les élections européennes a été validée par le conseil fédéral du parti. C’est bien l’eurodéputée sortante Marie Toussaint qui mènera cette liste, sur laquelle figure un certain nombre de ses collègues à Strasbourg (David Cormand en 2e position, Mounir Satouri en 4e ou encore Benoît Biteau au 6e rang). On y retrouve également à des places non éligibles les anciens candidats écologistes à l’élection présidentielle Yannick Jadot, Eva Joly et Noël Mamère, mais aussi le mathématicien et ancien député Cédric Villani ou la patronne du parti Marine Tondelier. Pour découvrir l’identité des autres candidats écologistes, direction notre site.
Après le Pacte vert, place au Pacte bleu ? C’est ce qu’ont défendu ce week-end (chacun de leur côté) les têtes de liste Raphaël Glucksmann (PS-Place publique) et Valérie Hayer (Renaissance). Les deux eurodéputés mettent en avant cette mesure pour protéger les mers et les océans. La Mayennaise précise notamment auprès de Ouest-France vouloir une “mise en application rapide des mesures votées pour mettre fin aux pollutions plastiques dans l’eau à horizon 2035″. Il est possible que ce Pacte bleu vous soit familier, puisque certains se sont déjà emparés de la question (ici et là par exemple). Aussi, cette mesure fait figure d’intrigue principale dans la deuxième saison de la série “Parlement”. Pour l’anecdote, parmi les scénaristes de la série, on retrouve un conseiller politique du groupe Renew Europe et ex-collègue de… Valérie Hayer.
Quel avenir pour le Pacte vert européen ? Les principales têtes de liste ont débattu sur ce thème mardi soir, à l’invitation des “Shifters” d’Angers, une association pour la décarbonation de l’économie. Pour revoir le débat, c’est par ici.
L’Union des démocrates musulmans français (UDMF) a annoncé son intention de présenter une liste aux élections européennes du 9 juin. Celle-ci devrait s’appeler “Free Palestine”, s’inscrivant dans une coalition transnationale qui verrait des listes similaires se présenter en Espagne, en Belgique, en Allemagne, en Suède et aux Pays-Bas. Objectif : “faire entendre la voix du peuple palestinien” et “lutter contre la contamination des idées d’extrême droite visant les citoyens de confession musulmane”, a expliqué à l’AFP Nagib Azergui, fondateur du parti. Aux européennes de 2019, la liste de l’UDMF avait récolté 0,13 % des suffrages (28 469 voix).
Retrait. Une polémique a secoué la bulle européenne ces derniers jours : le “Piepergate”, du nom de l’eurodéputé Markus Pieper. Désigné fin janvier pour devenir l’émissaire aux petites et moyennes entreprises (PME) au sein de la Commission européenne, l’élu allemand a finalement renoncé lundi soir à ce poste, après de vives critiques. Un revers pour la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, qui avait elle-même choisi ce candidat issu de son propre parti, l’Union chrétienne-démocrate d’Allemagne (CDU, affilié au PPE).
Nein. Cette proximité partisane n’avait pas été du goût de certains de ses collègues de travail. Lors de la réunion hebdomadaire du collège des commissaires mercredi 10 avril, Thierry Breton s’était plaint de l’absence de prise de décision collective au sommet de l’exécutif de l’UE, selon Euronews. “La transparence et la collégialité sont et doivent toujours rester nos valeurs cardinales”, a d’ailleurs tweeté hier le commissaire français chargé du Marché intérieur, en réaction au retrait de Markus Pieper. La pilule n’est pas non plus passée du côté du Parlement européen. Le 11 avril, lors de la mini-session plénière à Bruxelles, les eurodéputés de gauche et libéraux avaient fait adopter un amendement pour remettre en cause le choix d’Ursula von der Leyen.
Campagne. On rappelle que la présidente de la Commission endosse aussi le rôle de cheffe de file commune des conservateurs européens du PPE pour les élections de juin. Le groupe de centre droit arriverait en tête selon les projections sondagières, mais rien ne dit que l’Allemande est assurée de renouveler son mandat. Ursula von der Leyen doit d’abord être désignée par les chefs d’Etat et de gouvernement, puis obtenir une majorité au Parlement européen pour diriger de nouveau l’exécutif européen. En attendant, l’ancienne ministre de la Défense d’Angela Merkal a décidé de suspendre la procédure de sélection pour ce poste d’émissaire aux PME, qui pourrait reprendre après les élections européennes.
En Hongrie, le Premier ministre nationaliste Viktor Orbán est défié par un ancien camarade. Ex-membre du Fidesz au pouvoir, Péter Magyar a enregistré jeudi un nouveau parti afin de se présenter aux élections européennes. L’avocat s’est fait connaître pour avoir dénoncé la corruption du gouvernement, au sein duquel son ex-femme Judit Varga a servi comme ministre de la Justice (2019-2023). Selon les projections de la composition du prochain Parlement européen en nombre de sièges d’Euractiv, qui agrège des sondages nationaux, le parti de Péter Magyar obtiendrait 3 sièges, tandis que le Fidesz enverrait 10 eurodéputés à Strasbourg.
Plus largement, et toujours selon les nouvelles projections d’Euractiv, le Parti populaire européen (PPE) arriverait en tête du scrutin, représenté par 184 eurodéputés lors de la prochaine mandature. Les sociaux-démocrates (S&D) seraient en seconde position, obtenant 139 sièges. Trois autres groupes se trouvent dans un mouchoir de poche : les nationalistes d’Identité et démocratie (ID) décrocheraient 84 sièges, tout comme les libéraux de Renew, tandis que les Conservateurs et réformistes européens (CRE) obtiendraient 82 élus.
D’ailleurs, les Démocrates danois ont fait savoir qu’ils rejoindraient le groupe CRE s’ils obtenaient des élus en juin. Un peu plus au sud-ouest (et beaucoup plus à gauche), l’ex-candidat à la présidentielle française Philippe Poutou figurera en 3e position sur une liste anticapitaliste en Belgique. Toujours au Benelux, on a également appris que 13 partis se lanceraient dans la course aux européennes au Luxembourg. Le Grand-Duché comptera au total 78 candidats pour 6 sièges, un record.
De l’autre côté du continent, un ancien footballeur grec change d’équipe politique. Theódoros Zagorákis, capitaine de la sélection hellénique championne d’Europe en 2004, sera l’un des 34 candidats sur la liste du PASOK, le parti social-démocrate grec. Elu une première fois en 2014 sur la liste de la formation conservatrice Nouvelle Démocratie, dont est originaire le Premier ministre Kyriákos Mitsotákis, l’ancien milieu de terrain avait conservé son siège en 2019. Avant de se faire exclure du groupe du PPE en raison d’un différend avec son gouvernement sur fond de… football.
L’écart continue de se resserrer entre la liste de la majorité présidentielle et celle du PS-Place publique. L’écart moyen, de 6,7 points il y a une semaine, atteint désormais 5,2 points (17,6 % en moyenne pour Valérie Hayer contre 12,4 % pour Raphaël Glucksmann). Quant au RN, il poursuit son envolée avec 31,9 % d’intentions de vote en moyenne (+1,5 point en une semaine), son plus haut niveau jamais atteint.
LR respire un peu en retrouvant la barre des 8 %, devançant LFI (7,5 % en moyenne). Suivent les écologistes (6,8 %) et Reconquête (6,2 %). Le seuil fatidique des 5 %, synonyme d’envoi de représentants au Parlement européen, continue de guetter dangereusement ces deux listes.
Contrairement à certaines assemblées, le Parlement européen ne prévoit pas de code vestimentaire pour ses membres. Jeudi dernier, l’eurodéputé irlandais Mick Wallace (La Gauche) en a donc profité pour arborer dans l’hémicycle bruxellois le maillot son équipe de football préférée, le Torino FC (Italie). Le tifosi a ainsi souhaité “bonne chance au Torino qui [jouait] ce samedi face à la Juventus [l’autre club de Turin et rival NDLR]”. Avant d’ajouter à sa manière quelques encouragements qui se passent de traduction : “Juve merda ! Forza Toro !”.
Sa passion pour le ballon rond ne date pas d’hier puisque Mick Wallace est également le fondateur du Wexford Football Club, une équipe aujourd’hui en deuxième division irlandaise. Mais ce dernier a également un second terrain d’expression : la politique. Ancien Teachta Dála (membre de la chambre basse du Parlement irlandais), il s’est fait élire député européen en 2019 sur la liste des “Indépendants pour le changement”, un parti de gauche radicale.
Avec son acolyte Clare Daly, il forme un duo aux positions controversées. Réputés proches des régimes syrien et iranien notamment, ils font partie des très rares députés (seulement 13 sur 705) à s’être opposés à une résolution du Parlement européen condamnant l’invasion russe de l’Ukraine. Selon le Irish Independent, les deux compères comptent bien rempiler à Strasbourg en juin prochain.
C’est le pourcentage de citoyens de l’UE déclarant qu’ils voteront probablement lors des élections européennes en juin prochain. Un chiffre tiré du dernier Eurobaromètre, publié ce mercredi matin.
A une cinquantaine de jours de l’échéance électorale, l’étude souligne que l’engouement est beaucoup plus fort (+10 points) qu’à la même période en 2019. Une situation observée dans l’ensemble des Etats membres de l’Union européenne, à l’exception de la Bulgarie où les scrutins nationaux à répétition ces dernières années ont probablement eu raison de la patience des électeurs.
Toutefois, ce chiffre reste à relativiser. La participation effective est toujours plus faible que les intentions de vote. Si 61 % des interrogés avaient l’intention de se rendre au bureau de vote en 2019, seuls 50,66 % des électeurs européens s’étaient finalement déplacés.
Pour les auteurs de l’enquête, plusieurs facteurs peuvent expliquer ce regain d’attention pour les élections européennes et les institutions de l’UE de manière générale. “Le contexte international rend le vote encore plus important pour 81 % des citoyens”, soulignent-ils par exemple. L’étude indique aussi les thèmes importants aux yeux des Européens. Arrivent en tête la lutte contre la pauvreté, la santé publique, le soutien à l’économie ainsi que la défense et la sécurité européenne.
Dans un contexte économique tendu, les déclarations de la présidente de la Banque centrale européenne (BCE) étaient scrutées. Jeudi dernier, Christine Lagarde a annoncé le maintien des taux d’intérêt de l’institution financière de l’Union européenne à leur niveau élevé. Elle envisage toutefois une baisse en juin prochain afin de stimuler l’économie de la zone euro.
Basée à Francfort (Allemagne), la BCE gère la politique monétaire de la zone euro. Son principal objectif consiste à y maintenir la stabilité des prix. A cet effet, elle fixe le niveau des trois taux directeurs auxquels les banques peuvent se refinancer auprès d’elle.
Une variation de ces instruments de politique monétaire a des effets sur les taux que pratiquent les banques avec leurs clients. Si les taux directeurs augmentent, l’emprunt des particuliers et des entreprises auprès des établissements de crédit devient plus coûteux, ce qui permet en principe de contenir l’inflation mais freine également la croissance. A l’inverse, une baisse des taux d’intérêt facilite les prêts bancaires et la consommation.
J-100 avant les Jeux olympiques de Paris 2024 ! Pour l’occasion, on vous a concocté un quiz qui mêle Europe et olympisme. L’objectif : retrouver toutes les villes européennes qui ont accueilli au moins une édition des JO d’été. Et pour les plus téméraires d’entre vous, tentez ensuite votre chance avec les villes européennes hôtes des JO d’hiver. C’est dans notre quiz de la semaine, à vous de jouer !
Et découvrez ici tous nos autres quiz pour mesurer vos connaissances sur l’Union européenne.
Pour conclure cette newsletter hebdomadaire, on vous emmène en voyage à bord du Trans-Europe Express, un train qui reliait plusieurs villes européennes entre la fin des années 1950 et le début des années 1980.
En 1977, la prestigieuse locomotive va inspirer le groupe de musique électronique Kraftwerk. Cette année-là, les natifs de Düsseldorf (Allemagne) sortent en anglais et en allemand le morceau “Trans-Europa Express”. Les sept morceaux de l’album éponyme évoquent le trajet du train traversant un continent devenant rapidement “sans frontières et numérique”.
Traverser à l’aide du train une Europe sans frontières, c’est aujourd’hui l’objectif de l’initiative DiscoverEU. Depuis mardi, les jeunes Européens de 18 ans peuvent tenter de décrocher un des 35 500 billets mis en jeu. Ces précieux sésames leur permettront de voyager gratuitement jusqu’à 30 jours à travers le continent grâce à des mobilités douces. Bon plan, non ?
Envie d’en savoir plus ? Retrouvez l’intégralité de notre dossier sur les élections européennes !
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