Quatre femmes et cinq hommes, dont huit journalistes, ont été interpellés à l’aube dans trois villes différentes, la capitale, Ankara, Istanbul et Sanliurfa, selon l’association des avocats pour la liberté de la presse, MLSA.

Selon le texte, la Commission européenne lancera des enquêtes en cas de soupçons dans les chaînes d’approvisionnement dans des pays tiers. Si le recours au travail forcé est avéré, les produits seront saisis aux frontières et devront être retirés du marché européen.

Ces hommes ont été interpellés en Seine-Saint-Denis, en Seine-et-Marne et dans les Bouches-du-Rhône dans le cadre d’une information judiciaire visant le Parti des travailleurs du Kurdistan.

Il s’agit du deuxième naufrage rapporté par l’Organisation internationale pour les migrations en quelques semaines, sur une route migratoire considérée comme l’une des « plus dangereuses du monde ».

La ville alsacienne s’est vu décerner ce label de l’Unesco et va promouvoir l’accès à la lecture à travers plus de 1 000 événements.