Depuis la sortie unilatérale de l’accord sur le dossier nucléaire, décidée en 2018 par l’ancien président américain Donald Trump, les militaires dictent la politique étrangère de la République islamique.

« Nous n’avons malheureusement pas le niveau de défense que nous avons tous vu au Moyen-Orient, il y a quelques jours », a déclaré, aux membres de l’UE réunis en sommet à Bruxelles, le président ukrainien qui réclame davantage de systèmes de défense antiaérienne à ses alliés occidentaux.

Washington estime que le gouvernement du président Nicolas Maduro poursuit sa politique de répression de l’opposition à quelques mois du scrutin présidentiel.

Depuis sa naissance en 1979, la République islamique d’Iran vit avec la guerre, analyse dans sa chronique Alain Frachon, éditorialiste au « Monde ».

Le chef étoilé hispano-américain José Andrés est le fondateur de World Central Kitchen, ONG qui fournit depuis 2010 des millions de repas à des populations en souffrance, à Haïti ou en Ukraine. Ainsi qu’à Gaza où, le 1ᵉʳ avril, sept de ses collaborateurs ont été tués par des tirs de missiles israéliens. Mais aujourd’hui, les méthodes de l’humanitaire posent question.