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14.11.2025 à 16:05

Mexique : après son agression, la présidente lance un plan national contre les violences sexuelles

Natacha VESNITCH

La présidente mexicaine Claudia Scheinbaum, victime d'une agression sexuelle en pleine rue le 4 novembre, a présenté un plan pour encourager les plaintes et les sanctions contre les agresseurs. Mais pour beaucoup de femmes, le projet n'est pas assez ambitieux face à l'ampleur du harcèlement sexuel au Mexique.

14.11.2025 à 16:05

Le corps d'une femme bientôt exhumé pour chercher un éventuel ADN de Dominique Pelicot

FRANCE24

Elle a ainsi donné raison à Béatrice Zavarro, l'avocate de celui qui est surnommé "l'ogre de Mazan" pour avoir orchestré pendant une décennie des viols par des inconnus sur son ex-épouse Gisèle à Mazan (Vaucluse), dont la demande initiale avait été rejetée en avril. "C'est une petite victoire judiciaire car il nie toute implication", a déclaré Mme Zavarro. "Le but est de retrouver quelque chose (sur ce corps, NDLR) qui puisse identifier l'auteur des faits, comme voir si une trace puisse appartenir à Dominique Pelicot ou pas", a-t-elle ajouté. Selon l'avocate, son client de 72 ans "confirme que c'est un des moyens pour arriver à exclure son implication, sa responsabilité". "La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Versailles a effectivement rendu un arrêt le 7 novembre dans la procédure concernant le viol et le meurtre de Sophie Narme (...) Cette décision a pour effet d’ouvrir la voie à l’exhumation", a indiqué de son côté le parquet général à l'AFP. Il s'agit de l'un des deux cold case pour lesquels Dominique Pelicot, définitivement condamné fin 2024 par la cour départementale du Vaucluse à 20 ans de prison pour l'affaire des "viols de Mazan", est également soupçonné et mis en examen. En décembre 1991, Sophie Narme avait été violée puis tuée en faisant visiter un appartement du XIXe arrondissement de Paris. Son corps, roué de coups et à demi-dévêtu, avait été ensuite découvert par le directeur de son agence. L'auteur n'a jamais pu être identifié mais des doutes ont été récemment émis après que Dominique Pelicot a partiellement reconnu son implication dans la tentative de viol en Seine-et-Marne en 1999 d'une autre agente immobilière, après avoir été confondu par son ADN. Les deux femmes avaient été déshabillées de la même manière et une forte odeur d'éther avait été sentie sur la scène du crime pour Sophie Narme, substance utilisée pour agresser l'autre agente immobilière en 1999. Egalement pour Béatrice Zavarro, Sophie Narme a pu être victime de François Vérove dit "le Grêlé", un tueur et violeur en série recherché depuis les années 1980 et décédé depuis.

14.11.2025 à 16:05

De Kaboul aux Jeux de Paris 2024 : l'athlète paralympique Zakia Khudadadi désormais française

FRANCE24

Elle est l’un des visages inoubliables de Paris 2024. Zakia Khudadadi, première athlète paralympique de l’équipe des réfugiés, a décroché la médaille de bronze en taekwondo. Mais avant cela, elle a fui son pays en 2021, lorsque les talibans ont repris le pouvoir en Afghanistan. Nous la suivons depuis plusieurs années maintenant sur France 24. Après quatre années passées en France comme réfugiée, elle franchit une nouvelle étape dans son parcours d’intégration avec l’obtention de son passeport français. Reportage d’Élodie Radenac.

14.11.2025 à 16:03

Le roi Charles III fête ses 77 ans, déterminé à travailler malgré son cancer

FRANCE24

Alors qu'à Londres son anniversaire était salué sous la pluie par le canon, le roi était au pays de Galles pour assister avec la reine Camilla à une réception pour le 200e anniversaire du château de Cyfarthfa, joyau de l'histoire galloise, puis inaugurer un dépôt de train. Une journée chargée, à l'image de son calendrier ces derniers mois. Le monarque, qui a annoncé être atteint d'un cancer en février 2024, a cette année honoré un nombre record d'engagements depuis son arrivée sur le trône en septembre 2022, selon le Daily Express. Il a reçu en septembre en grande pompe le président américain Donald Trump au château de Windsor, un exercice de haute diplomatie suggéré par le Premier ministre Keir Starmer, soucieux de maintenir la relation privilégiée entre Londres et Washington. Si la plupart de ses déplacements se limitent au Royaume-Uni, Charles a aussi fait quelques sorties à l'étranger: le couple royal était au Canada en mai, et au Vatican en avril puis en octobre, pour un voyage marqué par une prière commune inédite avec le pape Léon XIV. Le tout sans montrer de signe de faiblesse, semblant démentir des rumeurs récurrentes sur un état de santé qui se détériorerait. William plus visible Le Palais de Buckingham n'a jamais précisé le type de cancer dont souffre le monarque, alimentant les spéculations, a souligné jeudi Robert Jobson, spécialiste de la monarchie et auteur d'un nouveau livre intitulé "The Windsor legacy: A Royal Dynasty of Secrets, Scandal and Survival". Même si "on ne peut pas attendre de lui qu'il soit à 100%" et s'il a "changé" certaines choses, notamment en faisant désormais "la sieste l'après-midi", a ajouté M. Jobson devant quelques journalistes, "il respecte ses engagements, et continue à faire tout ce que l'on attend d'un roi". De fait, Charles "aime son travail et c'est ce qui le fait tenir", confiait la reine Camilla lors de leur visite à Rome en avril. Déjà secoué par la brouille avec son fils Harry, le roi a aussi eu fort à faire récemment pour tenter d'atténuer les critiques de la monarchie relancées par les derniers rebondissements du scandale entourant son frère cadet Andrew, en raison de ses liens avec le pédocriminel américain Jeffrey Epstein. Charles a ainsi pris fin octobre la décision historique de lui retirer son titre de prince et de l'obliger à abandonner sa luxueuse résidence dans le domaine de Windsor. Sans aucune garantie que cela mettra un terme à cette affaire, qui empoisonne depuis 2011 la plus célèbre des monarchies de la planète. Reste que, malgré le regain d'activités de Charles ces derniers mois, le palais prépare la suite. Le prince héritier William est de plus en plus visible. Il a confié vouloir "apporter un peu de changement" dans le fonctionnement de la monarchie dans une récente interview. Le fils aîné de Charles III a aussi fait une visite remarquée au Brésil à l'occasion de la COP30 la semaine dernière, reprenant le rôle de défenseur de l'environnement emblématique de son père. William et son épouse Kate, symboles d'une royauté rajeunie, restent les membres les plus populaires de la famille royale: les trois-quarts de la population britannique ont d'eux une opinion positive, selon un sondage de l'institut YouGov publié fin octobre, contre 62% pour Charles.

14.11.2025 à 15:57

La Finul accuse Israël de construire des murs au Liban, Tsahal dément

FRANCE 24

La Force intérimaire des Nations Unies au Liban (Finul) a accusé Israël, vendredi, d'avoir "violé" la souveraineté du Liban avec la construction de murs sur son territoire. L'armée israélienne a démenti, reconnaissant toutefois avoir érigé une barrière renforcée le long de la ligne de démarcation entre les deux pays. 

14.11.2025 à 15:56

La 28e édition de Paris Photo et "Kaboul, une chambre à soi", une pièce sur l'invisibilté des femmes Afghanes

Sonia PATRICELLI

Paris Photo reprend ses quartiers dans la majestueuse nef du Grand Palais. Quels stands ne faut-il surtout pas manquer parmi les quelques 220 exposants et 33 pays représentés lors de cette 28e édition ? Incontournable, l'installation de la française Sophie Ristelhueber chez Jérôme Poggi. Panorama complet avec la directrice de Paris Photo Florence Bourgeois. Au théâtre de la Ville, à Paris, se joue la pièce "Kaboul, une chambre à soi" mise en scène par Caroline Gillet et l'artiste afghane en exil Kubra Khademi. Elles nous présentent leur installation immersive sur l'enfermement et l'invisibilité des femmes afghanes depuis la chute de Kaboul en 2021.

14.11.2025 à 15:48

Espace : la contre-offensive de l'Europe pour se passer d'Elon Musk

Guillaume GRALLET

Dans un ciel saturé de satellites et dominé par les Américains de SpaceX, Amazon et Blue Origin – qui vient pour la Nasa d'envoyer deux sondes vers Mars à horizon 2027 – l’Europe amorce sa contre-offensive, alors que la Chine et l'Inde redoublent d'ambition. Emmanuel Macron a dévoilé une feuille de route pour conquérir une indépendance spatiale d'ici 2040. Cette course militaire et industrielle sera au cœur d'un sommet international qui se tiendra à Paris en avril 2026.

14.11.2025 à 15:43

Des manifestants autochtones perturbent de nouveau la COP30

FRANCE24

Le blocage d'environ deux heures survient alors que l'encadrement de l'événement (10-21 novembre), coorganisé par le gouvernement brésilien et l'ONU Climat, est en question depuis une incursion mardi soir d'autres protestataires indigènes, qui s'étaient heurtés à la sécurité. Vendredi matin, le rassemblement de membres de la communauté munduruku a semé un certain chaos et perturbé l'agenda des dizaines de milliers de délégués et d'observateurs. Il a aussi forcé le président de la conférence, le diplomate brésilien André Correa do Lago, à bouleverser son programme pour venir parlementer sur place. Les manifestants - torses nus et portant des ornements traditionnels pour la plupart - s'étaient placés devant l'entrée principale de la "zone bleue", coeur de la conférence où se déroulent les négociations climatiques. Ces hommes et femmes de tous âges, venus avec plusieurs bébés, bloquaient également une rue adjacente. "Lutter pour notre territoire c'est lutter pour notre vie", proclamait la pancarte de l'un des manifestants, qui protestaient contre de grands projets d'infrastructures en Amazonie et demandaient à voir le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva. Devant des journalistes, une représentante des autochtones a lancé : "Nous exigeons la présence du président Lula, mais malheureusement on n'y arrive pas, comme toujours". "Nous n'avons jamais été écoutés", a-t-elle déploré. Le président de la COP, André Correa do Lago, et la directrice générale Ana Toni sont venus à la rencontre des protestataires. Voie ferrée "Il faut absolument les écouter", a dit le président de la conférence climat devant les journalistes. Au bout d'un moment, il est reparti avec les manifestants pour tenir une réunion avec eux dans un tribunal proche du site de la COP. A cette rencontre devaient participer les ministres Sonia Guajajara (Peuples indigènes) et Marina Silva (Environnement), a indiqué M. Correa do Lago à l'AFP. L'entrée principale a finalement rouvert, mettant fin à l'attente de milliers de délégués qui patientaient sous un soleil brûlant à l'extérieur. Lula est un allié revendiqué de la cause autochtone. A son crédit : l'homologation de 16 terres indigènes, la chute spectaculaire de la déforestation ou la nomination d'une figure respectée, Sonia Guajajara, à la tête du tout premier ministère des Peuples indigènes. Mais beaucoup déplorent la lenteur dans la démarcation de terres indigènes et l'exploration pétrolière lancée en octobre près de l'embouchure de l'Amazone. Autre sujet de contentieux, mis en avant vendredi par les manifestants munduruku : le projet de construction de Ferrograo, une voie ferrée de près de 1.000 km censée traverser le Brésil d'ouest en est pour acheminer la production de céréales. Critiquant le projet pétrolier et Ferrograo, l'emblématique cacique nonagénaire Raoni avait lancé jeudi au sujet de Lula, son cadet octogénaire: "Je vais prendre rendez-vous avec lui, et, si besoin est, je vais lui tirer l'oreille pour qu'il m'écoute". Mardi soir, d'autres protestataires indigènes avaient forcé l'entrée de la "zone bleue" et s'étaient heurtés au personnel de sécurité, alimentant une polémique. Selon la presse, le chef de l'ONU Climat, Simon Stiell, avait dans un courrier aux autorités brésiliennes dénoncé une "violation grave du cadre de sécurité établi". Tout en rappelant que la sécurité à l'intérieur de la "zone bleue" est "confiée" au département de la sécurité des Nations unies, le gouvernement brésilien a affirmé jeudi avoir renforcé le dispositif de sécurité à la suite de l'incident. Une réunion dans l'enceinte de la COP entre Simon Stiell, André Correa do Lago et des représentants indigènes s'est tenue jeudi.

14.11.2025 à 15:32

Soudan : l'ONU ordonne une enquête sur les violations du droit international à El-Facher

FRANCE 24

Le Conseil des droits de l'Homme a adopté, vendredi, une résolution ordonnant à la mission indépendante d'établissement des faits de l'ONU sur le Soudan de mener l'enquête sur la situation des droits humains dans la ville d'El-Facher, aux mains des paramilitaires des Forces de soutien rapides depuis le 27 octobre dernier. 

14.11.2025 à 15:29

Gaza : des Palestiniens cherchent encore leurs proches sous les décombres

FRANCE24

"Ma femme, mon fils Samir et ma fille Lana sont toujours sous les décombres... J'appelle toutes les organisations internationales à nous aider à les retrouver", déclare Iyad Rayyan en pleurant à côté des ruines de sa maison détruite, qui a été frappée le 3 octobre 2025 à Gaza. "Pourquoi les martyrs palestiniens ne sont-ils pas traités avec le même soin que les corps israéliens, pour lesquels ils ont fait venir des machines afin de les récupérer ?", ajoute Rayyan.

14.11.2025 à 15:29

Double infanticide en Gironde: 18 ans requis contre la mère dépressive

FRANCE24

L'avocat général a également réclamé sept ans de suivi socio-judiciaire, avec obligation de soins, et cinq ans de prison en cas de non-respect de cette mesure. "Depuis que les deux personnes les plus importantes au monde pour moi sont parties, ma vie s'est arrêtée. Je les aime plus que tout et pour moi, c'est la pire des sentences", a déclaré Jennifer Bertrand, la voix étranglée par l'émotion, avant que les jurés ne se retirent pour délibérer peu avant 13H00. Cette femme de 37 ans a reconnu avoir, le 19 décembre 2022, posé leurs doudous sur le visage d'Ambre et d'Emma, avant d'appuyer avec sa main pendant "une minute environ", selon elle, pour les "calmer" alors qu'elles étaient "agitées". "C'est un geste fort, un geste déterminé qui n'a rien de naturel", qui est "très loin du geste d'apaisement", a affirmé l'avocat général Martin Viver-Darviot devant la cour d'assises de la Gironde. "On peut se demander si ce doudou, posé sur le visage des nourrissons, n'avait pas pour objet de cacher leurs visages et de ne pas affronter le regard de ses filles qui, au-delà du fait de s'agiter, ont pu convulser", a-t-il ajouté. À l'instar des experts psychiatriques, le représentant du ministère public a demandé aux jurés "d'écarter l'abolition du discernement" mais d'en retenir "l'altération", la mère étant alors "accaparée par ses souffrances personnelles". "Épuisée", atteinte d'une anxiété "massive", incapable "de supporter les pleurs de ses enfants", elle "n'était plus en capacité de trouver de l'énergie pour ses filles", a-t-il estimé, en pointant "l'échec" du traitement de sa dépression post-partum. "Impasse" Après l'accouchement, cette mère avait passé deux mois dans une unité psychiatrique spécialisée et elle était toujours sous médicaments, suivie en hôpital de jour, au moment des faits. Une période qu'elle décrit comme "une descente aux enfers". "Je me sentais nulle, nulle, j'avais envie de mourir", avait confié jeudi à la cour celle qui se renseigna aussi, à l'époque, sur l'adoption ou le placement des enfants. "On peut se demander si Mme Bertrand n'était pas dans une situation d'impasse et que la solution qu'elle a trouvée, c'était de supprimer la principale source de ses angoisses", a supposé l'avocat général. "Dix-huit ans ? Sérieusement ?", lui a rétorqué l'un des avocats de la défense, Me Stéphane Guitard. La peine requise, "particulièrement lourde", "ne correspond ni aux standards, ni aux jurisprudences nationales" en matière d'"infanticides liées à des maladies mentales graves", a-t-il plaidé. Le conseil a demandé aux jurés de reconnaître l'abolition du discernement de l'accusée qui était dans un "isolement familial, psychologique et psychiatrique évident", à l'origine de son geste selon lui. Jennifer Bertrand "n'avait pas la notion du temps et peut-être de l'espace, elle ne pouvait plus raisonner" et en aucun cas, "elle n'a voulu éteindre ses deux petits rayons de soleil", a martelé son autre avocat, Me Béatrice Ceccaldi. Et de dépeindre une accusée "hantée, consumée" depuis le drame, une "ombre qui ne tient que (par) les médicaments". Pour l'avocat du père des jumelles, qui a réclamé "une justice équilibrée", la maladie était "incontestablement" présente le jour du drame. "On ne tue pas à midi pour commander à 13H00 des accessoires de puériculture qui ne serviront jamais. C'est irrationnel", a jugé Me Charles Dufranc, constatant aussi "un échec thérapeutique total" dans ce dossier.
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