Le jeune âge de la mère, le fait d’être victime de violences conjugales, mais aussi la grande prématurité du nourrisson augmentent les risques de maltraitance physique infantile (MPI) précoce, confirme une étude menée en France à échelle nationale et publiée mercredi 15 mai.
Le jeune âge de la mère, le fait d’être victime de violences conjugales, mais aussi la grande prématurité du nourrisson augmentent les risques de maltraitance physique infantile (MPI) précoce, confirme une étude menée en France à échelle nationale et publiée mercredi 15 mai.