La quatrième nuit de contestation sur le territoire français a été moins violente que les précédentes, selon le représentant de l’Etat sur l’archipel du Pacifique sud. Depuis ce lundi, les affrontements ont fait cinq morts, dont deux gendarmes. L’état d’urgence est en vigueur depuis ce mercredi.
L’élection n’a pas encore eu lieu, mais des critiques sur la stratégie engagée se font entendre dans les rangs écologistes. Certains demandent l’organisation d’un congrès exceptionnel à l’automne, en cas de lourde défaite.
Jusqu’aux élections européennes, «Libération» fait voyager vos papilles au sein de l’UE en vous proposant chaque jour une recette typique d’un pays membre. Cinquième étape sur l’archipel méditerranéen avec en-cas salé fourré à la ricotta.