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Note LePartisan
Après six ans passés à gérer ensemble la Métro en bonne intelligence, le groupe RCGE (EELV-LFI-Ecolocitoyens) découvre avec effroi que les notabliaux fauxcialistes ont achevé leur mue libérale, Ferrari en tête. Dans leur dos ?
Pour rappel, lors des municipales qui ont renouvelé cette assemblée, la famille politique du président sortant, reconduit au troisième tour après d'intenses tractations de couloirs, avait été nettement battue dans les urnes par la gauche écolo : 15 sièges pour le PS au conseil métropolitain soit - 9 sièges par rapport à 2014 ; 39 sièges pour les écolos, soit +11 par rapport à 2014...
Les trois plus grosses communes de l'agglo (2 PCF et 1 EELV), qui ont soutenu jusqu'au bout Mr Mongaburu (le candidat maintenu de Mr Piolle) passent ainsi de la majorité à l'opposition.
Un émule de Gérard Collomb aussi brillant que Monsieur Ferrari (puisqu'à la différence de son mentor lyonnais, la manoeuvre à parfaitement réussi) ne saurait renoncer pour si peu à ses ambitions !
#Monded'Avant
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Lire aussi : Tribune d'Eric Piolle dans Libération du 21/07/2020 : "Pour des métropoles démocratiques"
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Pense-bête :) Qu'est-ce que la gauche ? qu'est-ce que la droite ? vidéo, 2'''.
Critique communiste (2e série) : numéro 1 – Octobre 1981 – CONTRETEMPS
Grâce au remarquable travail réalisé depuis plusieurs années par l’association Radar [Rassembler et diffuser les archives des révolutionnaires], Contretemps va mettre à disposition dans les mois à venir les archives de la revue Critique communiste.
Critique communiste ne fut pas seulement la revue théorique d’un courant politique – en l’occurrence la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). Elle fut également – des années 1970 aux années 2000 – l’un des lieux les plus vivants d’élaboration et de discussion d’une pensée marxiste en prise avec les enjeux stratégiques de l’époque, rétive à l’orthodoxie stalinienne comme aux formalismes académiques.
BALLAST
Le débat Roméro / Lordon ( 2 volets )
[Note LePartisan : ]
Dans les pas de Murray Bookchin, le communaliste Floréal Roméro reprend deux des concepts fondamentaux du léninisme : la nécessité d'une avant-garde structurée, et la stratégie du double pouvoir, comme moyens d’atteindre une fin révolutionnaire face à l'Etat-nation... en essayant de les retourner contre Lénine (1) ...
Ce débat (la fin et les moyens) a traversé le mouvement ouvrier depuis sa naissance, jusqu'à l' assoupissement général (final ?) dans un réformisme grand teint et un productivisme débridé. Pas étonnant qu'il reprenne des couleurs après le collaps économique mondial inouï survenu en 2020 du fait d'une pandémie.
Sur le fond, la proximité des idées de Romero et des thèses de la toute nouvelle Union Communiste Libertaire (auxquelles nul ne renvoie jamais, ni dans sa mouvance ni ailleurs) est troublante, il suffit d'aller voir pour le constater.
La doxa en vigueur considère le léninisme pur jus comme berceau théorique et pratique du totalitarisme stalinien. La gauche dite radicale qui partage largement ce point de vue a depuis longtemps jeté Lénine aux orties. Les courants anarchistes, victimes historiques des bolchevicks, l'ont en horreur. Un courant transverse semble se dessiner aujourd'hui, qui en pince pour le communalisme, les ilôts d'expérimentation autonomes, les communs, etc.. en essayant de penser stratégiquement la question du pouvoir. On en est aux prémices, mais c'est çà qui est nouveau !!
LP
(1) « Sans une organisation clairement définissable, un mouvement risque de tomber dans la tyrannie de l’absence de structure. […] En étudiant de près l’histoire des révolutions passées, le problème le plus important que j’ai rencontré a été précisément la question de l’organisation. Cette question est cruciale, notamment parce que dans un bouleversement révolutionnaire, la nature de l’organisation peut faire la différence entre la vie et la mort. Ce qui est devenu très clair dans mon esprit, c’est que les révolutionnaires doivent créer une organisation très proactive — une avant-garde, pour reprendre un terme largement utilisé jusqu’à ce que la nouvelle gauche l’empoisonne en l’associant aux bolcheviks — qui possède elle-même sa propre paideia rigoureuse, qui crée une adhésion responsable de citoyens informés et dévoués, qui possède une structure et un programme et qui crée ses propres institutions, basées sur une constitution rationnelle. » M.Bookchin
Pour prolonger :
Face à la crise, actualiser le programme de transition
Daniel Süri, Contretemps, Juin 2020Pour les amateurs de pronostics à court terme dans un cadre strictement électoral cf ce fil twitter de Gille Raveau un prof d'éco à Paris 8.
Selon lui trois divergences programmatiques au sein de la gauche actuelle (sur l'Europe, l'écologie, l' Identité) sont insurmontables, si bien qu'elle perdra de nouveau en 2022...
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Les écologistes atterré·es
Des listes « ni de droite, ni de gauche », menées par des cadres et des chefs d’entreprises et comptant surtout des candidat·es « issu·es de la société civile », ça ne vous rappelle rien ? C’était exactement le pitch d’En Marche en 2017. C’est aussi le mantra des écolos qui prennent le pouvoir à la fois à la Ville de Lyon et à la Métropole. Vu leurs profils et leurs idées, l’après-Collomb ne devrait pas trop chambouler le ronron bourgeois de la cité des gones.
Libération (en clair)
Par Laurent Joffrin
Note : Belle nécro d'Henri Weber, ex-sénateur PS... Et avant çà, acteur et théoricien de Mai-68. Pas sûr que le camarade Krivine soit en désaccord pour une fois !
Lundi matin
Dans ce texte à la fois parodique et sincère, Xu Zhiyong revient sur la conduite de Xi Jinping ces dernières années, se moque de son peu de charisme, de ses tendances autoritaires et de sa bêtise, en s’adressant directement à lui à la deuxième personne. En mandarin, il est rédigé dans un style qui emprunte à la fois au langage classique et au langage familier, avec de nombreuses références politiques.
France-Culture
L'échelon municipal est-il le plus pertinent aujourd'hui pour pratiquer la démocratie participative ? C'est en tout cas à l'échelle des communes que les initiatives en la matière se multiplient. En ce sens, entre l'accumulation des listes dites citoyennes, le tirage au sort d'une partie des candidats et la multiplication des promesses de mise en place de budget participatif, les élections municipales de 2020 témoignent d'une certaine effervescence démocratique.
(podcast - 55 mn)
lePartisan
ll y a 77 ans jour pour jour le 22 février 1943 trois jeunes résistants allemands antinazis du groupe de la "Rose Blanche", Sophie Scholl, Hans Scholl et Christoph Probst étaient guillotinés.
ll y a 76 ans, le 21 février 1944 au matin, les 23 résistants étrangers du groupe FTP-MOI (Francs-Tireurs et Partisans - Main d’œuvre immigrée) tombaient sous les balles nazies au Mont Valérien. La seule femme du groupe, Olga Bancic, 32 ans, était transférée en Allemagne, et décapitée le 10 mai 1944 à Stuttgart.
Hommage éternel à leur combat si actuel face aux héritiers du nazisme.
Terrestres
Appel à résister aux 12 nouveaux projets inutiles et imposés
Emmanuel Macron a promis douze sites « clés en main » à des multinationales, pour favoriser la « reconquête industrielle de la France ». Des collectifs écologistes appellent les activistes à organiser la résistance contre ces projets inutiles à venir, souvent installés en zones naturelles sensibles.
Gérard Filoche
Ce texte rompt avec l’éparpillement de la gauche. La signature d’une « plateforme commune des forces de gauche et écologistes » est donc une bonne nouvelle, même si le texte présente plusieurs faiblesses.
SUD Energie
Place Gre'net
« Radicale » et « de rupture », c’est ainsi que se présente la liste La Commune est à nous, candidate déclarée aux élections municipales de Grenoble. Avec, dans ses rangs, les élus “dissidents” Guy Tuscher et Bernadette Richard-Finot, la liste étrille la politique menée par le maire de Grenoble Éric Piolle et promeut le Ric, la gratuité des transports en commun, la réquisition des logements vides et la lutte contre le capitalisme.
Gauche Démocratique & sociale
Les 15 et 22 mars auront lieu les élections municipales. Alors que les colères et revendications convergent, alors que le mouvement contre la retraite à points de Macron se poursuit, ce sera un moment politique important. Le macronisme sous les coups du mouvement social sortira-t-il affaibli de cette échéance électorale ? Le RN marquera-t-il de nouveaux points ? Une alternative de gauche se dessinera-t-elle enfin autour des urgences sociales, écologiques et démocratiques ?
Twitter / @Mathilde Panot
La députée Mathilde Panot dans le "débat" sur les retraites le 7 janvier 2020 à l' Assemblée Nationale :
"Votre projet est celui des paradis assassinés, nous inventerons notre futur débarrassé de vous et de votre inhumanité"
Intervention très combattive de la députée LFI du Val-de-Marne Mathilde Panot dans le "débat" sur les retraites le 7 janvier 2020 à l' Assemblée Nationale.
Mention très bien. Mais ça ne suffira pas. En face ils sont déterminés sourds.
Collectif
En France, et comme en beaucoup d’autres pays, la crise politique est majeure. Une élite capte le pouvoir, alliée à de puissants lobbys financiers, industriels ou agricoles. Ils promeuvent le capitalisme qui détruit les liens, les biens communs et les services publics, derniers remparts d’un monde basé sur la justice, le partage et la coopération. La pauvreté et la précarité gagnent partout du terrain. Le monde du travail (salarié.es, artisan.es, travailleur.es « ubérisé.es ») est progressivement dépossédé du cadre protecteur gagné par des années de combat (1936, 1944 programme du Conseil National de la Résistance, 1968). Quant à la réforme des retraites ou celle du chômage, l’urgence n’est plus aux compromis. Grands projets inutiles, gaspillage généralisé, destruction des terres agricoles, effondrement des populations animales et végétales, disparition de l’adelphité et de la solidarité, du beau et de la joie... S’il en va de leur disparition, il en va de notre futur.
Face aux multiples menaces qui pèsent sur nos avenirs, nous ne pouvons plus déléguer le pouvoir politique à des professionnels du milieu, issus en grande majorité des soi-disant élites de la Nation. Leurs décisions sont trop souvent influencées par les intérêts privés des détenteurs de gros capitaux, qui font du chantage à l’emploi leur levier de forçage politique. Nous avons accepté d’en être réduits à voter à chaque échéance pour un programme qui n’est qu’une liste de promesses que rien n’engagera à tenir, une fois la campagne de séduction électorale terminée. Le système représentatif a montré ses limites. Aucun contre-pouvoir ne s’exerce sur les élus, aucun contrôle des mandats, ni impératifs ni révocables. Pas de référendum pour demander l’avis du peuple, ou alors pour mieux le contourner derrière comme sur la Constitution Européenne. Il faut le dire, nous ne sommes pas véritablement en démocratie.
À Grenoble, malgré les espoirs et les attentes suscités il y a 6 ans par la liste conduite par Eric Piolle sur des engagements forts au niveau social, écologique et démocratique, beaucoup ont très vite déchanté. La politique menée est restée loin des promesses, aucune mesure forte pour contrer localement les méfaits de ces politiques néolibérales nationales. Aucune aide d’ampleur à ceux et celles qui n’arrivent plus à boucler les fins de mois. Aucune amélioration dans le fonctionnement démocratique de la municipalité, restée le lieu d’un autoritarisme masqué. Aucune considération de celles et ceux qui sont sur le terrain. Pire : aucun élément fort pour enclencher un changement de cap, aucun soutien concret aux luttes, aucune protestation autre que formelle, aucune résistance face aux attaques du système qui encourage les prédations des classes les plus riches, épuisant nos vies et notre monde.
À Grenoble, la Municipalité communique beaucoup, mais que ce soit au niveau communal ou métropolitain, seule l’imposture est en actes. Le Maire fait des tribunes nationales pour défendre le RIC mais dénigre avec force celui contre les démolitions à la Villeneuve (2019) et annule la pétition contre la fermeture des Bibliothèques Hauquelin-Prémol-Alliance (2017). Le Maire déclare Grenoble « Ville accueillante des migrants » mais demande l’expulsion des campements d’Esmonin (2015) et de Valmy (2016) sans véritable accompagnement. Les panneaux publicitaires sont supprimés à Grenoble mais le contrat avec Decaux sur la Métropole est renouvelé pour 13 ans avec de l’affichage numérique enprime.
La pollution est déclarée sujet majeur mais la majorité grenobloise vote toutes les délibérations du « beau et grand projet » * de l’extension de l’A480 et détruit même du logement social pour sa réalisation. La Municipalité continue d’“accompagner” l’embourgeoisement de la ville en soutenant des projets immobiliers à 4000 €/m2. Officiellement on défend les régies municipales mais on privatise l’éclairage public (2015), on maintient un partenaire privé dans la gestions des parking en ouvrage (2018-19) et on veut vendre l’Office public HLM à une Société d’Économie Mixte (2019). Le prochain Plan Local
d’Urbanisme perpétue la diminution des terres agricoles. Le Maire affirme être contre la démolition des logements sociaux mais signe avec conviction la Convention ANRU qui en détruit 677. La grande distribution est montrée du doigt par cette majorité mais elle vote 7 M€ pour le réaménagement de Grand’Place. La municipalité Piolle qui s’était affichée en 2014 comme « employeur exemplaire » s’est comportée comme un DRH démobilisateur, générateur de « burn out » et de précarité.
À Grenoble, le Maire et ses alliés ont appliqué l’austérité budgétaire sans concertation avec un hypocrite « Plan de sauvegarde des services publics » (39 M€ de baisse sur 5 ans) : fermeture de 2,5 bibliothèques des quartiers populaires, baisse générales des subventions aux associations, fin de la gratuité de nombreux locaux associatifs, suppression de 150 postes à la Ville... Tout en continuant d’être généreux avec Bouygues (1,5 M€ pour le bâtiment ABC sur la Presqu’île), avec le
Crédit Agricole (1,6 M€ pour l’achat de son siège, autorisation d’un parking de 500 places à la Presqu’ile), avec le gestionnaire de Grand’Place (7 M€), avec les actionnaires d’Alpexpo (4,6 M€ de recapitalisations successives), avec la SAS Télégrenoble (près de 500 000 € de subventions annuelles), avec les commerçant.es du Centre ville (1,4 M€ pour la rénovation de la place Victor Hugo)...
Nous avons la conviction que la meilleure réponse à cette gestion libérale de Grenoble est de nous organiser pour décider nous-mêmes. De nous rassembler entre citoyennes et citoyens, habitant.es des quartiers comme du centre, travailleurs.es comme chômeurs.es et précaires, jeunes comme retraité.es, sans voix comme militant.es, pour reprendre le contrôle de notre ville et de nos vies.
Le chemin passe par de l’information objective et critique, de la formation, de l’éducation populaire, des assemblées citoyennes par quartier ou par thèmes, des meilleures conditions sociales et une baisse du temps de travail, des referendums réguliers, et l’engagement moral des élus de porter ces décisions.
Quand certains en sont à faire remplir des questionnaires, à prévoir des comités citoyens consultatifs, nous aspirons à redonner à Grenoble le pouvoir au peuple, par le peuple et pour le peuple !
Retrouvons-nous en assemblées populaires pour élaborer collectivement un programme dans un véritable processus délibératif ouvert à tous et à toutes, et pour constituer démocratiquement une vraie liste de citoyen.nes qui nous ressemble.
Une liste qui ne sera pas porteuse d’une démocratie “participative” mais “directe”, une liste qui mettra en place des Référendums d’Initiative Citoyenne (RIC), une liste qui agira contre la professionnalisation de la politique en instaurant une rotation des élu.es, une liste contre la métropolisation qui nous éloigne des lieux de décision, une liste pour le droit de vote des étrangers et étrangères et des jeunes de plus de 16 ans. Une liste qui se battra :
• pour une vraie rupture écologique en matière de logement, de transport et de productions locales agricoles, pour les transports publics gratuits et contre les grands projets inutiles.
• pour donner un toit à tous.tes y compris par la réquisition de logements et bâtiments vides, pour que plus personne n’ait faim à Grenoble, pour développer les services publics et élargir la gratuité, véritable outil local de lutte contre les inégalités, la misère et la précarité.
• pour l’égalité des droits et l’émancipation de toutes et tous
• pour la fin de la répression discriminante et raciste dans les quartiers populaires.
• pour l’arrêt des subventions aux grandes entreprises.
• pour les solidarités entre les peuples, pour une ville logeant tous les réfugié.es.
• pour la culture, l’émancipation, le partage, la joie de vivre...
Conscient.es que pour sauver l’humanité et la terre il faudra sortir du capitalisme et des impostures écologiques et sociales actuelles, conscient.es que ce changement est sans compromis possible avec la soumission aux règles de gestion actuelles, nous ne ferons aucune alliance électorale et nous nous appuierons sur les résistances, les batailles collectives et les actes de désobéissance.
Conscientes de la nécessité d’un renouvellement démocratique, après l’élection et tout au long du mandat, les Assemblées populaires souveraines et ouvertes continueront de débattre et d’agir, de décider de la mise en œuvre du programme et de contrôler les élu.es.
Les participant.es à l’Assemblée fondatrice de « La commune est à nous ! » , réuni.es le 20 décembre 2019 à la Salle Rouge.
Stratégie 5 décembre : esquiver la République, fuir la Nation !
MediaManif
est une carte interactive des manifestations en temps-réel. Chacun peut y signaler les événements dans sa ville : manifestants (peu ou très nombreux), présence de forces de l'ordre, trucs à éviter (bouclages policiers, métros fermés, violences urbaines etc). et toutes sortes de choses :)
Cause Commune
Antenne ouverte de 8h à 20h
#GreveGenerale 93.1 FM à Paris et partout sur le web
«Libre à Toi, association de loi 1901 fondée en juin 2015, est une plate-forme transmédia d’innovation sociale et d’éducation populaire. C’est une fabrique de Communs.
Depuis le 20 novembre 2017, sur décision du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel, l'association édite le service de radio Cause Commune, à Paris et en Île-de-France sur 93.1FM. L’ensemble des contenus, produits sous logiciel libre, est aussi publié sous licence « creative commons ». En outre, l’association organise régulièrement des événements publics visant au décloisonnement de la culture et des savoirs.
Radio associative et citoyenne, Cause Commune investit des questions d’actualité ou de société en interaction avec ses auditeurs, relaye les initiatives locales dans les domaines de la protection de l’environnement, de l’économie solidaire et du partage des savoirs et de la culture, tout en ouvrant au questionnement, au débat et à l’échange autour de ces initiatives.
Réalisées en studio par ses animateurs-bénévoles (journalistes, chercheurs, représentants syndicaux, membres de structures associatives investies dans le développement des Communs ), les émissions de Cause Commune ne peuvent bien évidemment prendre corps qu’avec l’appui d’une réelle volonté associative et citoyenne de le soutenir.»
CONTRETEMPS / Collectif
13/11/19
La campagne des élections municipales, loin de relever d’un scrutin secondaire ou intermédiaire, est une formidable occasion de bouleverser notre univers politique. Elle ouvre un temps et un espace que nous devons nous approprier pour construire collectivement des réponses aux urgences qui nous menacent.
Groupe Jean-Pierre Vernant | Le Blog
Avant de tirer sa révérence pour une durée indéterminée (?) le groupe livre une longue analyse de la phase terminale du néolibéralisme : le "falscisme" (*
).
Lisible aussi ici en thread commenté
(*
)néologisme désignant une forme hybride nationaliste et identitaire du néolibéralisme