LePartisan.info À propos Podcasts Fil web Écologie Blogs Revues Médias
flux grenoblois • associations

 CGT ST Microelectronics

Syndicat des Ingé – Opé – Tech – Admin – Cadres
Permanences tous les lundis 12:00-16:00 – Tél. 04 76 92 64 56

Publié le 11.05.2025 à 12:30

A l’attention de la CFE-CGC, la CFDT et l’UNSA – courrier adressé le 10 mai 2025 (signature prévue jusqu’au 14 mai 2025)

Bonjour,

La CGT vous adresse ce courrier dans un esprit de dialogue syndical constructif et toujours dans l’espoir de bâtir un front intersyndical (bien que jusqu’à présent vous n’ayez pas répondu positivement à notre proposition), face à l’enjeu majeur que constitue le projet de restructuration actuellement en discussion au sein de STMicroelectronics.

Nous vous sollicitons sur l’avenant n°1 à l’accord de méthode proposé par la direction.

Nous tenons à vous faire part de notre profonde inquiétude concernant ce projet d’avenant, qui nous semble, en l’état, réduire considérablement les prérogatives des élus CSEC et CSE locaux, tout en affaiblissant les droits collectifs des salarié·es.

Ce que nous constatons :

1. Une contradiction entre le projet d’avenant à l’accord de méthode et les constats partagés

Nous avons toutes et tous, dans nos communications respectives aux salarié·es, pointé le manque criant d’informations économiques, industrielles et sociales pouvant justifier le projet de restructuration. Ces informations sont pourtant essentielles aux élu·es afin que ces derniers puissent se forger une opinion solide et construite et ainsi rendent un avis éclairé sur le projet soumis à information-consultation. 

Or, comment accepter la signature d’un avenant à l’accord de méthode qui : 

– organise une information-consultation et une expertise en CSEC, dans des délais contraignants et sans base d’informations complètes et sérieuses ? 

– valide la procédure d’information-consultation du CSEC uniquement pour le volet 1 sans recours possible pour des sites qui pourraient être fortement impactés au niveau de l’OPEX, ne serait-ce que par les mesures d’âge ?

– organise une information-consultation en CSE local pour Crolles, Rousset et Tours, dans des délais contraignants, sans base d’informations complètes et sérieuses et repoussant les expertises à 2026 voire 2027 ?

Ce projet d’avenant :

– valide la date du 29 avril 2025, comme début de l’information du CSEC pour le volet 2, alors que la direction refuse sciemment de répondre aux questions des élu·es sur le projet de restructuration ;

– fixe un calendrier contraignant, pour les élu-es comme pour l’expert, sans possibilité d’adaptation à la réalité du terrain. Le calendrier du mois de juin avec la plénière du CSEC, des avis à rendre et les sujets déjà en cours ne permettent, ni aux élu-es, ni à l’expert, de travailler sereinement. Nous avons déjà vécu cela à la suite de l’accord de méthode en nous en plaignant régulièrement, ne le validons pas de nouveau ;

– fixe un calendrier plus défavorable que les règles du code du travail (délais d’information-consultation plus courts pour le pilier 2 – restructuration manufacturing) ;

– fait référence à l’expertise votée en CSEC le 29 avril, mais pour rappel sans lettre de mission et sans mandat du CSEC ;

– prévoit que la commission économique soit impliquée dans la rédaction de la lettre de mission, alors que ce n’est pas à la direction de décider cela : ce sont les élu·es du CSE qui doivent décider qui a la charge de la rédaction de la lettre de mission, et valider ensuite la proposition de lettre de mission. En l’état, cette procédure n’a pas été respectée ;

– renvoi l’analyse du volet 1 et de ces conséquences à l’expertise annuelle relative aux orientations stratégiques de l’entreprise, c’est-à-dire au 4ème trimestre de chaque année.

2. Un précédent dangereux pour les droits collectifs

Signer cet accord, dans ces conditions, créerait un précédent préoccupant.

Cela reviendrait à valider une procédure d’information-consultation déconnectée de toutes les informations utiles et nécessaires à un avis éclairé, en contradiction directe avec les exigences du Code du travail.

Cela affaiblirait notre capacité collective à exiger de vraies négociations et de vraies informations-consultations, sur le fond du projet.

Cela décrédibiliserait les instances représentatives du personnel aux yeux des salarié·es.

Comment rendre un avis sans les éléments que nous exigeons toutes et tous à chaque réunion de CSEC, de CSE local, de négociation, …

3. Une répartition des consultations incohérente et injustifiée

Nous ne comprenons pas le choix opéré entre les sites qui seraient « informés » et ceux qui bénéficieraient d’une information-consultation. Si ce découpage repose sur une distinction entre activités Opex et Manuf, pourquoi Rennes Backend et Grenoble – qui comprennent bien des unités de production – sont-ils exclus du périmètre consulté ?

De plus, si seules les unités de production comportant des « métiers en transition » sont consultées, alors nous nous demandons pourquoi Rousset est consulté puisque la direction a communiqué que cette unité de production est exclue de ce périmètre.

Pour la CGT, ce projet mondial de restructuration touchant directement ou indirectement tous les sites, qu’ils soient de production, de support, de R&D ou de fonctions transverses, tous devraient être consultés.

Par ailleurs, l’avenant à l’accord de méthode perpétue une distinction entre les sites Opex et Manuf, réservant à ces derniers un droit systématique à l’information-consultation. Nous nous opposons fermement à cette scission artificielle, qui divise les salarié·es au lieu de les rassembler face à une restructuration d’ampleur.

4. La crainte de faire un chèque en blanc à la direction

Depuis l’annonce de ce projet, les revirements ont été nombreux. Initialement annoncé comme principalement impactant l’OPEX, force est de constater que la restructuration des unités manufacturing est loin d’être négligeable. Cet avenant, qui couvrirait toute la période jusqu’à fin 2027 verrouille de trop nombreux points à l’heure où :

– Les données concernant le périmètre manufacturing ne nous permettent en aucun cas d’évaluer les conséquences en termes d’emploi et de fragilisation des sites pour l’avenir ;

– Avec l’absence de vision concernant l’OPEX, nous ne pouvons aucunement évaluer l’ampleur de ce qui sera prévu et comment cela impactera les organisations, les conditions de travail et la santé des salariés restant pour gérer les projets déjà nombreux auxquels s’ajouteront tout le travail de gestions et de qualifications lié aux transferts.

Nous demandons donc à vos organisations syndicales, dans l’intérêt des salarié·es et du respect des prérogatives collectives, de refuser de cautionner ce type d’accord qui n’apporte aucune garantie réelle, et qui prive les instances représentatives du personnel de certaines de leurs possibilités légales à agir.

Ne déroulons pas le tapis rouge à ce projet de restructuration.

Syndicalement,

La CGT STMicroelectronics


Publié le 06.05.2025 à 12:31


Publié le 05.05.2025 à 15:51

Pétition à signer / Rassemblement de soutien – Lundi 5 mai 2025 à 19h – Place Victor Hugo à Grenoble

PÉTITION À SIGNER ET RELAYER : https://bit.ly/urgencepalestine

COMMUNIQUÉ DE PRESSE : https://urgence-palestine.com/non-a-la-dissolution-durgence-palestine

Le 10 avril 2025, la CGT STMicroelectronics et Urgence Palestine Grenoble, dans le cadre de la campagne internationale « Stop Arming Israël » ont organisé un appel à la grève et un rassemblement devant le site de Crolles, afin d’exiger de la direction de ST de cesser toutes collaborations avec l’Etat d’Israël, jusqu’à un cessez-le-feu permanent dans la bande de Gaza et le respect des droits des Palestiniens.

Le 30 avril 2025, le Ministère de l’intérieur a annoncé son intention de dissoudre Urgence Palestine dont Grenoble est l’un des 20 groupes locaux. Cette dissolution serait effective cette semaine, probablement autour du 8 mai ! 

Urgence Palestine est aujourd’hui l’une des principales organisations les plus actives en solidarité avec la Palestine, et qui se mobilise depuis plus d’un an contre le génocide à Gaza.

a population de Gaza est écrasée quotidiennement sous les bombardements israéliens. Des enfants gazaouis meurent sous les bombes ou de faim tous les jours…

Notre gouvernement, non seulement refuse de prendre des mesures contraignantes pour mettre fin au génocide en cours à Gaza, mais il s’en prend aux associations qui mettent en avant l’obligation morale de solidarité avec un peuple victime de génocide, mais aussi l’obligation légale figurant dans deux arrêts de la Cour Internationale de Justice du 26 janvier 2024 et du 19 juillet 2024 et dans le vote de l’Assemblée Générale des Nations Unis du 18 septembre 2024.

Nous dénonçons la complicité de notre gouvernement avec les crimes commis par l’État d’Israël, qui, au lieu de respecter ses obligations en vue du droit international, tente de museler les voix qui demandent le respect de ce droit et la fin du génocide en cours.

Nous dénonçons ces graves entraves à la liberté d’expression et au droit à la solidarité des peuples opprimés.

Nous apportons tout notre soutien au collectif Urgence Palestine menacé de dissolution.


Publié le 29.04.2025 à 15:45

Lire la déclaration de la CGT faite en séance

Déclaration des élus CGT du CSEC – 29 avril 2025

Les élus CGT constatent que, dans le cadre de la consultation en cours sur le projet
stratégique présenté par la direction, les informations communiquées sont
manifestement insuffisantes.

La direction refuse notamment :

  • de préciser les mouvements de salariés envisagés (mobilités, suppressions de postes,
    reclassements),
  • de fournir un planning clair et précis du projet,
  • de détailler l’impact réel du projet sur l’emploi, les conditions de travail, l’organisation
    et la santé des salariés.

Sans éléments concrets et complets, il est impossible pour les représentants du
personnel d’exercer leur mission d’analyse, de réflexion et d’expression d’un avis éclairé.

La CGT rappelle que le respect du droit à l’information est une condition essentielle
pour garantir la loyauté de la procédure de consultation, conformément aux
dispositions du Code du travail et à la jurisprudence de la Cour de cassation
(notamment arrêt du 21 septembre 2016, n°15-19.003).

À ce stade, les élus CGT considèrent que la première réunion d’information/consultation (R1) ne peut pas être regardée comme ayant valablement lancé la
procédure de consultation. Le délai légal de consultation ne peut commencer à courir
qu’à compter de la remise d’une information complète, après la réception des
documents présentés en séance, précise et sincère, ce qui est loin d’être le cas en
l’espèce.

En l’absence de communication d’éléments sérieux, les élus CGT dénoncent cette
situation et réaffirment leur exigence :

  • d’une information précise, exhaustive et sincère,
  • d’un calendrier de projet détaillé,
  • d’une transparence totale sur les conséquences sociales et humaines du projet.

Les élus CGT prennent acte de ce manquement et se réservent le droit d’utiliser tous les
moyens juridiques à leur disposition pour faire respecter les droits du personnel.


Publié le 28.04.2025 à 17:03

Manifestation à Grenoble – départ 10h avenue Alsace Lorraine et arrivée anneau de vitesse

Cette année, la manifestation du 1er mai se tient dans le contexte particulier de restructuration de STMicroelectronics, prévoyant des suppressions d’emplois et une délocalisation d’une partie de la production. Nous sommes opposés à ce projet délétère et nous appelons les salariés à se mobiliser.

Rejoignez la CGT nombreuses et nombreux dans le cortège du 1er mai !


Publié le 28.04.2025 à 12:51

En dehors des départs en préretraite, au moins 800 personnes seraient en surplus ! Et pour la France ??? Toujours pas de son, ni d’image d’Emmanuel Macron, de Marc Ferracci et de Nicolas Dufourcq !

(Traduction du communiqué des syndicats italiens, ci-après)

Aujourd’hui, 22 avril 2025, une réunion cruciale s’est tenue entre les organisations syndicales, le Ministre régional au Développement Économique Guido Guidesi, les dirigeants de STMicroelectronics Italie (notamment Colombo et Notarnicola) et Corporate (Gualandris et Cantù), pour discuter de l’avenir du site d’Agrate Brianza à la lumière du nouveau Plan Industriel présenté par l’entreprise.

L’enjeu est de taille

Le plan illustré par la direction prévoit une réorganisation profonde du site qui, si elle est confirmée, aurait un impact considérable sur l’emploi :

  • En dehors des départs en préretraite, au moins 800 personnes seraient en surplus !
  • Des productions stratégiques entières, comme BCD Legacy et MEMS, seraient transférées à Singapour ou même à des sites externes de fournisseurs chinois d’ici 2027.
  • Cela entraînera la disparition d’une partie importante d’AG200, la perte de savoir-faire et du rôle stratégique d’Agrate.

Une vision incertaine et risquée

L’entreprise a également admis que le plan repose sur des hypothèses de marché instables où le véritable point critique est le chiffre d’affaires. Ainsi, toute promesse de reprise en échange des coupes et du déplacement de la production vers l’Asie serait liée à une explosion du chiffre d’affaires loin d’être solide compte tenu des incertitudes présentées.

Il est inacceptable de construire une transformation industrielle aussi coûteuse pour le site sur des bases aussi fragiles, mettant en péril des centaines de familles et l’avenir d’un territoire entier (personne n’a déclaré que ces coupes seraient suffisantes pour ce plan !).

Le syndicat : « Non à ce plan, il faut un changement de cap !

Nous avons exprimé notre opposition totale et nette au plan tel qu’il a été présenté : il n’est pas digne de l’histoire industrielle d’Agrate ni de son importance pour la microélectronique européenne.

Nous avons demandé qu’il soit radicalement revu, en visant à :

  • protéger les niveaux d’emploi ;
  • garantir la continuité de la production locale ;
  • orienter les investissements vers une véritable relance et non vers une lente dissolution déguisée.

L’ouverture de l’entreprise : maintenant, passons aux actes

Face à notre détermination, l’entreprise a montré des ouvertures à la possibilité de reformuler le plan en annonçant de futures réunions.

Un pas important, mais insuffisant s’il n’est pas accompagné de choix concrets.

Nous sommes également certains qu’il y a des démantèlements et des déplacements de machines en cours au sein d’AG200. Ce comportement est inacceptable car il tente de mettre les partenaires sociaux devant des faits accomplis et irréversibles. Serait-ce là la voie sérieuse et transparente du dialogue social ?

Le rôle de la Région

Le Ministre régional Guidesi a partagé notre inquiétude et a déclaré que pour la Région Lombardie, le plan n’est pas acceptable, s’engageant à convoquer une nouvelle Table ronde dans deux mois et à impliquer le Gouvernement si les objectifs ne sont pas atteints. Il a également réaffirmé qu’un projet industriel durable pour le personnel en place est nécessaire, accompagné d’investissements publics ciblés.

Pas de recul

Notre objectif reste clair : défendre les emplois, la valeur du site d’Agrate et l’avenir de l’industrie lombarde. Nous sommes prêts à dialoguer, mais aussi à nous mobiliser avec force s’il n’y a pas de tournant concret.

Les travailleurs et travailleuses doivent savoir que nous ne voulons pas accepter de solutions au rabais. Chaque emploi compte. Chaque choix concernant notre avenir sera surveillé, discuté et, si nécessaire, combattu.

Début mai, nous convoquerons des assemblées rémunérées de RSU.

Agrate Brianza, 22 avril 2025

Les délégués FIM, FIOM, FISMIC et USB de STMicroelectronics Agrate Brianza


Publié le 16.04.2025 à 16:46


Publié le 09.04.2025 à 10:37

Rassemblement devant ST Crolles, jeudi 10 avril de 11h30 à13h30. Point presse à 12h30.


Publié le 04.04.2025 à 13:07

Quel avenir pour la FAB crolles 200 et ses salarié-es ??

Depuis vendredi 28 mars 2025, lors des AVP une communication très inquiétante est diffusée aux salarié-es, sans qu’aucune information préalable n’ait été communiquée aux représentant-es du personnel. Nous avons immédiatement demandé des explications à la direction. Voici la réponse de Mme DELHOMENIE : « Comme expliqué par Madame Levasseur en CSE, le produit Regulus est déjà en production sur les 2 usines de Crolles. Au regard de la baisse de la demande 300 mm dans le plan de charge F04, il a été décidé de transférer la majeure partie des volumes de production du Regulus sur C300. Cette évolution permettra aux salariés de C200 intéressés de postuler pour rejoindre les équipes de C300. Certains contrats temporaires ne seront pas renouvelés. Nous aborderons les plans d’activité résultant lors du prochain CSE, comme nous le faisons habituellement. »

L’information présentée en AVP indique également qu’il n’y aura pas de produit Thor BCD8 en 2025. Sur cette techno la Fab mère est Singapour, des problèmes de fiabilité sur les puces ST auraient été détectées par SeaGate qui a décidé de se fournir chez notre concurrent GlobalFoundries. La production devait commencer début juin, elle sera décalée de six mois, début 2026 si le problème est résolu.

Les mesures prévues sont l’augmentation du nombre d’équipements en joker, la redéfinition des structures techniques et de production cibles, la gestion de la mobilité vers CR300 pour les personnes intéressées.

Quel avenir pour notre industrie en Europe ?

Les annonces générales de la direction sont en phase avec nos inquiétudes pour crolles 200 : le plan pour l’avenir industriel des différents sites doit être présenté en avril mais la ligne générale est connue : accélération de la bascule du 200mm vers le 300mm. JM CHERY a évoqué trois critères de sélection pour les FAB à préserver : une taille critique, une automatisation importante, des technologies stratégiques pour ST.

Pour la CGT, si les installations industrielles peuvent être transformées, il est inacceptable que ST en profite pour supprimer des postes en production et de délocaliser. D’autant plus que l’entreprise bénéficie de subventions massives.

On constate d’ores et déjà une baisse de 100 CDI en production C200 en un an, 40% des opérateurs sont intérimaires ; la direction a avoué que l’effectif est si bas qu’elle doit recourir au remplacement par de l’intérim même pour un jour de congé. Nous alertons à chaque CSE sur le sous-effectif mais la direction ne partage pas notre inquiétude ce qui est logique si sa perspective est l’arrêt de C200 !

Comme en France, la direction en Italie n’est pas claire sur l’avenir industriel.  Face à cette attitude, les salarié.es italiens se mobilisent à l’appel de l’ensemble de leurs syndicats pour obtenir des réponses sur la stratégie de la direction et des garanties pour l’emploi et l’industrie en Europe. Les centaines de salariés ayant participé à la mobilisation ont déjà permis d’obtenir une réunion avec le gouvernement italien et la direction le 3 avril.

En France, la division syndicale n’a pas permis de lancer une démarche similaire bien que les sources d’inquiétudes soient nombreuses : construction de l’usine SiC en Chine (dédiée au marché chinois mais avec possibilité d’ouvrir à d’autres marchés asiatiques, soit une délocalisation à bas bruit) et choix de sous-traiter les STM32 destinés au marché chinois au fondeur local HHGrace.

Pour la CGT, face aux incertitudes actuelles, les questions industrielles sont LA priorité, nous travaillons avec nos collègues italiens et maltais pour défendre une stratégie européenne cohérente pour notre secteur.


Publié le 31.03.2025 à 14:53


END

🦉 Une chouette asso nous aurait échappé ? Signalez-la ici merci !
 ‣ Vos suggestions

AMAPS
Accueil Demandeurs d'asile
ADTC
Alternatiba
Aide et Action en Isère
Amis du Monde Diplo
Antigone
BAF (la)
Bobine (la)
Camp de base
Centre Social Tchoukar
Collectif Stop Métrocâble
Collectif STopMicro 38
Collectif Transports Gratuits
Droit au Logement
FNE - Isère
Fratrie des Glaneurs Solidaires
Labo Ouvert Grenoblois
Maison de la Nature et de l'Environnement
Observatoire International pour la Réinstallation des Cabines Téléphoniques
Office de l'Anti-tourisme
Pacifique (Le)
Parlons-y-vélo
Pluri-elles
Réseau Éducation Sans Frontières
Salle 5
Terre de liens
Unions de Quartiers
Un ptit Vélo dans la Tête
Un Toit Pour Tous
Verger Aventure
ZeroWaste
102 (Le)
 

 Publications

Affiches (les)
Bon Plan (le)
Collectif Ruptures
CRIC
Crieur de la Villeneuve (le)
Pièces & Main d'oeuvre
Postillon (le)
Sillon 38
Travailleur Alpin (le)
 

 Syndicats

Confédération Paysanne
CGT ST Microelectronics
UD CGT Isère
UD CFDT Isère
FSU 38
SOLIDAIRES
LDC - Éducation
 

  Scops · ess · scic

Turbine.Coop (La)
Atelier Paysan
Cap Berriat
Conservatoire des Espaces Naturels
Gresi21 - Centrales Villageoises
Pain des Cairns (Le)
Rhône-Alpes Solidaires
 

 Politiques

Ades
Ensemble-Grenoble
Guillaume Gontard
Élu.e.s isérois.e.s
Les Ecologistes de la métropole de Grenoble
 

 Autres

DREAL
INSEE
INRIA
UGA
 
‣ Sources fermées ou en sommeil