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The New York Times - Oct. 31,2022
Cory Doctorow
In “A Spectre, Haunting,” the British fantasy writer and political activist China Miéville makes the case for why Marx and Engels’s famous pamphlet remains vital today.
Book Review:A SPECTRE, HAUNTING: On “The Communist Manifesto” | By China Miéville | 291 pp. | Haymarket Books | Paperback, $21.95.
Twitter - @Eric_Sadin
Bonnes feuilles mises en ligne par l'auteur [ pp. 164 / 171: "3.Twitter, le triomphe de la parole sur l'action" ]
[ pp. 164 à 171: "3.Twitter, le triomphe de la parole sur l'action" ]
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> Eric Sadin: « Elon Musk personnifie à l’extrême cette idéologie “geeko-libertarienne” » (ITW en clair)
La Vie des idées - 14.09.2022
Selim Nadi
Emilio Albamonte et Matias Maiello remettent la discussion stratégique au coeur du marxisme, en retraçant les principaux débats stratégiques ayant animé la gauche révolutionnaire au XXe siècle.
Emilio Albamonte et Matias Maiello, Marxisme, stratégie et art militaire. Penser la révolution au XXIe siècle, Éditions communard.e.s, Paris, 2021, 430 p., 24 €.
Usbek & Rica - 13.03.2022
Dans « Un Nouvel âge des ténèbres, la technologie et la fin du futur » (Allia, février 2022), l’écrivain britannique James Bridle, formé aux sciences cognitives et à l’ingénierie informatique, formule un postulat étonnant : l’essor des technologies numériques ne coïncide pas avec le développement de l’intelligence humaine mais avec son irrémédiable déclin.
« L’abondance d’informations et la pluralité des points de vue sur le monde qui nous sont désormais accessibles via Internet ne produisent pas une réalité cohérente et consensuelle, mais une réalité marquée par une obstination intégriste envers les récits simplistes, les théories du complot et la politique post-vérité. C’est d’après cette contradiction qu’apparaît l’idée d’un nouvel âge de ténèbres : un âge où la valeur que nous avons conférée à la connaissance est anéantie par la profusion de cette ressource avantageuse »
James Bridle
humanite.fr - Mar. 28 déc. 2021
Manuel Cervera-Marzal
Manuel Cervera-Marzal est sociologue à l’université de Liège. Dans « le Populisme de gauche, sociologie de la France insoumise » (Éd. la Découverte), il décrit et explique la percée fulgurante puis le déclin tout aussi brutal de mouvements tels que la France insoumise ou Podemos. Mais un rebond reste selon lui possible… Entretien.
Le populisme n’est-il pas contre-nature ou « accidentel » en ce qui concerne la gauche ?
M.C-M : L’histoire des gauches est composée de plusieurs traditions. Le populisme est clairement l’une d’entre elles. L’oxymore, c’est quand on parle de « populisme de droite ». Le RN en France ou Vox en Espagne ne sont pas populistes de droite mais d’extrême droite. Quand on fait l’histoire des gauches, on a un peu tendance à oublier cette tradition populiste. Personne parmi les historiens n’a remis en question le fait que le People’s Party aux États-Unis ou les Narodniki en Russie étaient de gauche. Leur projet de transformation de la société était clairement de gauche. Personne en France jusqu’aux années 1990 ne considérait que le populisme ne puisse pas être de gauche. Ce sont des historiens entrepreneurs comme Pierre-André Taguieff qui ont commencé à écrire des articles pour expliquer que le FN n’était plus d’extrême droite mais national-populiste, puis populiste tout court. Du coup, aujourd’hui, tout est brouillé. Des chercheurs qui travaillent sur l’extrême droite disent travailler sur le populisme.
Vous soulignez que cette stratégie, avec le score de Jean-Luc Mélenchon en 2017, a fait ses preuves. Pourtant, dans votre livre, vous considérez que ce cycle s’achève avec la FI.
M.C-M : Quand on regarde ce qu’il s’est passé pour Podemos, Syriza, Jeremy Corbyn, on constate que cette stratégie a permis des percées électorales fulgurantes mais éphémères. Ce sont des forces politiques qui semblent surgir de nulle part en trois ou quatre ans. Mais, à moyen terme, la dégringolade est aussi brutale. Ces forces se sont souvent dotées de mouvements plutôt que de partis. Au moment de leur progression électorale, elles ont fait l’impasse sur la constitution d’un outil et d’un appareil militant. Elles ont pensé qu’avoir un leader charismatique et une base électorale ça suffisait. Or, c’est l’appareil militant qui permet de tenir sur la durée. Sinon, au moindre revers électoral ou à la moindre affaire touchant le leader, les populistes de gauche sont touchés en plein cœur. Pourquoi le PCF et le PS existent toujours malgré les revers électoraux ? C’est grâce à leur appareil militant.
Quel est le bilan de ce cycle populiste pour les gauches ?
M.C-M: En dehors du discours, les mouvements populistes ont cherché à s’émanciper de la forme parti, considérée comme obsolète. Le populisme est aussi du mouvementisme. Ces mouvements se sont créés sur une promesse de différence et de démocratisation des organisations politiques, qui n’a pas été tenue. En dehors des échéances électorales, ce sont des coquilles vides. Quand on dissipe le côté « gazeux », l’organisation est très verticale. S’il y a un bilan à tirer, c’est celui-ci. La forme parti s’épuise, mais le remède proposé s’est peut-être avéré encore pire que le problème qu’il était censé régler. Ce qu’il faut regarder avec intérêt en revanche, c’est la situation du Parti du travail de Belgique. Il existe depuis 1979, et il est passé de 0,5 % des voix au début des années 2000 à 15 % à Bruxelles et en Wallonie. Dans le même temps, ils sont passés de 800 à 20 000 militants. Le PTB est peut-être en train de montrer une voie. Il a conservé ses structures de parti, son orthodoxie marxiste, tout en s’ouvrant sur la société, les étudiants, les plus précaires, et en choisissant un discours plus populiste. En France, ni les socialistes ni les communistes n’ont pu reprendre le leadership à gauche. Pour l’instant, c’est toujours Jean-Luc Mélenchon qui le tient et qui reste le seul en mesure d’accéder au second tour.
Ce n’est pas contradictoire avec votre théorie sur la fin du cycle populiste ?
M.C-M : En 2019, quel que soit le pays, la gauche populiste a subi revers sur revers. En 2022, j’observe toujours la décrue. Mais je ne sais pas non plus ce qu’il va se passer dans les prochains mois et les prochaines années. On est dans des conjonctures politiques très ouvertes. Les grands partis de gouvernement de droite comme de gauche sont fragilisés dans la plupart des pays européens. La FI comme d’autres mouvements ailleurs peuvent rebondir à nouveau très fortement.
Le Club de Mediapart - Frédéric L'Helgouach
« Ceux qui quittent le Congo le font car aucun investissement n’est possible dans un pays en pleine guerre civile. Un détail : nous importons du cobalt du Congo, mais nous ne voulons pas de ses ressortissants. Quant à l’Ethiopie, Madagascar, la Somalie et le Burundi, on en part principalement à cause de la sécheresse. On part du Soudan du Sud et de la République centrafricaine parce qu’il n’est pas possible d’envisager un avenir dans des régions touchées par une guerre civile permanente. Pour les mêmes raisons, on part du Cameroun, du Nigeria, de l’Ouganda, du Kenya.
« Maiduguri, Nigeria, le 23 mars 2016. Gbenga a été enlevé par Boko Haram dans son village natal de Kirenowa, au nord-est du Nigeria, avec son cousin Mohammed. Pendant huit mois, il a été obligé d’assister à des décapitations de masse, d’étudier le Coran et de travailler dans leur camp. Gbenga vit maintenant avec son frère à Maiduguri, tandis que leurs parents sont toujours portés disparus. La situation à Kirenowa reste instable, ce qui l’empêche de rentrer chez lui. » © Andy Spyra - ‘En mer, pas de taxis'
Et tandis que nous abandonnons les gens en mer, que nous acceptons qu’en Libye plus d’un demi-million de personnes soient détenues illégalement et réduites en esclavage pour notre compte, que nous exportons des armes vers l’Afrique et contribuons à son instabilité politique, il y a tant d’Afrique dans notre vie quotidienne, même si aucun chef d’Etat ou de gouvernement n’aura l’honnêteté de l’admettre. Dans les goûters que nous mangeons, il y a du cacao africain, du coltan dans nos smartphones; nos parquets sont en iroko, le bois des forêts africaines; les plantes italiennes poussent grâce aux engrais importés d’Afrique; la bauxite qui sert à construire les avions dans lesquels nous voyageons et les canettes dans lesquelles nous buvons est à 100% africaine. Les biens qui nous permettent de vivre peuvent circuler : pourquoi les personnes ne pourraient-elles pas en faire autant ? Et le court-circuit se produit lorsque, avec un simple téléphone portable, un jeune Libérien du Togo ou du Bénin se rend compte qu’ailleurs dans le monde, il n’y a pas simplement plus de possibilités, mais les seules possibilités. Que faire alors de la seule vie qu’il a ? Que feriez-vous à sa place ? »
En mer, pas de taxis, Roberto Saviano, Gallimard, 2021
(Femmes Unies Contre le Kapital)
Zdenka Ustanak
147 p. gratuit en ligne.
Hubert Krivine
Editions Deboeck, 2021,128 p., 15,90 euros.
Présentation critique du livre par Jacques TREINER
Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d’entre elles ne pourra en poser un ! Prophétie quelquefois attribuée à Albert Einstein. L’appellation intelligence artificielle (IA) est la source de bien des fantasmes d’apocalypse ou de paradis lorsqu’elle peut faire accroire qu’il s’agit d’une intelligence, mais « en mieux ». L’IA moderne travaille essentiellement à partir de corrélations tirées de l’analyse statistique de millions – voire de milliards – de données. Il convient donc de s’interroger sur le rôle des corrélations dans la genèse de l’intelligence, humaine comme artificielle. Or, qu’elles soient causales ou pas, les corrélations permettent de prévoir, ce qui suffit dans bien des cas. Mais permettent-elles de comprendre, et surtout d’expliquer ? Est-ce même encore nécessaire, à l’heure des Big Data ?
++ Il est assez facile de trouver et télécharger gratuitement et légalement pour usage personnel «L’IA peut-elle penser ?»** (format PDF, 102 Mo) ++
Terrestres - Audioblog Arte-Radio
Extraits lus par Valérie Barral et Thierry Paillard, Compagnie le Rouge et le Vert, 33 mn.
(...) L' incessante bataille de la vie qui nous a fait les ennemis de l'animal, des prairies et de l'oiseau du ciel, excite aussi nos instincts contre les populations du ruisseau. Cette terrible bouche armée de dents qui s'ouvre au milieu de notre visage nous rends semblables au tigre, au requin, au crocodile. Comme eux nous sommes des bêtes féroces. D'ailleurs, les ruisseaux et les fleuves étaient jadis bien autrement riches en poisson qu'ils ne le sont de nos jours...
note : Le paysage sonore soigné ajoute à la puissance d'évocation de ce texte terrible, mi-poétique mi-philosophique, et au plaisir de l'écoute.
@Ludivine Bantigny
Un thread enthousiaste de Ludivine Bantigny à propos du dernier livre de Frédéric Lordon, "Figures du communisme" (La Fabrique).
Impossible de mettre le dernier livre de Frédéric Lordon en tweets, comme on le mettrait en boîte. Tout de même, un fil sur quelques nœuds de la réflexion, de la description du capitalisme à l'imaginaire postcapitaliste, et des questions stratégiques ailleurs trop rarement posées
Figures du communisme - EXTRAITS - par EDITIONS DE LA FABRIQUE
Lepostillon.org
C' est l’évènement politico-littéraire dans la cuvette en ce début 2021 : la sortie du deuxième livre du Postillon, aux éditions Le monde à l’envers.
La gauche rouge-verte au pouvoir : le cas de Grenoble
"Le Vide à moitié vert" a pour ambition de dresser un portrait du premier mandat de Piolle à la mairie de Grenoble. Et d’éclairer ainsi les lanternes de toutes les personnes qui se demandent « comment ça se passe dans une municipalité écolo », qu’elles soient habitantes de villes récemment conquises par les Verts, séduites par la montée en puissance de Piolle au niveau national ou simplement curieuses.
Si beaucoup des informations présentes dans ce bouquin sont connues des lecteurs assidus du Postillon, il ne s’agit néanmoins pas d’une compilation d’articles à la manière de Mélancolie postale (notre hors-série sur La Poste). L’idée, c’était de proposer quelque chose d’un peu littéraire, en racontant aussi des bribes de vie de notre petit journal de contre-info locale, avec ses doutes, ses enthousiasmes et même parfois ses erreurs. Pour vous donner envie de vous ruer dans toutes les bonnes librairies, voici quelques extraits.
"Le Vide à moitié vert" est disponible dans toutes les bonnes librairies pour 10 euros seulement.
Laurent Tillon - Actes Sud
Depuis son adolescence, Laurent Tillon écoute patiemment Quercus, un grand chêne sessile dans la force de l’âge, deux cent quarante ans.
Dans ce texte nourri de science, de poésie et de philosophie, Laurent Tillon nous révèle quelques-uns des grands secrets de la forêt et nous indique les pistes à explorer pour admirer longtemps encore Quercus et toute sa communauté forestière.
Emission l'Heure Bleue
Laurent Tillon, chiroptérologue, est chargé de mission dans la prise en compte de la faune dans la gestion forestière à l'Office national des forêts.
Editions Agone
Alain ACCARDO
La petite bourgeoisie est constituée par un ensemble de groupes sociaux ayant pour caractéristique commune d’occuper les positions moyennes du champ des classes sociales, à mi-distance des pôles extrêmes occupés respectivement par la grande bourgeoisie et par le prolétariat industriel ou agricole. Cette région intermédiaire du champ peut être considérée comme un lieu neutre, c’est-à-dire relativement indéterminé, dans la mesure où les déterminations liées à l’opposition polaire se neutralisent, s’équilibrent mutuellement en engendrant un type social composite : le petit-bourgeois.
ACTA - 30.11.2020
Max Ajil
Andreas Malm a publié cette année «La chauve-souris et le capital. Stratégie pour l’urgence chronique» (éditions La fabrique), où, prolongeant ses thèses sur le « capitalisme fossile », il se confronte aux modes de résolution possibles de la crise climatique en cours, à la lumière de la pandémie de Covid-19 et des interventions étatiques d’urgence élaborées pour y faire face. Malm y plaide pour un « léninisme écologique » qui adapterait aux conditions du présent le communisme de guerre mis en place par les bolchéviques après la Révolution d’Octobre.
Dans le texte qui suit, Max Ajl propose une critique des solutions programmatiques de Malm, pointant notamment le caractère « purement hypothétique et textuel » de son léninisme écologique – dont le sujet demeure introuvable – au mépris des luttes populaires réelles, sur le continent américain et ailleurs, en internalité auxquelles tout projet révolutionnaire devrait se fonder. Il nous a semblé que ces objections, parfois vigoureuses, méritaient d’être traduites, tant le débat sur les stratégies révolutionnaires écologiques est essentiel aujourd’hui et d’autant plus qu’Andreas Malm nous a promis d’y répondre dans les mois qui viennent.
de Catherine et Raphaël Larrère
Note : Ce petit essai est bâti autour de l' idée suivante: l’écologie radicale ne doit pas se laisser absorber dans un courant qui finalement dessert ses objectifs.
Aucune polémique déplacée, il n’est pas question, pour Catherine et Raphaël Larrère, de nier que nous connaîtrons des catastrophes dans un futur plus ou moins proche. Ce qui est visé est l'effet de découragement, voire de sidération des thèses des collapsologues.
C’est en politisant l’écologie et en adoptant un point de vue local que s'ouvriront de nouvelles et multiples possibilités d’action. Loin de minimiser la catastrophe on parviendra peut-être ainsi à l'éviter – car elle est évitable. Et que l'urgence des urgences est de gagner résolument et collectivement en puissance d'agir.
L.P
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Le pire n'est pas certain, Catherine & Raphaël Larrère, Editions Premier Parallèle, 208p, septembre 2020. 18 € papier , 11,99€ numérique. ISBN papier : 9782850610424 - numérique : 9782850610431
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Recensions : Premier Parallèle, Philosophie Magazine , Humanité & Biodiversité , Anti-K ...
Livre numérique en téléchargement gratuit, 88 pages
« Ce qui nous attend n'est pas un big flash, une fin du monde brutale et instantanée. Non, quoi qu'il arrive, ça va se déglinguer pendant des siècles. Alors ma question est : que peut-on fabriquer aujourd'hui qui puisse éventuellement être ressource pour ceux qui viennent. »
Formée à la chimie, la philosophie, Isabelles STENGERS, héritière de Gilles Deleuze et Félix Guattari est l'une des grandes penseuses de l'écologie en langue française. Un dialogue avec Marin SCHAFFNER, auteur d' Un sol commun (Wildproject,2019)
Livre numérique en téléchargement gratuit
Recueil de textes de : Claude Alphandéry, Sabrina Ali Benali, Ludivine Bantigny, Clotilde Bato, Anne Beaumanoir, Brigitte Boréale, François Boulo, Dominique Bourg, Juan Branco, Valérie Cabanes, Aymeric Caron, Hugues Charbonneau, Pauline Londeix et Jérôme Martin, Samuel Churin, Alain Damasio, Cyril Dion, Marc Eichinger, Bernard Friot, Bruno Gaccio, Caroline Guy, en collaboration avec Julien Le Provost et Héloïse Pierre, Yannick Kergoat, Philippine Leroy Beaulieu, Priscillia Ludosky, Virginie Martin, Florent Massot, Dominique Méda, Raymond Millot, Julie Moulier, Agnès Naudin, Fabrice Nicolino, Fatima Ouassak, Antoine Peillon, Benoît Piédallu, Thomas Piketty, Monique et Michel Pinçon-Charlot, Régis Portalez, Denis Robert, Coline Serreau, Pablo Servigne, Pacôme Thiellement, Marie Toussaint.
-> Voir aussi : une excellente recension de textes de la même veine dans Et maintenant, radicaliser l’urgence par Joseph CONFAVREUX (Mediapart - article réservé aux abonnés)
« Je ne crois pas qu’une procédure électorale apaisée dans des institutions inchangées soit en mesure de mener à des changements radicaux, mais je pense que l’histoire va inventer ses voies, et que la violence et la subversion vont en faire partie. » T.Piketty
jewpop.com
Les petits matins rouges - Récit d'une trahison
Une interview très « social-traître » (ce sont eux qui le disent) de l'auteur Laurent-David Samama
« C’est une pensée impossible à résumer en quelques lignes, en quelques mots, en un seul tweet. C’est également un certain rapport à la défaite, à la lose magnifique, dans un monde où la victoire est devenue le seul horizon acceptable. »
A l'encontre
Entretien avec Kohei Saito
K. Saito est l' auteur de "Karl Marx's Ecosocialism - Capital, nature and the unfinished critique of poitical economy" conduit par l’animateur du site Climate&Capitalism Ian Angus