« Exploratrice, aventurière, motarde, féministe, bordélique, organisée, rêveuse, curieuse… » C’est ainsi que se décrit Mélusine Mallender sur son site internet. En juin 2010, elle décide de partir seule avec sa vieille moto 125 cm3 pour « aller le plus loin possible » en direction de l’Est. On lui prédit qu’elle ne dépassera pas le périphérique parisien. Quatre mois plus tard, elle arrive pourtant à Vladivostok, où la mer du Japon l’arrête. À sa manière, elle a
Lire plus (89 mots)
« Exploratrice, aventurière, motarde, féministe, bordélique, organisée, rêveuse, curieuse… » C’est ainsi que se décrit Mélusine Mallender sur son site internet. En juin 2010, elle décide de partir seule avec sa vieille moto 125 cm3 pour « aller le plus loin possible » en direction de l’Est. On lui prédit qu’elle ne dépassera pas le périphérique parisien. Quatre mois plus tard, elle arrive pourtant à Vladivostok, où la mer du Japon l’arrête. À sa manière, elle a