Deux expositions consacrées à l’art brut se tiennent actuellement à Paris, l’une au Grand Palais, l’autre à la Halle Saint-Pierre, qui réunit des artistes iraniens. D’emblée se pose le problème de la définition de ce courant artistique, aussi bien pour les organisateurs que pour le public. Question formelle ? Pas seulement. Malgré les tentatives d’établir des chapitres thématiques au Grand Palais, pour faciliter la lecture de l’ensemble des œuvres exposées, l’interrogation