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 Les Affiches

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Publié le 07.07.2024 à 22:06

Dans la 6e circonscription de l’Isère, le député sortant Alexis Jolly (RN) est largement réélu avec 62,16 % des suffrages exprimés, devant la candidate du Nouveau Front populaire Yaqine Di Spigno (37,84 %).

Le taux de participation de la 6e circonscription de l’Isère s’élève à 68,16 %.

L’article Législatives 2024 : Alexis Jolly (RN) élu face à Yaqine Di Spigno (NFP) est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 07.07.2024 à 22:02

Dans la 8e circonscription de l’Isère, Hanane Mansouri (Union « Ciotti-RN ») est élue avec 54,10 % des suffrages exprimés, devant la candidate du Nouveau Front populaire Cécile Michel (45,90 %).

Le taux de participation de la 8e circonscription de l’Isère s’élève à 70,77 %.

L’article Législatives 2024 : Hanane Mansouri (Union « Ciotti-RN ») élue face à Cécile Michel (NFP) est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 07.07.2024 à 21:56

La 10e circonscription de l’Isère bascule dans le camp du Rassemblement national, avec la victoire de Thierry Perez, qui obtient 55,40 % des suffrages exprimés, devant la candidate du Nouveau Front populaire Joëlle Richol (44,60 %).

Le taux de participation de la 10e circonscription de l’Isère s’élève à 68,14 %.

L’article Législatives 2024 : Thierry Perez (RN) élu face à Joëlle Richol (NFP) est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 07.07.2024 à 21:47

Dans la 4e circonscription de l’Isère, Marie-Noëlle Battistel, la députée sortante PS, soutenue par le Nouveau Front populaire, est réélue avec 59,92 % des suffrages exprimés, devant Anne-Marie Malandrino, la candidate de l’Union Ciotti-Rassemblement national (40,08 %).

Le taux de participation de la 4e circonscription de l’Isère s’élève à 71,43 %.

L’article Législatives 2024 : Marie-Noëlle Battistel (NFP) réélue face à Anne-Marie Malandrino (Union Ciotti-RN) est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 07.07.2024 à 21:45

Dans la 5e circonscription de l’Isère, le député sortant Jérémie Iordanoff (Nouveau Front populaire) est largement réélu avec 59,95 % des suffrages exprimés, devant la candidate du Rassemblement national Frédérique Schreiber (40,05 %).

Le taux de participation de la 5e circonscription de l’Isère s’élève à 73,14 %.

L’article Législatives 2024 : Jérémie Iordanoff (NFP) élu face à Frédérique Schreiber (RN) est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 07.07.2024 à 21:41

Dans la 9e circonscription de l’Isère, la candidate du Nouveau Front populaire Sandrine Nosbé remporte cette élection avec 52,63 % des suffrages exprimés, devant la candidate du Rassemblement national Cécile Bene (47,37 %).

Le taux de participation de la 9e circonscription de l’Isère s’élève à 71,42 %.

L’article Législatives 2024 : Sandrine Nosbé (NFP) élue face à Cécile Bene (RN) est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 07.07.2024 à 21:39

Dans la 2e circonscription de l’Isère, la députée sortante Cyrielle Chatelain (Nouveau Front populaire) est arrivée en tête avec 62,07 % des suffrages exprimés, devant le candidat du Rassemblement national Édouard Robert (37,93 %).

Le taux de participation de la 2e circonscription de l’Isère s’élève à 67,63 %.

L’article Législatives 2024 : Cyrielle Chatelain (NFP) élue face à Édouard Robert (RN) est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 07.07.2024 à 20:45

Le candidat Les Républicains de la 7e circonscription Yannick Neuder est arrivé en tête avec 54,33 % des suffrages exprimés, devant Benoît Auguste (RN), qui obtient 45,67 %.

Le taux de participation de la 7e circonscription de l’Isère s’élève à 71,57 %.

L’article Législatives 2024 : Yannick Neuder (LR) élu face à Benoît Auguste (RN) est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 05.07.2024 à 10:47

Que ce soit aux portes de l’Himalaya pour tourner « One degree », ou dans les anfractuosités souterraines du mythique gouffre Berger, avec « On a marché sous la terre », le réalisateur Alex Lopez ne cesse de surpasser les obstacles techniques. Pour ce Grenoblois d’adoption, mordu d’arts, de sports et de montagne, un seul objectif : montrer à travers ses films la nature telle qu’il la voit, d’une beauté à la fois fragile et bouleversante.

Avez-vous toujours été réalisateur ?

A.L. Avant d’exercer ce métier, j’étais éducateur et animateur, des boulots très énergivores. Je sentais que j’étais à la rupture. J’avais aussi cette passion de la vidéo qui me bouffait et je me suis dit qu’il fallait tenter de la vivre. J’ai donc changé de métier à 25 ans en faisant une formation de monteur graphiste vidéo. Je répondais à des films de commande et passais tout mon temps libre en montagne. Le métier demande de partir à Paris, mais ce n’était pas une option pour moi car je savais que je voulais rester à Grenoble. J’adore bouger, voyager, mais je ne me vois nulle part ailleurs. Je suis ensuite devenu réalisateur pur et dur, en tournant notamment des films de montagne et d’aventure parce que dans mon cheminement de réalisation, je suis resté attaché à mes valeurs d’éducation populaire et de relations sociales.

Pourquoi avoir choisi de montrer la spéléologie ?

A.L. Très vite, j’ai su que je pouvais rendre lisible et visible ce sport et ces milieux souterrains qui m’ont tout de suite fasciné. L’un de mes seuls regrets dans la vie est d’ailleurs d’avoir commencé la spéléo trop tard, il y a seulement dix ans ! Parce que c’est tellement génial que j’aurais aimé découvrir ça plus tôt. J’ai su que j’allais un jour faire un film notamment car lors des Rencontres Ciné Montagne, j’étais frustré de ne pas visionner des films de spéléo ou alors de voir des choses qui n’étaient pas à la hauteur de mes attentes. Je voulais essayer d’élever la spéléo au même rang que l’alpinisme. C’était une forme de combat personnel de redorer ce blason. Car après la découverte du gouffre Berger en 1953, (NDLR : cavité du Vercors, à l’époque le trou le plus profond jamais découvert), il n’y a eu presque aucune médiatisation sauf pour les accidents. À l’inverse de l’alpinisme. Depuis toujours, le souterrain fait peur et j’ai tenté d’y ramener de la lumière.

Ce film, c’est aussi une histoire d’amitié…

A.L. À la base, nous étions poussés avec Cédric Lachat et David Parrot (NDLR : les deux protagonistes du film) par une envie de raconter un exploit sportif, une conquête de l’inutile. Mais c’est devenu très rapidement une histoire d’amitié et cela s’est énormément ressenti dans tout le processus. Au bout de deux expéditions, on ne savait même plus si on allait sous terre pour faire le film, faire les explorations, ou pour se retrouver entre potes.

Vous avez aussi réalisé en 2023 One degree, documentaire tourné en Himalaya à plus de 5 000 mètres d’altitude, pour montrer les mutations environnementales. Pourquoi ?

A.L. Il y a une urgence de questionner nos pratiques de la montagne et notre rapport à notre environnement. Je mets beaucoup de temps dans mon processus personnel à prendre cela en considération, mais je me sens très imprégné de cette réflexion. Je pense qu’il faut que j’utilise les armes en ma possession pour participer à ce grand chamboulement. One degree, un film de commande, a été une première étape à cela. J’ai voulu participer à ce grand débat et d’autant plus en spéléo, parce que nous avons dix ans de retard par rapport à une grande partie des sports de nature. Comment nous comporter et préserver notre milieu ? Les pratiques commencent à bouger, mais tout doucement.

Qu’est ce qui vous anime le plus dans vos tournages ?

A.L. Ce qui m’exalte vraiment, avant les questions écologiques plus consensuelles, est le fait de ramener une documentation d’un endroit très compliqué d’accès. Et c’est la valeur qu’elle a pour moi qui m’intéresse vraiment. C’est une démarche assez égoïste ! La nature est un lieu d’expérimentation dingue et je veux découvrir tout ce qu’il y a autour de nous.

Comment qualifiez-vous vos films ?

A.L. Ce n’est pas une simple démarche documentaire mais aussi fantastique, je veux que les gens puissent voir le monde souterrain comme ils pourraient visionner un film de science-fiction. Cela me plaît d’entretenir ces légendes qui nous font peur pour de justes raisons : le souterrain n’est pas un milieu dans lequel on est censé se balader. Ce noir intense effraie et je veux qu’il vive dans mes photos et dans mes films. Mais je ne veux pas que mes films se limitent à des films d’aventure. Le point commun dans mon parcours personnel, c’est l’art et le sport. Quand je vais voir un spectacle, je ressens les mêmes choses que lorsque je vis une sortie spéléo qui me bouleverse. Je veux que ces deux veines se retrouvent dans mon film pour exploser ensemble. Il y a aussi de la sensibilité et de la poésie dans mes films.

Et pour la suite ?

A.L. Je vais réaliser un autre film de spéléologie mais cette fois sur le thème de l’eau et en Papouasie-Nouvelle-Guinée. Nous irons avec Cédric, David et Léa (NDLR : participante de On a marché sous la terre) pour montrer que des femmes aussi pratiquent la spéléo en exploration. À l’heure où les questions de pénurie d’eau commencent à se faire sentir un peu partout, quel rôle jouent les spéléologues dans une meilleure connaissance du réseau souterrain ?

  • 1986 : naissance et enfance à Valence.
  • 2013 : devient monteur graphiste vidéo.
  • 2016 : réalise un premier documentaire « Vies d’ados ».
  • 2017 : reçoit ses premiers prix en photographies souterraines.
  • 2023 : sorties des films « One degree » et « On a marché sous la terre ». Ce dernier film a obtenu 15 distinctions, dont le Grand Prix 2024 décerné par le Fonds d’aide au cinéma de montagne (Fodacim).

L’article Alex Lopez, réalisateur et photographe: « Je veux tenter d’élever la spéléo au même rang que l’alpinisme » est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 04.07.2024 à 14:03

La défense de l’homme doit être envisagée dans son humanité, même s’il n’en reste qu’une once, disait Robert Badinter.
La justice restaurative permet de réveiller cette once d’humanité, tant pour l’auteur que pour la victime. Protéger la société et promouvoir une justice restaurative se conjuguent ainsi de manière complémentaire et nécessaire.

> En Belgique, sous l’impulsion d’experts comme le professeur Vandermeersch de l’Université de Louvain, le Code pénal belge a récemment été modifié pour faire de la prison une alternative, prouvant ainsi que protéger la société n’est pas incompatible avec une justice plus restaurative.

La justice restaurative en France : définition et apports

Introduite par la loi du 15 août 2014, la justice restaurative fait partie intégrante du Code de procédure pénale, à l’article 10-1 : « À l’occasion de toute procédure pénale et à tous les stades de la procédure, y compris lors de l’exécution de la peine, la victime et l’auteur d’une infraction, sous réserve que les faits aient été reconnus, peuvent se voir proposer une mesure de justice restaurative… »

C’est une mesure complémentaire au système pénal traditionnel. Elle repose sur le dialogue entre les victimes et les auteurs d’infractions, apportant à la fois apaisement pour les victimes et responsabilisation pour les auteurs. Ses principes fondamentaux sont la confidentialité des échanges et l’autonomie de la sanction pénale. Pour être mise en œuvre, elle nécessite la reconnaissance des faits par l’auteur, le consentement des participants, et la présence d’un tiers indépendant et formé.

Les dispositifs de justice restaurative peuvent être pré ou post-sentenciels et prennent différentes formes, y compris les rencontres directes ou indirectes entre groupes de victimes et d’auteurs d’infractions similaires. Ces dispositifs ont montré des résultats prometteurs, notamment dans la réduction des récidives et l’apaisement des relations sociales. La justice restaurative est pratiquée de manière inégale sur le territoire français, malgré une loi en vigueur depuis 2014.

Les bénéficiaires des mesures de justice restaurative en retirent tous un grand bénéfice, tant sur le plan personnel que professionnel, comme en témoignent de nombreux récits. Les animateurs de ces mesures sont des bénévoles formés ou des professionnels exerçant d’autres professions judiciaires.

Lors de différents colloques, dont le dernier à l’Assemblée nationale le 4 juin 2024, différents professionnels ont pu échanger sur leurs pratiques et des pistes de réflexions ont émergé.

1. Information systématique : l’accès à la justice restaurative doit être reconnu comme un droit, et l’État doit se doter des moyens nécessaires pour respecter ce droit.

2. Temps dédié pour les agents : les DISP et DTPJJ doivent allouer du temps spécifique à leurs agents pour la pratique de la justice restaurative.

3. Formation des avocats et magistrats : il est crucial de financer la formation des avocats et des magistrats à un module de sensibilisation à la justice restaurative pour les rendre aptes à être des prescripteurs éclairés.

4. Référents justice restaurative : instituer systématiquement des référents justice restaurative au sein des Barreaux et des juridictions.

5. Aide juridictionnelle : accorder de droit l’aide juridictionnelle aux auxiliaires de justice intervenant en justice restaurative.

La mise en pratique de la justice restaurative en Isère

À Grenoble et en Isère, des programmes de justice restaurative se développent grâce à une convention de partenariat signée en 2022. Cette convention implique le tribunal judiciaire de Grenoble, France Victimes Grenoble, le service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP), la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), le Barreau de Grenoble et l’Institut français pour la justice restaurative (IFJR). Un groupe de travail interdisciplinaire se réunit toutes les six semaines et ne fait pour l’instant que des médiations restauratives.

À noter qu’à l’échelle nationale, en 2022, ces médiations restauratives ont pris une part majoritairement plus importante que les rencontres entre détenus ou condamnés/victimes.

Pour quels types de dossiers ?

La justice restaurative peut être envisagée pour différents types de dossiers, y compris les violences intrafamiliales. La sécurité, la confidentialité, le volontariat et la reconnaissance des faits sont des conditions essentielles à la mise en œuvre de ces mesures.

La justice restaurative remplit trois objectifs principaux : responsabiliser, reconstruire et réhabiliter. En responsabilisant les auteurs, en permettant aux victimes de se reconstruire et en facilitant la réhabilitation de chacun, elle contribue à un meilleur vivre-ensemble.

La place de l’avocat dans la justice restaurative

L’avocat joue un rôle central dans la mise en œuvre et la promotion de la justice restaurative. Son engagement et sa formation sont essentiels pour garantir que cette approche soit bien comprise et efficacement appliquée.

L’avocat comme prescripteur

En combinant l’article 10-1 du Code de procédure pénale et l’article 6-1 du RIN (Règlement intérieur national des avocats), il en résulte une obligation de conseil de l’avocat à tout stade de la procédure, que ce soit pour les majeurs ou les mineurs. Cette mission de conseil inclut désormais la sensibilisation à la justice restaurative.

Les avocats doivent informer systématiquement leurs clients, qu’ils soient auteurs ou victimes, des possibilités offertes par la justice restaurative, tant au stade pré-sentenciel que post-sentenciel.

Formation et sensibilisation : pour être de véritables prescripteurs éclairés, les avocats doivent recevoir une formation spécifique à la justice restaurative. Cette formation devrait être obligatoire dans les écoles des avocats afin de les préparer à proposer cette option à leurs clients. De plus, chaque Barreau devrait disposer d’un référent en justice restaurative pour soutenir et guider les avocats dans cette démarche.

Accompagnement et soutien : l’avocat accompagne ses clients tout au long du processus de justice restaurative. Pour les victimes, il s’agit de les préparer aux rencontres et de les soutenir psychologiquement face à l’auteur de l’infraction. Pour les auteurs, l’avocat aide à comprendre les attentes et les enjeux de la démarche, les préparant à reconnaître leurs actes et à exprimer leur volonté de réparation.

L’avocat comme animateur de mesure de justice restaurative

Missions particulières d’expertise ou de médiation de l’avocat : selon l’article 6-3-1 du RIN (Règlement intérieur national), l’avocat peut recevoir des missions de justice, être investi d’une mission de professionnel qualifié, d’arbitre, d’expert, de médiateur, de praticien du droit collaboratif, de liquidateur amiable ou d’exécuteur testamentaire, et désormais d’animateur de justice restaurative.

Actuellement, les avocats animateurs de mesures de justice restaurative sont encore peu nombreux. La formation et l’organisation de ces missions doivent être renforcées pour répondre aux besoins croissants en matière de justice restaurative.

L’avocat joue un rôle crucial dans ce nouveau paradigme. Il est essentiel que des formations adéquates soient mises en place pour sensibiliser les avocats à la justice restaurative et que des référents soient présents dans chaque Barreau. De plus, l’État doit garantir l’accès à la justice restaurative en allouant des ressources suffisantes et en instituant des mesures de soutien appropriées.

La justice restaurative n’est pas seulement une alternative ; c’est une nécessité pour une société plus juste et pacifiée, « un supplément d’âme à la justice pénale » (D. Griveaud, thèse Paris Nanterre 2022).

L’article La justice restaurative, un nouveau paradigme en matière pénale est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


END

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