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 Les Affiches

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Publié le 30.06.2024 à 22:50

Le candidat RN de la dixième circonscription, Thierry Perez, arrive en tête du premier tour de ces législatives avec un score de 42,83 %. La députée sortante de la majorité présidentielle, Marjolaine Meynier-Millefert est en très mauvaise posture, arrivant à la troisième position, récoltant 22,19 % des suffrages exprimés, derrière Joëlle Richol (NFP), qui obtient 25,43 % des votes. Ces deux derniers ont la possibilité de se présenter au second tour de ces législatives.

La dixième circonscription de l’Isère atteint un des plus faibles taux de participation du département, avec 68,13 %.

L’article Législatives 2024 : Le Rassemblement national en tête de la dixième circonscription est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 30.06.2024 à 22:37

Favorite de la deuxième circonscription, la députée écologiste sortante, Cyrielle Chatelain (NFP), prend la tête de ce premier tour des législatives, récoltant 42,17 % des suffrages exprimés. Elle est suivie par Edouard Robert (RN), qui affiche un score de 30,5 %. La candidate de la majorité présidentielle, Louve Carrière, se positionne à la troisième place avec 19,23 % de voix en sa faveur. Ces deux derniers obtiennent la possibilité de se présenter pour le deuxième tour.

La deuxième circonscription de l’Isère atteint un taux de participation de 67,92 % pour ce premier tour des législatives.

L’article Législatives 2024 : Cyrielle Chatelain conforte sa position dans la deuxième circonscription est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 30.06.2024 à 22:25

Il lui a manqué seulement 3,46 % des voix pour être élu dès le premier tour. Alexis Jolly, le député sortant de la sixième circonscription de l’Isère, est qualifié haut la main pour le second tour des législatives, récoltant 47,55 % des suffrages exprimés. Il affrontera au second tour la candidate du Nouveau Front populaire, Yaqine Di Spigno, qui obtient 20,85 % des votes.

Le taux de participation dans la sixième circonscription est des 69,03%.

L’article Législatives 2024 : Alexis Jolly (RN) en tête dans la sixième circonscription de l’Isère est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 30.06.2024 à 22:13

La candidate investie par l’union « Ciotti-RN » dans la huitième circonscription, Hanane Mansouri, arrive en tête de ce premier tour avec 39,92 % des suffrages exprimés. Elle arrive devant Cécile Michel (NFP), qui récolte 24,5 % des voix, et la députée sortante de la majorité présidentielle, Caroline Abadie, qui obtient un score de 20,49 %. Ces deux dernières auront la possibilité de se maintenir pour le second tour.

La huitième circonscription atteint un taux de participation de 70,73 % pour ce premier tour des législative.

L’article Législatives 2024 : L’union « Ciotti-RN » sort en tête dans la huitième circonscription est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 30.06.2024 à 22:00

Le député écologiste de la cinquième circonscription de l’Isère, Jérémie Iordanoff (NFP), garde la tête du premier tour en récoltant 36,42 % des suffrages exprimés, il est suivi par la candidate du Rassemblement national, Frédérique Schreiber, qui obtient 30,80 % des voix. Jean-Charles Colas-Roy, candidat de la majorité présidentielle, obtient 20,53 % des suffrages et a la possibilité de se maintenir.

Le taux de participation dans la cinquième circonscription est de 73,48 %.

L’article Législatives 2024 : Jérémie Iordanoff garde une petite avance dans la cinquième circonscription est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 30.06.2024 à 21:52

La députée socialiste sortante de la quatrième circonscription de l’Isère, Marie-Noëlle Battistel (NFP), arrive largement en tête de ce premier tour, avec 42,52 % des votes exprimés. Elle sera opposée à Anne-Marie Malandrino (Union « Ciotti-RN »), qui a récolté 32,12 % des suffrages.

Dans la quatrième circonscription, le taux de participation atteint les 71,51%.

L’article Législatives 2024 : Marie-Noëlle Battistel, en tête dans la quatrième circonscription est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 30.06.2024 à 21:40

La députée sortante de la neuvième circonscription, Élodie Jacquier-Laforge (Modem), n’a pas réussi à se hisser en première position, récoltant seulement 27,26 % des suffrages exprimés. Elle finit troisième, au coude à coude avec la candidate du Nouveau Front populaire, Sandrine Nosbé, qui reçoit 27,99 % des votes. Céline Bene (RN), prend la tête de ce premier tour, avec un score de 34,04 %.

Dans cette circonscription, le taux de participation a atteint les 71,64 %.

L’article Législatives 2024 : Élodie Jaquier-Laforge, troisième de sa circonscription est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 30.06.2024 à 21:22

Dans la septième circonscription de l’Isère, Benoît Auguste, candidat du Rassemblement national recueille 42,10% des suffrages exprimés, devant Yannick Neuder (LR), député sortant, crédité de 27,58 % des voix. En troisième position, Dominique Dichard, candidat du Nouveau Front populaire, a obtenu 19,81 % des voix. Un résultat qui pourrait lui permettre de se maintenir au second tour. Toutefois, les consignes de la coalition prévoient un désistement du candidat s’il arrive en troisième position.

Dans cette circonscription la taux de participation a atteint 69,54% des inscrits.

L’article Législatives 2024 : Yannick Neuder derrière le candidat RN est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 27.06.2024 à 13:48

Dès son plus jeune âge, Clémentine Geoffray rêvait de sport. Que ce soit sur l’eau ou sur terre, cette mordue de grands espaces verts trouve son bonheur dans l’exercice physique, pourvu qu’il soit en extérieur.

Quel est le premier sport que vous avez pratiqué ?

C.G. J’avais 8 ans, des amis à l’école étaient dans le club de kayak du village et m’ont donné envie d’essayer. Cela m’a tout de suite plu. Très rapidement, je me suis prise au jeu de la compétition et j’ai participé à des Coupes des jeunes, en slalom ou en descente. J’ai beaucoup aimé cette dynamique et le fait d’être toute seule dans une rivière. Déjà à cette époque, j’avais une vraie attraction pour les sports en pleine nature. Mes parents n’étaient pas forcément de grands sportifs, mais nous faisions souvent des randonnées ou des sorties de plein air. Ils m’ont toujours soutenue, même dans mon choix de faire une carrière sportive.

Pourquoi avoir arrêté le kayak après tant d’années ?

C.G. En 2012, après avoir été championne de France junior de slalom, j’ai réussi à rentrer au pôle France canoë-kayak de Toulouse. Mais, si aucune sélection en équipe de France ne survient durant deux ans, il faut en sortir. C’est ce qui s’est passé pour moi. J’étais alors en troisième année à Sciences Po et j’avais l’impression d’être arrivée au bout de quelque chose. C’était l’année de mobilité pour mes études, et je pense aussi, l’année de transition personnelle. Je suis allée faire un stage de cinq mois à Varsovie, en Pologne. J’avais ce besoin de me défouler, sans kayak avec moi. Je me suis mise à découvrir la ville en courant et j’ai beaucoup apprécié. Je connaissais la course à pied car j’avais déjà participé à quelques trails dans ma région. Cela a été le déclic. Quand je suis rentrée en France, j’ai participé et remporté les championnats de France en catégorie espoirs, en 2015 et 2016. J’ai rejoint un team la même année et tout a commencé à se structurer. J’ai reçu de l’équipement et, pour la première fois, j’ai pu bénéficier d’un entraînement spécifique à l’athlétisme et au trail, là où avant, je bricolais toute seule, ce qui m’a valu quelques blessures par le passé.

Quel a été l’élément qui vous a fait continuer le trail ?

C.G. Je suis une véritable amoureuse de la montagne, j’ai toujours trouvé cela génial de courir dans cet univers. Je me suis aussi rendu compte que mon élément est la terre plus que l’eau. J’aimais beaucoup le kayak, mais je pense que j’étais moins à l’aise dans cette discipline. Mai je l’ai pratiquée longtemps, j’avais encore de l’appréhension dans le milieu de l’eau vive. Pendant les entraînements, le mouvement de l’eau me faisait parfois peur. Avec le recul, je prenais moins de plaisir qu’avec le trail et je ne voulais pas pousser plus par peur d’une blessure. Alors qu’en montagne, je me sens vraiment libre, à ma place. C’est toujours motivant de voir ses qualités, de se rendre compte que l’on s’éclate dans ce que l’on fait. En deux ans, avec mon premier team, j’ai fini quatrième aux championnats de France 2018 de course en montagne, ce qui m’a permis un retour en équipe de France. Ce fut une chance car l’équipe de France n’intègre que les quatre premiers de la compétition. Cela m’a permis d’être sélectionnée pour les championnats d’Europe continentale qui avaient lieu à Skopje, en Macédoine. J’en garde un très bon souvenir car j’ai retrouvé l’ambiance que j’avais connue dans le kayak. C’est un facteur super motivant pour ma pratique, alors qu’il manque toujours un pôle trail en équipe de France.

Qu’est-ce qui vous anime derrière tout ça ?

C.G. J’avais envie d’intégrer l’équipe de France, mais pas forcément pour la compétition. J’ai toujours préféré les entraînements aux courses. Les compétitions définissent la sélection, qui est remise en jeu chaque année. Elles sont toujours assez stressantes. C’est un peu la carotte qui me fait avancer, ce sont les objectifs des différentes compétitions. Elles deviennent satisfaisantes dès lors qu’elles marquent l’accomplissement de ce qui a été préparé à l’entraînement. Elles procurent aussi des émotions uniques à celles ressenties lors de la préparation.

Votre préparation, justement, comment se passe-t-elle ?

C.G. Pendant les phases de préparation, c’est une routine quotidienne qui s’installe. Je m’étire après le petit-déjeuner, puis je pars courir une à deux heures. Après le repas du midi, je m’autorise une sieste, puis je pars faire un tour de vélo. Une à deux heures également. Cela m’arrive de varier selon la saison, je fais du ski de fond ou de la natation. Courir entraîne des chocs répétés au niveau des articulations, ce qui peut provoquer des blessures. Le but est donc de faire un sport porté pour continuer à entraîner sa masse musculaire, sans trop traumatiser son corps. Ce sont des cycles d’entraînements qui précèdent les compétitions, donc ils se répètent plusieurs fois au long de l’année. Je fais une seule coupure de deux à trois semaines, à la fin de la saison, aux alentours des mois de novembre ou décembre. C’est parfois dur de se dire qu’on ne va pas courir pendant plusieurs semaines, c’est une
addiction.

Vous avez obtenu votre diplôme de professeur d’EPS, pourquoi ce choix ? Pour préparer la suite ?

C.G. Devenir professeur d’EPS est une envie de longue date. À la fin de mon Capes, l’expérience n’a pas été concluante, mais je souhaiterais quand même me réessayer à l’enseignement, dans de bonnes conditions, pour voir si cette activité me plaît. Ce serait un bon moyen pour moi de rompre un peu la monotonie des entraînements, de faire autre chose et de me mettre des contraintes, afin d’éviter la procrastination. La suite, pour l’instant, sera la préparation des prochains mondiaux en septembre 2025, en Espagne, en trail court, ou long, tout dépendra des résultats aux entraînements.

Bio express

24 octobre 1994 : naissance à Viriat (Ain).

2002 : participe à sa première compétition sportive, en kayak.

2011 : championne du monde junior de kayak descente par équipe.

2012 : championne de France junior de kayak slalom, rentre au pôle de l’équipe de France et commence une licence de sciences politiques à Sciences Po Toulouse.

2015 et 2016 : championne de France de trail, catégorie espoirs.

2018 : intègre l’équipe de France de course en montagne et intègre une licence 3 sciences et techniques des activités physiques et sportives (Staps) au Bourget-du-Lac.

2023 : arrive à Grenoble après avoir été nommée directrice régionale de la Fédération française de sport universitaire puis devient championne du monde de trail court.

2024 : championne d’Europe de trail court.
Mes Bonnes adresses 

Pour manger :
« Au Clair de Lune, c’est un très bon restaurant végétalien qui a une petite ambiance que j’adore. »
54, rue Très-Cloîtres, à Grenoble.
04 76 24 61 17.

Pour bouquiner :
« La librairie Decitre, j’aime beaucoup m’y perdre. »
9-11 Grande-Rue, à Grenoble.
04 76 03 36 36.

Pour se balader :
« Le mont Rachais, qui est juste à côté de chez moi. J’aime bien la montée pour y aller, et une fois en haut, on a une belle vue. »

L’article Clémentine Geoffray :  » Je suis une amoureuse de la montagne » est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.


Publié le 27.06.2024 à 12:04

Si la puissance des data recueillies pour mieux exploiter les domaines est admise, le partage et l’analyse sur plateforme unique demandent encore des ajustements.

Chaque avancée technologique est un coup de pouce pour faire mieux avec moins de ressource. « Le but est de réduire la consommation d’eau, de neige, d’énergie par la gestion raisonnée du damage par exemple, en se servant de lidars estimant l’épaisseur de neige », illustre Christophe Lavaut, directeur général de Val-d’Isère Tourisme. C’est l’agrégation de toutes les données sur une même plateforme qui permet de coordonner et rechercher l’efficacité globale. Resort Managament de Skadii, par exemple, centralise l’accès à toutes les applications de gestion du domaine et propose ainsi des briques métiers. « Les données des dameuses et enneigeurs sont remontées, ce qui sert aux tâches quotidiennes, à la gestion et à la maintenance pour celui qui pilote », explique Benjamin Meignaud, responsable commercial chez Skadii. Les larges informations remontées deviennent alors une mine pour le manager.

Ouvrir les plateformes

Le rêve de tout le monde, à des fins d’optimisation, est un « smart resort », une station intégrée permettant un partage total des données. À Val-d’Isère, le projet Val Data cherche à augmenter l’expérience client en mixant six bases de données. « Depuis deux ans, nous partageons nos data avec, entre autres, une agence immobilière et une centrale de réservation. Nous savons qu’un client a réservé dans tel appartement, a pris des forfaits enfants, ce qui déclenchera nos offres familles », illustre Christophe Lavaut chez Val-d’Isère Tourisme. Même si des acteurs privés concurrents sont toujours réticents, ils savent que la mise en commun des données est une voie de progression pour les stations qui ne peuvent plus autant aller chercher la clientèle aisée et lointaine. « Nos systèmes surveillent, collectent, agrègent les informations de toutes sortes d’équipements propriétaires, que nous envoyons sur les panneaux et les interfaces », décrit Pierre Mathieu, directeur associé d’Imagina International, entreprise de Saint-Ismier qui fournit une solution ERP complète aux domaines. Chaque équipementier peut fournir en temps réel ses données, afin que l’information soit accessible au bon moment. L’idée est admise que les outils d’analyse et d’IA seront à l’avenir d’autant plus efficaces que les données seront nombreuses. « Cette année, nous ouvrons la plateforme Resort Management à des tiers qui afficheront leurs données. Le client ne disposera que d’une interface avec les flux chiffrés, images des webcams… », révèle aussi Benjamin Meignaud.

Plus de vigilance et maturité

Les stations, de leur côté, « exigent de ceux qui les fournissent en équipements de reprendre le contrôle de leurs données », constate Pierre Mathieu. Les exploitants de domaines ne sont donc plus seulement intéressés par le matériel mais par les données qui en émanent. La propriété des data est d’ailleurs devenue un prérequis dans les appels d’offres. Le « pétrole du XXIe siècle » va encore considérablement améliorer la gestion des domaines, des flux, de la sécurité ou encore de la relation client. Et la maturité grandit en montagne, en termes de propriété de données ou encore de RGPD. « Chacun n’a évidemment pas connaissance des heures de travail du collègue ou de sa productivité. La gestion des droits d’accès est primordiale », illustre Pierre Mathieu.

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