Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques
Les dernières mises à jour, les parutions d’indicateurs conjoncturels et de publications13.05.2025 à 17:05:15
12.05.2025 à 16:00:16
07.05.2025 à 17:00:00
07.05.2025 à 14:28:12
07.05.2025 à 10:00:14
07.05.2025 à 08:45:00
Entre fin décembre 2024 et fin mars 2025, l’emploi salarié du secteur privé est stable (0,0 %, soit +9 400 emplois) après avoir baissé le trimestre précédent (‑0,3 % soit ‑68 000 emplois). L’emploi salarié privé demeure au-dessous de son niveau d’un an auparavant (-0,3 %, soit ‑69 900 emplois). Il excède en revanche encore largement son niveau d’avant crise-sanitaire (fin 2019), de 5,5 % (soit +1,1 million d’emplois).
06.05.2025 à 17:57:14
06.05.2025 à 17:00:00
Début 2024, en France, 13,0 % de la population vivant dans un logement ordinaire, soit 8,6 millions de personnes, sont en situation de privation matérielle et sociale. En France métropolitaine, ce taux s’établit à 12,7 %.La proportion de personnes en situation de privation matérielle et sociale baisse légèrement par rapport à début 2023. En particulier, la privation d’une semaine de vacances par an hors du domicile est en recul sur un an. La privation d’Internet devient résiduelle. Toutefois, le taux global reste à un niveau relativement élevé, 0,6 point au-dessus de la moyenne observée entre 2013 et 2020.Les personnes au chômage, celles qui vivent en famille monoparentale, et les locataires du parc social, sont les plus exposés au risque de privation.
06.05.2025 à 15:00:00
06.05.2025 à 08:45:00
En mars 2025, la production croît pour le deuxième mois consécutif dans l’industrie manufacturière (+0,6 % après +1,3 % en février 2025) et dans l’ensemble de l’industrie (+0,2 % après +1,0 %).
30.04.2025 à 17:05:14
30.04.2025 à 17:00:00
Par défaut, les retraites de base sont revalorisées selon l’évolution des prix plutôt que des salaires. Le retour de l’inflation a ainsi ouvert un débat sur les règles d’indexation des pensions.Cette règle favorise les retraités lorsqu’un choc inflationniste, notamment d’inflation importée, dégrade le salaire réel. Mais, dans les dernières décennies, elle a plutôt conduit à limiter la hausse du niveau relatif des pensions et a fortement contribué à équilibrer le système. L’ampleur de cette contribution est néanmoins très dépendante du rythme de la croissance de la productivité, ce qui génère un aléa sur la part des dépenses de retraite dans le PIB et sur le niveau de vie relatif futur des retraités. Cette sensibilité à la croissance fragilise donc le diagnostic sur les perspectives financières du système. Le modèle de microsimulation Destinie permet d’envisager d’autres variantes d’indexation évitant cette sensibilité.L’indexation pleine sur les salaires ferait disparaître cette dépendance mais augmenterait très fortement la part des dépenses de retraite dans le PIB.Si on souhaite l’éviter, il faut que la référence aux salaires soit contrebalancée par des prises en compte directes, via des coefficients correcteurs, de l’évolution démographique ou de la cible de dépenses que l’on souhaite respecter. De telles règles d’indexation réduiraient également la sensibilité à la croissance de la part de retraités à bas niveau de vie, laquelle augmenterait néanmoins à horizon 2070 quel que soit le mode d’indexation considéré.