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Dauphiné Libéré


Publié le 23.10.2025 à 12:29

Tour de France 2026. Deux arrivées à l’Alpe d’Huez, un chrono historique, une montée inédite : ce qu’il faut savoir sur les six étapes dans la région

L’Alpe d’Huez est de retour

C’est l’événement de ce Tour de France 2026 : le grand retour à l’Alpe d’Huez. Quatre ans après la victoire de Tom Pidcock lors de la 12e étape, les mythiques 21 lacets sont de retour. Pour la 33e fois, le peloton de la Grande Boucle va se frotter à l’ascension iséroise… Pas une fois, mais deux !

Une première le 24 juillet au terme de la 19e étape qui partira de Gap. Et une seconde le lendemain, avant-dernière étape de ce Tour...

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Publié le 23.10.2025 à 14:24

Météo. Tempête Benjamin dans nos régions : une coupure de courant en Isère, hécatombe de chutes d’arbres en Haute-Savoie

Il va falloir être prudent ce jeudi 23 octobre. Alors qu’une personne est décédée ce lundi lors d’une tornade dans le Val-d’Oise, une tempête va toucher la France entière.

Si les départements côtiers sont les plus vulnérables, la tempête Benjamin aura un impact sur tout le territoire.

Les temps forts

Retrouvez ci-dessous les informations essentielles de ce direct.

  • 15:23

    Hautes-Alpes : 700 foyers privés d’électricité à Gap

    La tempête fait également des dégâts dans les foyers gapençais. Vers midi, près de 700 étaient privés d’électricité. Enedis assure que ses équipes sont « mobilisées ». « Dès que les conditions ont été réunies, les techniciens et les salariés de nos partenaires prestataires intervenaient pour rétablir l’alimentation électrique ».

    Pour en savoir plus sur la situation à Gap, cliquez ici

  • 14:51

    En Ardèche, le village de La Souche privé d'électricité : "nous ne savons pas d’où vient la panne"

    Dans la commune de La Souche (Ardèche), l’électricité est coupée depuis la matinée, impactant la totalité des 400 habitants. « Le courant s’est coupé entre 10 heures et 10h30, ce matin », note le maire Jacques Geiguer. « Le problème, c’est que nous ne savons pas d’où vient la panne. Nous avons observé des arbres tombés à cause de la tempête, mais aucun ne s’est écrasé sur les lignes hautes tension », observe l’édile. N’ayant pas de réponse à fournir aux habitants, Jacques Geiguer demande à tous de patienter. « EDF n’a pas eu d’information à nous donner concernant la cause de l’incident, mais nous a malgré tout annoncé un rétablissement du courant à partir de 19 heures, ou éventuellement demain matin. Rien n’est certain, cela dit », relativise-t-il.

  • 14:23

    Isère : une coupure d'électricité et de la fibre à Corenc

    Coup de vent énorme aux abords de la route de Chartreuse en amont du restaurant la Corne d’Or à Corenc. Une coupure nette d’électricité et de la fibre a été constatée par les riverains.

    Marius, élagueur de Corenc confie : « C’est arrivé à 11h ce matin. Une dizaine de coup de fil en 10 minutes ».

    Selon une riveraine présente, la rafale de vent s’est engouffrée violemment. Marius attend les équipes d'Enedis : « Nous devons nous assurer que le courant est bien coupé avant de déblayer. Je dois aussi intervenir chez de nombreux particuliers dont les arbres sont coupés en deux et couchés au sol ». L’attente peut être longue pour que tout remarche.

  • 14:01

    Isère : un sapin chute sur une maison à Saint-Jean-d’Avelanne

    La grosse souche et ses racines retiennent le sapin. Néanmoins, les pompiers vont installer des rubalises pour sécuriser les alentours. Photo Le DL/Chantal Gaudet Trafit
    La grosse souche et ses racines retiennent le sapin. Néanmoins, les pompiers vont installer des rubalises pour sécuriser les alentours. Photo Le DL/Chantal Gaudet Trafit

    Ce jeudi, vers 9 heures, le vent violent a provoqué la chute d’un sapin dans la commune iséroise de Saint-Jean-d’Avelanne, située à la frontière avec la Savoie. L’arbre s’est abattu sur une maison voisine, abîmant le toit et la façade.

    Les pompiers, sur place, tout comme le maire Jean-François Pillaud-Tirard, ont constaté les dégâts. Les secours ont pu s'introduire dans la maison. Ils ont constaté que les plafonds avaient été endommagés. Il ne reste plus aux propriétaires de cette maison, qui ne résident pas sur place, de venir constater les dégâts.

  • Vidéo

    Un parc emblématique de Grenoble défiguré par la tempête

    Le parc Bachelard de Grenoble, l'un des principaux poumons de la ville, a été sérieusement endommagé par la tempête Benjamin qui s'est abattue principalement dans la matinée sur l'agglomération. Entre une vingtaine et une trentaine d’arbres ont été déracinés dans le parc, heureusement sans faire de victime. Les parcs de la ville étaient fermés, mais cela n'a pas empêché des piétons et des cyclistes de franchir la rubalise, quelques instants après les chutes et malgré les appels à la prudence des agents de la ville présents sur place pour sécuriser les lieux.

  • 13:02

    Haute-Savoie : de nombreux dégâts à Sciez, des chutes d'arbres centenaires

    Au domaine de Coudrée à Sciez, le passage de la tempête Benjamin a fait de nombreux dégâts, avec notamment de nombreuses chutes d'arbres centenaires. Fort heureusement, aucun blessé n'est à déplorer.

  • 12:59

    Haute-Savoie : plusieurs toitures soufflées dans la vallée de l'Arve, le niveau de la rivière Arve a bien monté

    Photo Le DL/J.T.
    Photo Le DL/J.T.

    Dans la vallée de l’Arve, plusieurs signalements ont été faits sur la commune de Thyez pour des tuiles et des toitures envolées et des arbres couchés sur des secteurs plutôt isolés. La route de Rontalon a ainsi été coupée le temps d’intervention pour dégager les branchages.

    L’Arve dont le niveau a bien monté reste également sous vigilance avec un risque de cru, tout comme la zone Giffre aval.

  • 12:34

    300 appels reçus par les sapeurs-pompiers de Haute-Savoie

    Depuis ce jeudi matin, les sapeurs-pompiers de la Haute-Savoie ont reçu plus de 300 appels liés aux intempéries, principalement pour des chutes d’arbres sur les routes ou des habitations.

    Tronçonnages, dégagements de chaussée, bâchages de toitures, plus de 100 sapeurs-pompiers sont engagés sur le terrain pour apporter leur aide aux habitants sinistrés. Une trentaine d’interventions sont en cours à la mi-journée, surtout sur les secteurs de Cluses et de Thonon-les-Bains.

    Si les dégâts sont majoritairement mineurs, le centre opérationnel départemental d’incendie et de secours (Codis) a activé sa salle opérationnelle spécifique à la gestion des événements multiples.

    Parmi les interventions marquantes, le blocage du secteur des Evaux dans la vallée du Borne, la chute de plusieurs arbres sur une maison à Maxilly-sur-Léman et une inquiétude relative à la stabilité du clocher de l’église du village de Nernier.

  • 12:24

    Une rafale de vent mesurée à 117 km/h à Gap

    Selon les relevés de Paul Marquis, météorologue indépendant installé dans les Hautes-Alpes, une rafale à plus de 117 km/h a été enregistrée à Gap ce jeudi 23 octobre en fin de matinée.

    À Gap, il s’agit d’un record pour un mois d’octobre. L’ancien était de 93km/h (octobre 2024).

    Le record absolu établi à 119km/h le 22 décembre 2023 a failli être battu.

  • 12:09

    Le département de l'Isère relativement épargné par la tempête Benjamin

    Entre 8h30 et 11h30, ce jeudi 23 octobre, les sapeurs-pompiers ont reçu une quarantaine d'appels justifiant une vingtaine d'interventions sur le terrain. D'abord dans le nord du département et principalement sur l'agglomération de Vienne et autour du lac de Paladru, où le vent a arraché ou cassé des arbres.

    Des chutes d'arbres sur les rails à la hauteur de Saint-André-le-Gaz ont également conduit à l'interruption de la circulation des trains sur la ligne Lyon-Grenoble et le chapiteau du cirque Zavatta qui s'est installé à La-Côte-Saint-André a dû être sécurisé car il menaçait de s'envoler.

    Dans le sud Isère, des arbres ont été arrachés dans le parc Bachelard à Grenoble, d'autres et se sont abattus sur la voie publique dans le secteur de Moirans et au Pont-de-Claix où la route nationale 85 a été momentanément coupée avant d'être rouverte à la circulation.

    Vers 11h30, à Saint-Martin-le-Vinoux, des arbres sont aussi tombés sur la RD 57. Elle a été rouverte à la circulation. La RD 8, a été coupée momentanément entre Le Gua et Saint-Barthelemy-du-Gua en raison, là encore, de chutes d'arbres. Elle est rouverte vers 13 heures.

    Peu de dégâts et aucun blessé ne sont à déplorer.

  • 11:33

    Haute-Savoie : plusieurs routes coupées par des chutes d’arbres dans le Chablais

    Au passage d’une violente averse orageuse sur les bords du Léman entre 9 h 30 et 10 h, accompagnées de fortes rafales de vent, plusieurs chutes d’arbres ont été signalées sur les principaux axes secondaires du secteur.

    Cela concerne notamment la D1005 sur le secteur de Maxilly-sur-Léman, la route de la Versoie à proximité de la caserne des sapeurs pompiers de Thonon-les-Bains ou encore la D903 en direction d’Allinges où plusieurs arbres bloquaient le sens de circulation Allinges-Thonon.

    Des interventions sont en cours par les agents routiers, d’autres viennent de se terminer avec le retour à une circulation normale. Une situation qui devrait temporairement s’améliorer à la faveur d’une accalmie et du retour de quelques timides éclaircies sur le secteur.

  • 11:00

    En Ardèche, circulation interdite sur la RD 110 après la chute d’un câble

    À la suite de la chute d’un câble Enedis, sur la RD 110 au lieu-dit « Villeneuve » sur la commune de Lachapelle-Graillouse en Ardèche, la circulation est interdite dans les deux sens entre Lachapelle-Graillouse et Issanlas. Une déviation est mise en place ce jeudi 23 octobre au matin via la voie communale de Vente.

    Les services d’Enedis sont prévenus et devraient rapidement intervenir.

  • 10:21

    Beaucoup d'eau sur les routes d'Annemasse (Haute-Savoie)

  • 10:20

    En Haute-Savoie, hécatombe de chutes d’arbres sur les routes, la RD 908 coupée par une coulée de boue à Clarafond-Arcine

    Les rafales de vent et les pluies abondantes de la tempête Benjamin causent ce jeudi 23 octobre de nombreux désagréments sur les routes de Haute-Savoie, placée en vigilance jaune crue et inondations. Chutes d’arbres sur la chaussée, poteaux télécom menaçant de tomber, éboulement et coulées de boue mobilisent les agents du Conseil départemental.

    Plusieurs routes sont impactées par des arbres ou des branches tombés sur la chaussée à Viry (RD 34, proche du lieu-dit La Côte), à Draillant (au croisement des RD 12 et RD 35), à Massongy (RD 225), à Perrignier (RD 25), à Anthy-sur-Léman (RD 1005), à Argonay (RD 1203), à La Vernaz (RD 902), à Sillingy (RD 1508), à La Balme-de-Thuy (RD 216), à Saint-Paul-en-Chablais (RD 52), à Lugrin (RD 1005), à Novel (RD 30), à Fillière (Thorens-Glières, RD 55), à Faverges-Seythenex (RD 1508), aux Gets (RD 902), à Boussy (RD 248). Des alternats de circulation sont mis en place suite à ces empiètements sur leschaussées. D’autres axes sont totalement coupés à la circulation, c’est le cas de la route des bois de Margencel à Perrignier, de la route des Pâquis à Amancy et de la RD 992 à Viry.

    Une coulée de boue a provoqué la coupure totale de la circulation sur la RD 908A, route du Fort, à Clarafond-Arcine. Une autre coulée de boue empiète également sur la route de Cologny, à Desingy (RD 17). Un éboulement provoque la coupure totale de la RD 12 à Glières Val-de-Borne (Petit-Bornand).

  • 10:09

    Le vent s'intensifie en Isère

    Le vente se renforce en Isère. Une rafale à 108 km/h a été relevée à Bourgoin-Jallieu à 9h24, 115 km/h à Chamrousse à 8h42, 100 km/h au Sept-Laux au même moment, ou encore 90 km/h à Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs.

    Si aucun dégât majeur n’a été remarqué actuellement, des chutes de branchages et d’arbres sont néanmoins signalées par endroit. Aux Abrets-en-Dauphiné, par exemple, un platane a été brisé en deux en centre-ville, sans faire de dégâts fort heureusement.

  • 10:08

    La ligne TER Bellegarde-Annemasse-Évian-les-Bains interrompue

    La SNCF annonce que le trafic ferroviaire est interrompu sur la ligne Bellegarde-Annemasse-Évian-les-Bains. L'heure de reprise est estimée à 15 heures.

  • 09:57

    Savoie : plusieurs arbres tombés à Aix-les-Bains

    Les très fortes pluies et les rafales de vent ont fait tomber plusieurs arbres chemin du tir au pigeon à Aix-les-Bains, en Savoie.

  • 09:47

    Et dans le reste de la France...

    Dans son bulletin de 6 heures, ce jeudi, Météo-France a placé 19 départements en vigilance orange pour vents violents, pluie-inondation ou vagues-submersion.

    Seize départements sont concernés par les vents violents : le Nord, le Pas-de-Calais, la Somme, la Manche, la Vendée, les Deux-Sèvres, la Charente-Maritime et la Charente, la Gironde, les Landes et les Pyrénées-Atlantiques, ainsi que les Alpes-Maritimes, l’Aude, les Pyrénées-Orientales et les deux départements de Corse. Quatre sont touchés par le risque de vagues et submersion : la Seine-Maritime, la Gironde, les Landes, les Pyrénées-Atlantiques. Et deux sont en vigilance orange pour pluie-inondation : le Cantal et la Corrèze.

  • 09:23

    Des rafales jusqu’à 120 km/h attendues sur le plateau ardéchois, 100 km/h au nord de Valence et sur les reliefs drômois

    Alors que la tempête Benjamin traverse la France, le temps est agité en Drôme et en Ardèche ce jeudi 23 octobre depuis 9 heures. Mais le plus gros de l’épisode météorologique, motivé par un vent sud-sud-ouest qui va virer à l’ouest, aura lieu à 13 heures.

    « Des pointes de vent à 120 km/h sont attendues sur le plateau ardéchois », souligne Frédéric Douay, prévisionniste chez Météo France. Dans la Drôme, c’est au nord de Valence et sur les reliefs du Diois, du Vercors et de la Drôme des collines que ça va souffler le plus fort, avec des rafales « pouvant atteindre les 100 km/h ».

    L’épisode venteux sera très temporaire, au moins dans la Drôme. « Vers 15 heures, tout devrait être terminé. Une fois que le vent sera passé à l’ouest, il va mollir rapidement dans le couloir rhodanien », précise le prévisionniste chez Météo-France.

    La vigilance jaune pour vents violents

    Sur toute la durée de l’épisode, les deux départements ont été placés en vigilance jaune aux vents violents [entre 9 et 15 heures pour la Drôme et entre 9 heures et minuit pour l’Ardèche]. Côté pluies, elles devraient être moins importantes. « Jusqu’à 20 mm sont attendus sur certains secteurs, ce qui représente des cumuls normaux », précise Frédéric Douay.

  • 08:53

    Le point dans les Alpes et dans la vallée du Rhône

    Au fur et à mesure que la tempête Benjamin va traverser l’Hexagone, le front froid de la perturbation va s’évacuer par l’est et va déverser d’importantes quantités d’eau de l’intérieur de la Provence à l’Alsace. Météo France précise également : une « limite pluie-neige sur les Alpes qui s’abaisse jusqu’à 1500 m dans l’après-midi ». Ce cumul important devrait toucher principalement la Haute-Savoie, le nord de la Savoie et le sud de l’Isère : « Une aggravation du niveau de vigilance pluie-inondation est possible sur Alpes du Nord. »

    • L’Isère sera en vigilance jaune vent, pluie-inondation, orages et crues ce jeudi 23 octobre. La nuit sera rythmée par les averses. Dans la matinée, des orages vont s’ajouter à la pluie dans le sud du département. Les bourrasques de vent pourraient atteindre les 70-75 km/h vers Vienne, Villefontaine, La Tour-du-Pin, La Côte-Saint-André et Saint-Marcellin.
    • La Haute-Savoie sera en vigilance jaune vent, pluie-inondation, orages et crues ce jeudi 23 octobre. Des averses orageuses sont annoncées dans tout le département dans la matinée de jeudi. Dans le même temps, les vents vont s’intensifier. Les prévisions parlent de rafales pouvant atteindre 75 km/h à Annecy et Chamonix, 95 km/h à Thonon-les-Bains et 120 km/h à Saint-Gingolph.
    • La Savoie sera en vigilance jaune vent, pluie-inondation, orages et crues ce jeudi 23 octobre. Le département ce jeudi matin sera sous des averses orageuses. Des orages plus intenses vont toucher Saint-Jean-de-Maurienne, Pralognan-la-Vanoise et Tignes, qui pourrait avoir de la neige également. Le vent pourra atteindre les 80 km/h à Chambéry et Modane.
    • La Drôme sera en vigilance jaune vent et orages ce jeudi 23 octobre. Météo France annonce de la pluie toute la nuit et des averses orageuses autour de Saint-Jean-en-Royans. Les bourrasques de vent devraient être comprises entre 50 et 70 km/h. À Valence, où des pointes à 90 km/h sont annoncées, le parc Jouvet sera fermé exceptionnellement.
    • L’Ardèche sera en vigilance jaune vent et orages ce jeudi 23 octobre. La météo devrait être plus clémente en Ardèche où le soleil va pointer le bout de son nez dès la matinée. Par contre, le vent lui sera bien plus fort. Météo France prévoit des rafales à 85 km/h à Annonay, 100 km/h au Cheylard, 105 km/h aux Vans et même 115 km/h à Montpezat-sous-Bauzon.

    Dans la région Paca, les Hautes-Alpes seront en vigilance jaune vent, pluie-inondation et orages ce jeudi 23 octobre. Des averses orageuses sont annoncées pour toute la matinée avec des orages plus localisés vers Briançon, Guillestre et Orcières. Les rafales de vent devront être comprises entre 55 et 85 km/h.

    • Les Alpes-de-Haute-Provence seront en vigilance jaune vent et orages ce jeudi 23 octobre. Les averses orageuses devraient toucher la moitié nord du département avec des orages plus localisés à Barcelonnette et Saint-Paul-sur-Ubaye. Le vent sera moins intense qu’ailleurs normalement : 65 km/h à Barcelonnette, 60 km/h à Digne-les-Bains et 55 km/h à Sisteron.
    • Enfin dans le Vaucluse, Météo France n’annonce pas d’orage mais seulement de la pluie. Près du Rhône le vent devrait être en moyenne autour des 60km/h dans la matinée notamment à Avignon, Orange ou Bollène et cela pourrait atteindre les 75 km/h à Sault.
  • 08:40

    Ça souffle déjà fort en Isère

    Si la violence des vents n’est pas encore comparable avec celles que la tempête Benjamin fait déjà souffler sur l’Ouest et le Nord-Ouest de la France, le temps est déjà très agité en Isère en ce début de matinée et le vent souffle fort.

    Ainsi, depuis la fin de la nuit, le réseau d’observation météo Romma a déjà relevé des rafales de vents remarquables : 96 km/h à Bourgoin-Jallieu à 5h54, 79 km/h à Saint-Siméon-de-Bressieux à 7h24. À la Croix de Chamrousse, où les bourrasques sont très souvent les plus fortes du département, une pointe à 81 km/h a été relevée.

    Rappelons que l’Isère est, comme la très grande majorité des départements français, placée en vigilance jaune par Météo France. Le coup de tabac le plus fort est attendu sur les massifs. Il pourrait être accompagné de forte précipitations, sous forme de pluie ou de neige, selon l’altitude. Certaines villes, comme Grenoble, ont d’ores et déjà annoncé la fermeture de leurs parcs et jardins pour ce jeudi 23 octobre.

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Publié le 23.10.2025 à 14:29

Politique. Mécontents du budget 2026, les socialistes menacent de ne pas le soutenir

Nouvelle semaine-clé pour le gouvernement de Sébastien Lecornu, avec l'objectif d'adopter un budget pour 2026. Les députés ont rejeté mercredi soir en commission la partie recettes du budget de l’État. Les débats se poursuivront donc au sein de l'Hémicycle, à partir de vendredi. Ce jeudi s'est tenu un nouveau conseil des ministres, réuni pour ajouter – via une lettre rectificative – la suspension de la réforme des retraites au projet de budget de la Sécurité sociale. Le Rassemblement national a de son côté présenté son contre-budget pour 2026.

À droite, les six ministres Les Républicains du gouvernement Lecornu, dont Rachida Dati, ont été convoqués mercredi en bureau politique en vue de leur exclusion. Ils ont finalement été simplement suspendus et devraient finalement garder leur carte d’adhérent chez Les Républicains.

Suivez l'actualité politique en direct :

Les temps forts

Retrouvez ci-dessous les informations essentielles de ce direct.

  • 15:25

    Au tour de Clémence Guetté de critiquer le contre-budget du RN

    La vice-présidente de l'Assemblée nationale Clémence Guetté a qualifié le contre-budget du RN pour 2026 de « projet très proche de celui des macronistes. En plus violent, plus injuste, et plus raciste ».

    Elle dénonce aussi une « catastrophe » avec des coupes budgétaires « pires que celles de Lecornu » qui « ferait entrer la France en récession dès l'année prochaine ».

  • 15:06

    Le gouvernement en quête de « solutions » pour « éviter » l'arrivée de Shein au BHV

    L'implantation prochaine de la marque de mode asiatique Shein au BHV, grand magasin parisien emblématique, est « un mauvais signal qu'il faut éviter », a indiqué le cabinet du ministre du Commerce, Serge Papin, en quête de « solutions » alternatives.

    Jusqu'alors vendue uniquement en ligne et dans des boutiques éphémères, la marque Shein doit ouvrir à partir de novembre six magasins physiques pérennes en France, dont l'un au sein du Bazar de l'Hôtel de ville (BHV). Ce qui suscite une vive polémique depuis début octobre, les plateformes asiatiques à prix discount étant notamment accusées de concurrence déloyale, de pollution environnementale ou encore de conditions de travail indignes.

    Ce jeudi, Serge Papin a en outre à nouveau dénoncé le renforcement du partenariat entre La Poste (détenue à 66% par la CDC et à 34% par l'Etat) et Temu sur la distribution de colis.

    >> LIRE AUSSI  : Arrivée de Shein : la Banque des territoires renonce au rachat des murs du BHV

  • 14:56

    L’économie sociale et solidaire lourdement impactée par le budget 2026

    ESS France, qui fédère les organisations nationales représentant les différentes formes statutaires de l’Économie sociale et solidaire (ESS), a fait part de son inquiétude concernant le projet de loi de finances 2026 dans un communiqué.

    Le budget entraîne en effet une baisse massive (1 milliard d'euros) des moyens alloués aux associations et acteurs de l'ESS, qui menace « jusqu'à 90 000 emplois » et « fragilise directement l’accès à l’alimentation, à l’hébergement, à la santé, à la solidarité et à l’accompagnement des plus démunis ». 

    « Il y a une immoralité absolue au fait de geler les pensions et les minimas sociaux, et dans le même temps de refuser une taxe de 2% sur les 1 500 fortunes les plus riches du pays. Nous nous ferons les porte-étendards des femmes et des hommes les plus pauvres, qui sont sous représentés dans les débats actuels », a ainsi déclaré Benoît Hamon, président d’ESS France.

  • 14:32

    Pour le PS, le budget repose trop sur les classes moyennes et populaires

    A l'issue des débats en commission, le budget doit faire contribuer davantage les plus riches selon le Parti socialiste. 

    « Le compte n'y est pas : ni sur la justice fiscale, ni pour protéger les classes moyennes et populaires », estime le PS, qui annonce donc sur X avoir voté contre la première partie du budget en commission.

  • 14:16

    Bompard révolté contre « l'équivalent d'un SMIC immigré »

    Il n'a pas tardé à faire réagir. Le contre-budget présenté par le RN suscite la colère des autres partis, notamment en raison de son volet sur l'immigration. Manuel Bompard fustige sur X « l'équivalent d'un SMIC immigré ».

    « Ainsi, les travailleurs immigrés (en situation régulière) ne pourraient pas bénéficier de la prime d'activité pendant 5 ans. Deux travailleurs sur le même poste de travail auraient donc des revenus différents si l'un est de nationalité française et l'autre est de nationalité étrangère », explique le coordinateur de La France insoumise, précisant que l'écart de revenu pour des travailleurs au SMIC serait de 260 euros par mois.

    « Cette proposition instaure une discrimination absolue devant le travail. Jamais, nous ne laisserons le Rassemblement National défigurer ainsi la France », conclut-il.

  • 14:08

    Le contre-budget du RN en détail avec 36 milliards d'euros d'économies

    Le Rassemblement national a présenté ce jeudi son contre-budget pour 2026, proposant de réaliser 36 milliards d'euros d'économies pour réduire le déficit, avec dans le détail 50 milliards de baisse des dépenses et 14 milliards de baisses des recettes.

    « Remettre l'Etat à la bonne place, arrêter les dépenses inutiles, inefficaces, voire toxiques et surtout répondre aux préoccupations des Français », tel est l'objectif du RN, dont le contre-budget doit servir de « ligne directrice » durant les discussions budgétaires, a résumé Marine Le Pen.

    Au total, ce contre-budget du RN liste 32,4 milliards de « dépenses inefficaces ». Parmi elles, la baisse de la contribution française à l'Union européenne (8,7), la baisse des moyens dévolus aux « agences et opérateurs » de l'Etat (7,7) et la baisse de l'Aide publique au développement (7,7).

    Autre poste d'économies (11,9 milliards) : l'immigration, avec notamment l'obligation de cinq ans de travail à temps plein pour les étrangers qui souhaitent bénéficier d'un certain nombre de prestations de solidarité, ou la transformation de l'aide médicale d'État en aide médicale d'urgence.

    7 milliards de nouvelles dépenses sont envisagées, notamment avec le dégel des prestations sociales, mais aussi le financement de la réforme des retraites du RN (1,5 milliard).

  • 13:53

    Eric Coquerel s'interroge aussi sur le rectificatif du PLFSS 2026

    « À quoi sert de gagner 3 mois si c’est pour partir plus pauvre ? », pose Eric Coquerel. Le président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale n'est lui aussi pas du tout en accord avec la lettre rectificative présentée au Conseil des ministres. 

    Il déplore que « ce n’est pas uniquement 3 trimestres en moins avant de partir à la retraite pour les générations entre 1964 et 1968, c’est aussi 4 milliards d'euros de perte de pouvoir d'achat prévus initialement et uniquement pour cette partie de la population auxquels s’ajoute désormais 1,5 milliard d'euros en 2027 pris sur les pensions, soit au moins 5,5 milliards d'euros ».

  • 13:29

    Les écologistes pas convaincus de la copie du gouvernement sur les retraites

    Cyrielle Chatelain, la patronne des députés écologistes, a réagi à la lettre rectificative présentée au Conseil des ministres : « Ce qui est présenté n'est pas une suspension mais un report de la réforme des retraites », a-t-elle estimé. Selon elle, ce qui est prévu par l'exécutif sera « bénéfique pour les générations de 1964 à 1968 (...) mais il est toujours prévu que la réforme s’applique pleinement pour la génération 1969 et les suivantes ».

    Elle se dit opposée aux « modalités de financement » souhaitées par le gouvernement, leur préférant une remise « à plat de l’allègement de cotisations sociales pour les entreprises ».

  • 12:55

    Retraites : CGT et CFDT opposés au plan de l'exécutif pour financer la suspension de la réforme

    La CGT et la CFDT ont dit ce jeudi leur opposition aux solutions choisies par le gouvernement pour financer la suspension de la réforme des retraites. Selon la lettre rectificative présentée au Conseil des ministres, l'exécutif entend mettre à contribution les mutuelles (le taux de la contribution des organismes complémentaires passera de 2,05% à 2,25% en 2026), mais aussi les retraités. Il est prévu d'augmenter la sous-indexation de leurs pensions (initialement prévue à 0,4 point) par rapport à l'inflation (+0,5 point supplémentaire en 2027).

    « Les retraités les plus modestes ne peuvent supporter une telle mesure »,estime Yvan Ricordeau, n°2 de la CFDT. « On fait payer une micro-suspension de la réforme aux retraités actuels et futurs », s'indigne, au nom de la CGT, son secrétaire confédéral, Denis Gravouil.

  • 12:28

    Ciotti tend la main aux électeurs LR

    « Après le refus de la censure, le refus d'exclure les ministres LR traduit l'incapacité des Républicains à s'opposer au macronisme allié des socialistes », juge sur X, Éric Ciotti, président de l'Union des droites. « Le parti UDR accueille chacun d'entre eux à bras ouverts ! », ajoute-t-il, tendant la main aux électeurs de son ancien parti.

  • 12:23

    Suspension de la réforme des retraites : « il n'y a rien à gagner de cette entourloupe », juge Bompard

    « C'est donc confirmé : ce n'est pas une suspension mais un décalage de la réforme », observe sur X le coordinateur de La France insoumise Manuel Bompard, alors que la lettre rectificative au budget de la Sécurité sociale, qui introduit la suspension de la réforme des retraites, a été publiée.

    « Il n'y a rien à gagner à cette entourloupe », estime le coordinateur de LFI. « Elle ne peut en aucun cas justifier de laisser passer les pires budgets de la 5ème République », poursuit Manuel Bompard en appelant à « censurer le gouvernement » et « chasser Macron ».

  • 12:02

    La suspension de la réforme des retraites désormais inscrite dans le PLFSS

    Le Conseil des ministres de ce matin « a acté le recours à la lettre rectificative, c'est-à-dire l'introduction dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026, des dispositions prévoyant les modalités » de la suspension de la réforme des retraites, annonce le gouvernement dans un communiqué.

    « La modification introduite par le Gouvernement suspend la trajectoire de relèvement de l'âge de départ pour la génération concernée à 62 ans et 9 mois. Celle-ci suspend également le relèvement de la durée de cotisation à 170 trimestres », précise le communiqué.

  • 11:58

    L'Assemblée nationale intègre le non-consentement à la définition pénale du viol

    « Passer de la culture du viol à la culture du consentement »: l'Assemblée nationale a largement voté jeudi en faveur d'un texte de compromis intégrant la notion de non-consentement à la définition pénale du viol, avant une adoption définitive attendue au Sénat la semaine prochaine.

    Après plusieurs discours de députées très émues à la tribune, l'Assemblée nationale a adopté la proposition de loi, issue d'un compromis avec les sénateurs, par 155 voix contre 31, seuls les élus d'extrême droite s'y opposant.

  • 11:55

    La suspension de la réforme des retraites, « une excuse pour ne pas voter la censure », pour Marine Le Pen

    Pour Marine Le Pen, la suspension de la réforme des retraites « n'est qu'une excuse pour ne pas voter la censure ».

    « Le parti socialiste avait besoin d'une excuse pour s'opposer au vote d'une censure. Car voter la censure c’était risquer une dissolution et le parti socialiste s'il va aux élections sans le soutien de La France insoumise il revient à trois députés », estime-t-elle jugeant que parti socialiste et macronistes « ont magouillé, ficelé cette excuse pour permettre au PS de s'opposer au vote de la censure ».

  • 11:52

    Le RN est « absolument contre le budget »

    Marine Le Pen confirme que le Rassemblement national est « pour la suspension » de la réforme des retraites. Mais ce n'est pas pour autant que le parti acceptera le projet de loi de finances et le projet de loi de financement de la sécurité sociale.

    « Est-ce que nous allons voter pour une augmentation de 20 milliards pour financer cette suspension ? Il n'en est pas question. Une augmentation encore de 30 milliards des dépenses, une aggravation de 20 milliards des impôts... Il est pas question que nous acceptions cela. Il y a dans le PLF et dans le PLFSS des choix que l'on ne peut pas soutenir », a redit Marine Le Pen lors de la présentation du contre-budget du RN. « Nous sommes absolument contre ce budget », a-t-elle insisté.

  • 11:37

    Le Rassemblement national veut une baisse des impôts

    Dans son contre-budget, le Rassemblement national propose « une baisse de 25 milliards d'euros des impôts pour les ménages » et un « choc de production, de compétitivité pour nos entreprises avec une baisse massive des impôts de production de 16,2 milliards d'euros ».

    Le parti mené par Jordan Bardella entend également supprimer la TVA sur les produits de première nécessité.

  • 11:34

    Le RN veut « s'attaquer aux dépenses inutiles »

    Le Rassemblement national assume dans son contre-budget « une forte baisse des dépenses ». Le parti entend s'attaquer « aux dépenses inefficaces et inutiles ». Parmi ces dépenses, le député Jean-Philippe Tanguy cite notamment une « baisse de la contribution à l'Union européenne », pour un montant de 32,4 milliards d'euros et une « baisse de l'aide publique au développement » pour un montant de 2,4 milliards d'euros.

    Le deuxième bloc de dépenses « inutiles » concerne « le contrôle des dépenses de l'immigration », souligne Jean-Philippe Tanguy. Le parti propose notamment de restreindre les prestations de solidarité aux immigrés qui ont travaillé cinq ans à taux plein ; la transformation de l'aide médicale d'Etat en aide médicale d'urgence ; la suppression des visas pour soins.

    Enfin, le Rassemblement national propose également des « économies sur le train de vie de l'Etat », une « baisse immédiate de la dotation à l'audiovisuel public », et demande un effort de cinq milliards d'euros à « certaines collectivités territoriales : les intercos et les régions ».

  • 11:26

    Le contre-budget du RN s'attaque à « quatre tabous »

    Le contre-budget du RN « s'attaque aux quatre tabous de la politique budgétaire », explique Marine Le Pen. Il s'agit de l'immigration, de la relation financière avec l'Union européenne, le train de vie de l'Etat et un quasi-abandon de toute volonté de lutter contre les fraudes.

    Cela permet des « économies nettes assez conséquentes », déclare la présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale.

  • 11:17

    Le contre budget du RN « vient corriger la copie initiale »

    Après La France insoumise hier, c'est au tour du Rassemblement national de présenter son contre-budget ce jeudi. « Notre contre-budget n'est pas un autre budget. (...) Il vient corriger la copie initiale », annonce Marine Le Pen en introduction de la conférence de presse de présentation.

    La présidente des députés RN indique que son groupe a quatre préoccupations en établissant son contre-budget : « quel impact sur les Français ? », « préserver notre souveraineté », « éviter de dégrader la situation » et « lier la baisse des mauvaises dépenses et la relance de l'économie ».

  • 10:53

    LR ferme la porte à une union des droites

    Le président du groupe Les Républicains au Sénat Mathieu Darnaud a fermé ce matin la porte à une union avec le Rassemblement national, alors que le député RN Jean-Philippe Tanguy leur a tendu la main sur BFM. « Il n'y a absolument pas de volonté d'union des droites. Notre position n'a jamais varié, notre position est très claire. Ce n'est pas du tout à l'ordre du jour », a déclaré le sénateur sur Public Sénat.

  • 10:44

    Il faut que les oppositions « acceptent de rentrer dans le compromis », insiste Prisca Thévenot

    La députée Ensemble pour la République et ancienne porte-parole du gouvernement Prisca Thévenot estime sur franceinfo que « le compromis, ce n'est pas simplement faire pression en permanence et menacer de censure. Le compromis, c'est se mettre autour de la table et défendre ses idées dans le cadre d'un débat démocratique parlementaire ».

    Elle appelle à « arrêter de fonctionner par principe de menaces répétées et successives » et estime qu'il va falloir « qu'ils acceptent de rentrer dans ce compromis », dans un tacle adressé au parti socialiste.

  • 10:27

    « Ma famille politique va mal », reconnaît Laurent Wauquiez

    « Nous avons donné la pire image de la droite, celle de l'incohérence », reconnaît auprès du Figaro Laurent Wauquiez.

    Revenant sur le retrait du gouvernement annoncé subitement par Bruno Retailleau après la nomination de Bruno Le Maire comme ministre, le président des députés LR estime que « la crédibilité acquise par la droite en un an a disparu en un soir. Je pourrais m'en réjouir : ce n'est pas un secret, tout le monde sait que la relation avec Bruno n'a pas été facile. Mais comment pourrais-je me réjouir ? Ma famille politique va mal. »

  • 10:17

    La députée LFI Belouassa-Cherifi candidate aux municipales à Lyon

    La députée La France insoumise du Rhône, Anaïs Belouassa-Cherifi, sera candidate aux élections municipales à Lyon l'année prochaine, notamment face au maire écologiste sortant Grégory Doucet et à l'ancien patron de l'OL Jean-Michel Aulas, a-t-elle annoncé jeudi.

    « Je suis candidate aux municipales à Lyon pour La France insoumise. Jean-Michel Aulas utilise sa notoriété pour cette élection et les Écologistes font campagne simplement sur leur bilan, sans être force de proposition. Il faut élever le niveau du débat », indique Anaïs Belouassa-Cherifi.

    La candidate ne ferme pas la porte à d'éventuelles discussions avec le maire sortant en vue d'une fusion des listes entre les deux tours, « mais ces discussions auront lieu sur des bases programmatiques », prévient-elle.

  • 09:57

    Le RN ouvert à une « alliance avec LR »

    Le député du Rassemblement national Jean-Philippe Tanguy confirme sur BFMTV que le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella est ouvert à une alliance avec les Républicains. « Si dans le cas d'une élection législative, nous n'avions pas la majorité absolue, on pourrait faire après les élections une alliance avec des Républicains qui seraient assez proches de notre programme », confirme-t-il.

  • 09:46

    La dissolution de 2024, « une décision incompréhensible qui a plongé notre pays dans la crise » pour Manuel Valls

    « Nous vivons une situation politique impossible », déclare sur Franceinfo l'ex-ministre des Outre-mer Manuel Valls qui estime que « c'est le résultat d'une crise démocratique profonde dans l'ensemble des pays industrialisés » mais que cette crise « a été accentuée dans notre pays par la dissolution de 2024 et par ses effets ».

    « C'est une décision incompréhensible qui a plongé notre pays dans une crise politique, institutionnelle, démocratique et qui peut conduire à une crise de régime », estime l'ex-Premier ministre de François Hollande.

  • 09:36

    « Les LR de Laurent Wauquiez à Bruno Retailleau finiront par mourir », juge Chenu

    « Les LR de Laurent Wauquiez à Bruno Retailleau finiront par mourir de leurs faiblesses, de ne rien oser », estime sur Europe 1/Cnews Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national.

    « Ils n'osent pas sanctionner ceux qui sont main dans la main dans le gouvernement d'Emmanuel Macron mais ils n'osent pas non plus regarder la situation telle qu'elle est et considérer que le Rassemblement national est le part le plus à même de représenter l'alternance », a-t-il déclaré, invitant les électeurs du parti de droite à « arrêter de se faire avoir ».

  • 09:31

    Le budget du gouvernement est « une copie de démarrage du débat », estime Aurore Bergé

    La copie de budget présentée par le gouvernement « est une copie de démarrage du débat, ce n'est pas une copie finale », souligne Aurore Bergé sur Sud Radio. La ministre de l'Egalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations « espère » que les débats iront jusqu'au bout.

    « Je crois à la nécessité de la stabilité pour le pays car quand vous êtes artisan, commerçant, agriculteur vous en avez marre qu'en permanence les règles changent, vos interlocuteurs changent, de pas savoir ce qui va se passer pour vous », a-t-elle souligné.

  • 09:14

    L'effort fiscal demandé aux Français est « raisonnable », estime Aurore Bergé

    Sur Sud Radio, la ministre de l'Egalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations Aurore Bergé estime que l'effort fiscal demandé « sur les plus grandes entreprises et sur les plus fortunés de ce pays » est « raisonnable ».

    Il « garantit que chacun puisse participer un peu plus à l'effort du pays dans un contexte où il y a besoin de faire des efforts », a-t-elle ajouté, soulignant également une « attente très forte dans notre société de justice fiscale ».

  • 08:49

    Le RN votera « évidemment la suspension » de la réforme des retraites

    « On votera évidemment la suspension (de la réforme des retraites, NDLR). On n'est jamais pour la politique du pire », a annoncé ce jeudi matin le député RN Jean-Philippe Tanguy. Le Rassemblement national cultivait jusqu'ici le flou sur sa position concernant la possible suspension de la réforme des retraites.

    Le parti d'extrême droite demandait, comme la gauche, que la mesure soit ajoutée, via une « lettre rectificative », au projet de budget de la Sécurité sociale, en lieu place d'un amendement. Objectif : garantir la suspension en cas d'enlisement des débats et de recours à des ordonnances pour faire passer le budget.

  • 08:42

    Union des droites, ministres suspendus... Xavier Bertrand appelle LR « à davantage de cohérence »

    Xavier Bertrand, le président LR de la région Hauts-de-France, est sévère avec sa famille politique ce jeudi matin sur France Inter : « J’appelle les républicains à davantage de cohérence », déclare-t-il. Il revient d'abord sur la suspension des ministres Les Républicains décidée hier en bureau politique. Il suffisait selon lui de « prendre acte » de la mise en retrait des concernés « sans créer de psychodrame ». Mais « comme Bruno Retailleau n’est plus au gouvernement, ça pose problème », tacle Xavier Bertrand.

    Le président de Région dénonce aussi les ambiguïtés de sa famille politique « vis-à-vis du Rassemblement national » : « Nous devons dire très clairement jamais d’alliance, jamais d’union, pas une voix pour les candidats du Rassemblement national ». Il critique l'attitude de François-Xavier Bellamy, qui a voté une motion de censure de Jordan Bardella au Parlement européen, les propos de David Lisnard dans Valeurs actuelles, ou encore la position de son parti lors de la législative partielle du Tarn-et-Garonne. « Au bout d’un moment ça suffit ! », tempête-t-il.

  • 08:23

    « Il y a quelques dingueries qui sont passées en commission », estime Vincent Jeanbrun (Logement)

    Sur RTL ce matin, ministre de la Ville et du Logement Vincent Jeanbrun, est revenu sur le rejet en commission de la partie recettes du projet de loi de finances (PLF). Il y a, selon lui, « quelques dingueries qui sont passées » en commission et il est donc bénéfique que ce soit la « copie d’origine qui arrive devant l’hémicycle » à partir de vendredi. « C'est un point de départ qu’on va améliorer », assure le ministre, suspendu mercredi soir par LR.

    Vincent Jeanbrun estime par ailleurs que la situation sur le marché immobilier est « catastrophique ». Il souhaite, à travers des mesures contenues dans le budget, lancer « un plan d’urgence sur le logement ». Il faut d'après lui « permettre aux particuliers de retrouver un intérêt à investir dans la pierre », pour ainsi augmenter le nombre de logements disponibles et ainsi faire baisser les prix. Il dénonce l'amendement adopté en commission, qui remet en cause l’exonération des plus-values sur la résidence principale.

  • 07:46

    « Je n'ai pas de baguette magique », concède le ministre du Pouvoir d'achat

    Invité sur TF1, Serge Papin, ministre des Petites et moyennes entreprises et du Pouvoir d’achat s'inscrit en faux de l'idée selon laquelle le projet de budget du gouvernement heurterait le pouvoir d'achat des Français. « Ce qui est anti-pouvoir d'achat, c'est qu'il n'y ait pas de budget. Il faut un budget qui amène de la stabilité (...). Les chefs d'entreprise me disent "Tant qu'on n'aura pas de visibilité, de stabilité, on arrête d'embaucher, on arrête d'investir". Et ça, ça va contre le pouvoir d'achat, contre la création de valeur ».

    « Je n'ai pas de baguette magique concernant le pouvoir d'achat. La mesure phare que j'ai proposée, c'est de faire en sorte que toutes les entreprises, passent des contrats d'intéressement pour aller vers le partage de la valeur. Pour qu'il y ait partage, il faut qu'il y ait création de la valeur », insiste-t-il.

  • 07:18

    Conseil des ministres exceptionnel sans compte rendu à la presse

    Emmanuel Macron préside jeudi un Conseil des ministres en visioconférence depuis Bruxelles pour inscrire la suspension de la réforme des retraites dans le projet de la loi de finances de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026 via une lettre rectificative. Il s'agit du deuxième conseil des ministres en deux jours.

    Les ministres dont le premier d'entre eux, Sébastien Lecornu, seront pour leur part réunis à l’Élysée, comme à l'accoutumée. Contrairement au rendez-vous hebdomadaire du mercredi, les journalistes n'assisteront en revanche pas à la sortie du Conseil, et au traditionnel compte rendu de la porte-parole du gouvernement.

  • 07:13

    « Pas crédible », « pas votable » : LR cingle le projet de budget Lecornu

    « Nous avons fait un grand chemin, mais il y a beaucoup à faire parce que le budget tel qu'il est n'est pas un budget crédible. Il va falloir le retravailler « , a commenté le rapporteur général du Budget, Philippe Juvin (LR), qui s'est abstenu au vu des « grandes incertitudes qui demeurent », voire d'un « certain nombre d'impasses ». Selon le député des Hauts-de-Seine, le texte prévoit après son passage en commission une réduction de la pression fiscale de 7 milliards d'euros (13 milliards de recettes en moins, et 6,3 milliards de recettes nouvelles) par rapport à la copie gouvernementale, ce qui supposerait pour ne pas dégrader l'objectif de déficit (4,7%) de réduire d'autant les dépenses.

    LR, dont le chef Laurent Wauquiez avait prévenu que son vote n'était pas « automatique », a de même pris ses distances, donnant « rendez-vous lors de la séance publique pour faire disparaître » d'autres taxes et impôts. « Dans l'attente d'avoir un budget un peu plus votable, nous voterons contre cette copie », a dit le député de son groupe Jean-Didier Berger.

  • 07:10

    Pour le socialiste Philippe Brun, « le compte n'y est pas »

    Chef de file du PS à la commission des finances de l'Assemblée nationale, Philippe Brun a justifié son rejet de la partie recettes du budget en affirmant que « le compte n'y (était) pas », au terme des débats, vers 2h du matin, alors que le gouvernement de Sébastien Lecornu a besoin de la bienveillance du PS pour échapper à la censure.

  • 07:05

    La partie recettes du budget largement rejetée en commission

    Les députés ont largement rejeté - 11 voix pour et 37 contre - en commission dans la nuit de mercredi à jeudi la partie recettes du budget de l’État pour 2026, ce qui annonce des débats difficiles pour le gouvernement dans l'hémicycle à partir de vendredi. L'ensemble de la gauche, le Rassemblement national, mais aussi LR, dont plusieurs ministres du gouvernement sont issus, ont voté contre la copie résultant des travaux de la commission. Les députés MoDem, Horizons et Liot se sont abstenus, seuls les députés Renaissance votant finalement pour le texte. Les députés repartiront en séance plénière de la copie gouvernementale, les débats en commission servant en quelque sorte de répétition générale.

  • 7:02

    L'essentiel de la journée de mercredi

    Les six ministres Les Républicains suspendus de leur parti. Annie Genevard (Agriculture), Rachida Dati (Culture), Philippe Tabarot (Transports), Vincent Jeanbrun (Logement), Sébastien Martin (Industrie) et Nicolas Forissier (Commerce extérieur) avaient assuré « s'être mis en retrait de toute fonction » au sein du parti. Dans la soirée, celui-ci a annoncé leur suspension, et non leur exclusion.

    La suspension de la réforme des retraites coûtera 1,4 milliard d'euros en 2027. C'est ce qu'affirme la lettre rectificative examinée au Conseil d’État, qui sera présentée en conseil des ministres jeudi. Cette suspension sera financée d'une part par une hausse du taux de la contribution des organismes complémentaires et d'autre part par la sous-indexation des pensions des retraités par rapport à l'inflation.

    Marine Tondelier se lance dans la course pour 2027. La cheffe de file des Écologistes a annoncé sa candidature pour la présidentielle de 2027. Une candidature qui passera par une désignation officielle de son parti début décembre, et une primaire de la gauche en préparation.

    La majorité des Français jugent le projet de budget du gouvernement « injuste ». 75 % des Français jugent le budget du gouvernement « injuste » et « inefficace pour réduire la dette », selon un sondage « Opinion en direct » de l'institut Elabe pour BFMTV publié mercredi. Ils sont toutefois près de la moitié (48 %) à juger qu'un mauvais budget est une perspective meilleure que pas de budget du tout.

  • 7:00

    Bonjour à tous et bienvenue dans ce direct pour suivre l'actualité politique du jour.

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