Publié le 12.09.2025 à 18:41
Éducation. Rentrée scolaire : pourquoi des enseignants manquent à l'appel au collège et au lycée
Non, il n’y a pas eu un enseignant devant chaque classe à la rentrée. Car dans 60 % des établissements du second degré, il manque plus d’un enseignant, selon une enquête du syndicat des personnels de direction, le SNPDEN-Unsa, dévoilée ce vendredi. Un déficit qui touche plus durement les lycées polyvalents (qui regroupent des filières générales, technologiques et professionnelles) et les lycées professionnels, ainsi que certaines académies (Créteil, Versailles, Mayotte, la Guyane). « Pourtant, les rectorats se sont mobilisés en mettant en place des cellules de rentrée. Mais on ne réussira jamais à avoir une situation où tous les enseignants seront nommés à 100 % », estime Bruno Bobkiewicz, secrétaire général du SNPDEN-Unsa.
Des chiffres qui font écho à ceux d’un sondage Snes-FSU, premier syndicat du second degré, publié la semaine dernière. Selon lui, il manquait « au moins un enseignant dans 55 % des collèges et des lycées ». Disciplines les plus touchées : le français, l’anglais, les mathématiques, l’allemand… De son côté, la ministre de l’Éducation, Élisabeth Borne, avait évoqué le 1er septembre sur RTL « l’équivalent de 2 500 professeurs » manquants dans les collèges et lycées. Depuis, certains besoins ont été comblés grâce aux recrutements de contractuels par les rectorats et au déploiement de personnels remplaçants. Mais on sait déjà que tous les arrêts maladie de l’automne ne pourront pas donner lieu à des remplacements, faute de personnels encore disponibles.
Plusieurs raisons expliquent cette pénurie d’enseignants : la crise des vocations, le fait que certaines académies soient considérées comme moins attractives, la localisation géographique de certains établissements... Une difficulté qui dépasse les frontières françaises. Dans son rapport annuel “Regards sur l’Éducation” publié mardi, l’Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE) relevait que le taux de postes vacants en France reste parmi les plus faibles des pays membres, loin derrière la Suède ou l’Autriche, bien qu’il ait augmenté ces dernières années.
Pour Eric Charbonnier, analyste à l’OCDE, la réforme des concours enseignants, qui entrera en vigueur dès la session 2026, peut apporter une solution : « Le fait qu’ils aient lieu après une licence et non plus après un master peut créer un choc d’attractivité. » De son côté, Sophie Vénétitay, secrétaire générale du Snes-FSU, plaide pour d’autres mesures : « Il faut revaloriser les salaires, octroyer aux enseignants de meilleures conditions de travail et redonner du sens au métier. On a aussi besoin d’un projet politique pour redonner à l’école une ambition. » Une mission à laquelle devra s’atteler le prochain ministre de l’Éducation, Élisabeth Borne étant démissionnaire.
Publié le 12.09.2025 à 19:07
Hautes-Alpes. Le Tour de France serait de retour en 2026
La nouvelle devrait être annoncée le 23 octobre prochain au Palais des Congrès de Paris : le Tour de France pourrait faire son retour dans les Hautes-Alpes en juillet 2026. Selon les informations du Dauphiné Libéré, le département bénéficierait...
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Publié le 12.09.2025 à 18:16
Politique. Nouveau Premier ministre, Sébastien Lecornu est attendu samedi à Mâcon en Saône-et-Loire
Après s'être entretenu jeudi avec les membres du bloc central, ainsi qu'avec Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher, le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu reçoit ce vendredi les forces syndicales et patronales.
La secrétaire générale de la CFDT Marylise Léon a été reçue en fin de matinée, tandis que Patrick Martin, président du Medef, sera accueilli dans la soirée.
Samedi, Sébastien Lecornu fera son premier déplacement sur le terrain, en Saône-et-Loire.
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18:22
La ministre du Travail démissionnaire Astrid Panosyan-Bouvet est visée par une plainte déposée au Parquet national financier (PNF) par AC Anticorruption qui l'accuse d'être intervenue pour éviter un redressement fiscal au spécialiste de la forge et de l'usinage Setforge. Cette plainte contre X dénonce plusieurs infractions possibles comme la prise illégale d'intérêts, le détournement de fonds publics ou la concussion, mais aussi l'abus d'autorité, l'abus de biens sociaux ou la présentation inexacte des comptes annuels.
17:58
Le président du Medef Patrick Martin, qui sera reçu dans la soirée à Matignon, a envoyé jeudi une lettre aux autres partenaires sociaux, syndicats et organisations patronales, pour les inviter à venir discuter des prochains dossiers paritaires, dans le cadre de « l'agenda social autonome », c'est-à-dire sans l’État. « Particulièrement dans le contexte politique, économique et social actuel, je suis convaincu que l’agenda social autonome a plus que jamais sa place », écrit le leader patronal dans cette courte lettre révélée par Les Échos.
Il suggère de « centrer la discussion sur le financement de notre modèle social, l'évolution du modèle productif et la conciliation de la croissance avec les grandes transitions en cours : numérique, environnementale et démographique ». Ainsi que sur l'emploi des jeunes, « priorité nationale que nous partageons tous ».
17:30
Après la CFDT ce vendredi matin, les rencontres bilatérales à Matignon doivent se poursuivre avec le président du Medef à 19 h 45, avant la CGT, la CFTC et la CFE-CGC lundi et les deux organisations patronales CPME et U2P, lundi et mardi.
Le chef de file de FO, Frédéric Souillot, a quant à lui accepté de rencontrer Sébastien Lecornu mais après le 18 septembre, date de la journée intersyndicale de grèves et manifestations.
17:09
Les communistes ne s'engagent pas dans une censure « a priori » du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu mais la voteront « sans marque profonde d'un changement de politique », selon le patron du PCF Fabien Roussel.
« Si c'est pour passer de 44 milliards à 39 milliards d'austérité, ce n'est même pas la peine de nous appeler. J'ai dit à Sébastien Lecornu que de mêmes causes produisent de mêmes effets », a dit Fabien Roussel, qui s'est entretenu avec le nouveau Premier ministre en début de semaine.
« Je lui ai notamment fait des demandes sur l'augmentation des salaires, l'abrogation de la réforme des retraites et la diminution des aides accordées aux grosses entreprises », a déclaré le secrétaire national du PCF à la presse lors de la Fête de l'Humanité.
16:47
Sébastien Lecornu effectuera son premier déplacement sur le terrain samedi en Saône-et-Loire, a annoncé Matignon à BFMTV.
Selon Le Journal de Saône-et-Loire, il viendra à Mâcon, au Centre départemental de santé, avec comme thématique la vie quotidienne des Français et la santé. Michel Barnier avant lui avait choisi la Saône-et-Loire pour son premier déplacement en tant que Premier ministre, rappelle Le JSL.
15:58
Depuis la Fête de l'Humanité, le secrétaire national du PCF affirme que « la dissolution ne nous fait pas peur. S'il faut retourner aux urnes, on retournera aux urnes », lance Fabien Roussel
15:32
Heures de remplacement, activités et projets : les économies à l'œuvre dans l’Éducation nationale et la réduction de nombreuses dotations scolaires ont un « effet immédiat sur la rentrée », dénonce le SNPDEN-Unsa, principal syndicat des chefs d'établissements. Son secrétaire général Bruno Bobkiewicz, estime qu'il y a « une réduction des différentes enveloppes pour les établissements » allant des heures supplémentaires au Pacte enseignant [dispositif de compensation financière pour les enseignants qui assurent des remplacements, NDLR] aux « enveloppes du Pass Culture [...] qui ont très largement baissé ».
À cela s'ajoute la fin du versement de primes pour les enseignants travaillant dans des lycées auparavant classés en REP. « Ca va impacter la fiche de paye d'un certain nombre d'enseignants qui jusqu'à présent étaient partants pour ces dispositifs », poursuit-il. Il s'attend à ce que les enseignants participent en nombre à l'appel intersyndical à la grève le 18 septembre.
15:02
Le secrétaire national du Parti communiste français appelle Sébastien Lecornu à « ne plus suivre la politique du président » et à « se tourner vers le Parlement une bonne fois pour toutes, pour construire des majorités », déclare Fabien Roussel à BFMTV.
« Les Français expriment avec force leur colère, j'espère qu'ils seront nombreux à le faire le 18, [...] ils veulent que ça change », a-t-il martelé au micro de BFMTV. Il a pour autant confié être « sans illusions » après la nomination du nouveau Premier ministre.
« Avant de censurer je vais aller le voir pour lui dire ce que nous voulons, [...] augmenter les salaires, abroger la réforme des retraites, retirer ce qu'il y avait de toxique dans le budget Bayrou [...] et une justice fiscale », a-t-il ajouté. « On ne censure pas a priori, on va attendre, voir ce qu'il va retenir de tout ce que nous aurons demandé. La balle est dans son camp. »
14:35
Reçue à Matignon ce vendredi, Marylise Léon constate que Sébastien Lecornu « n'a pas démenti qu'il pourrait y avoir un certain nombre d'éléments, de travaux, sur une contribution des plus hauts revenus », mais « selon quelles modalités, ça n'est pas encore complètement défini », a préciséla secrétaire générale de la CFDT.
« Ce qu'attendent les travailleurs et les travailleuses, c'est qu'il y ait des preuves » de la « rupture » annoncée par le nouveau Premier ministre, « et qu'on puisse avoir une démonstration qu'il y a véritablement un changement de méthode », a-t-elle ajouté.
14:30
Reçue à Matignon par Sébastien Lecornu ce vendredi, la secrétaire générale de la CFDT a été ferme : « Il est hors de question que ce soit le monde du travail qui paye la question de la réduction des déficits », a-t-elle déclaré.
« Nous lui avons réaffirmé que nous étions plus que jamais motivés pour aller dans la rue, et que nous réussirons la mobilisation du 18 septembre », a-t-elle ajouté.
14:26
Le principal syndicat chez les contrôleurs aériens reporte son appel à la grève prévue le 18 septembre, faute d'interlocuteur au gouvernement.
« Compte tenu du fait qu'un nouveau Premier ministre a été nommé et qu'un certain temps va être laissé pour composer le gouvernement, on n'a pas d'interlocuteur pour réussir à aboutir sur les revendications du niveau ministériel d'ici le 18 septembre », a déclaré Guillaume Sintes du syndicat SNCTA. « Dans ces conditions, on lève le préavis du 18 septembre », a-t-il ajouté.
14:23
L'ancien Premier ministre François Bayrou devrait faire sa première apparition publique depuis sa démission mardi. Il est annoncé samedi à la 77e édition de la Foire de Pau, ville dont il reste le maire. Selon La République des Pyrénées, il sera présent à l'inauguration officielle de la Foire samedi à 11 heures et fera un discours pour l'occasion.
« Il pourrait être suivi à la trace par les manifestants du mouvement Bloquons Tout qui ont d'ores et déjà identifié sa venue », poursuit le quotidien local.
13:38
Sur la taxation des très hauts patrimoines dite « taxe Zucman », Jean-Noël Barrot constate que l'idée « trouve un certain écho dans la société » et dans certains partis. « Ce sont, j'espère, des éléments qui contribueront à façonner le compromis dont nous avons besoin », estime le ministre démissionnaire des Affaires étrangères sur France Inter ce vendredi. Mais aujourd'hui, « personne n'a de majorité, personne ne peut imposer ses idées », juge-t-il, alors que Sébastien Lecornu mène des consultations avec différents partis pour former son futur gouvernement.
13:11
A sa sortie de Matignon, où elle était reçue par le Premier ministre, Marylise Léon a affirmé avoir « définitivement enterré l'idée d'un conclave » sur la réforme des retraites.
« La CFDT reste claire: il n'y a pas eu de terrain d'atterrissage [...]. On ne reprend pas les discussions et on reste opposé à la réforme de 2023 », martèle la secrétaire générale du premier syndicat de France.
12:47
La nomination à Matignon de Sébastien Lecornu ne correspond pas aux « attentes » d’une large majorité des Français (69 %), selon un sondage Odoxa pour Le Figaro - sauf chez les soutiens du chef de l’État et ceux de la droite, qui lui sont plus favorables. Même Michel Barnier et François Bayrou avaient été mieux accueillis que lui, quand le premier recueillait 45 % d'opinions favorables et le second 36 % lors de leur entrée à Matignon.
12:29
Le directeur de cabinet du Premier ministre réunit ce vendredi ses homologues des différents ministères à Matignon, selon BFMTV.
11:42
Le ministre démissionnaire de l’Industrie Marc Ferracci affirme qu'il n'y a « pas de tabou », sur la mise en place d'une taxe sur les très hauts patrimoines (dite « Zucman »). « Avec une préoccupation, précise-t-il, c’est de ne pas pénaliser l’esprit d’entreprise », a-t-il souligné sur Sud Radio.
Ce dispositif, qui prévoit de taxer à hauteur de 2% les patrimoines de plus de 100 millions d’euros, concernerait 1800 foyers fiscaux selon son promoteur, l’économiste Gabriel Zucman. D’après lui, elle rapportera jusque 20 à 25 milliards d’euros par an, alors que d’autres économistes estiment son rendement plutôt autour de 5 milliards.
11:01
Sébastien Lecornu va devoir « penser différemment » que François Bayrou pour la construction du budget, a estimé jeudi Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, qui doit être reçue ce vendredi à 11h15 par le nouveau Premier ministre.
10:26
Invitée d'Europe 1 ce vendredi, la députée EPR des Hauts-de-Seine Maud Bregeon accuse LFI : « Mélenchon et ses sbires cherchent à amener le chaos. [...] Et ça passe par encourager les manifestations violentes, l’antisémitisme...», a détaillé l’élue à propos du mouvement "Bloquons tout", le 10 septembre. « Jean-Luc Mélenchon souffle sur les braises de la violence », a-t-elle ajouté.
10:00
Le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu reçoit ce vendredi les syndicats de salariés et du patronat. La CFDT sera reçue à Matignon à 11h15, avant le Medef cet après-midi. La CFTC sera reçue lundi à 14h30, mais Force ouvrière a demandé un délai, préférant rencontrer le Premier ministre après les mobilisations du 18 septembre.
09:46
L'ancien ministre Roland Lescure, aujourd'hui député Ensemble pour la République (EPR), soutient sur France Info que le RN est « là pour jouer la dissolution » et appelle à ne pas les inclure dans les négociations. Il appelle le nouveau Premier ministre à ne pas consulter le Rassemblement national avant de composer son gouvernement et à ne pas négocier avec lui les futures réformes. Mais pas non plus la France insoumise, qui appelle au départ d'Emmanuel Macron.
« Il faut faire sans [...] et composer avec les autres forces », affirme le député. Il estime cependant que « si on passe notre temps à mettre des lignes rouges partout, on n'y arrivera pas ».
09:29
Députée des Hauts-de-Seine et porte-parole du gouvernement de Michel Barnier, Maud Bregeon reprend à son compte les propos du nouveau Premier ministre lors de la passation de pouvoir : « Je retiens deux choses des premiers mots » de Sébastien Lecornu : « La sobriété que l’époque impose, et une volonté de rupture que beaucoup attendent », détaille-t-elle sur Cnews. « Le Premier ministre a démontré depuis des années sa culture du compromis, du dialogue social et avec les élus. Il y a un chemin », conclut-elle.
09:01
« La taxe Zucman, c'est le minimum syndical » à mettre en place en France, déclare sur BFMTV-RMC l'économiste français Thomas Piketty : « On propose de taxer à 2% par an les 1.800 contribuables qui sont à plus de 100 millions d'euros de patrimoine, correspondant aux 500 plus grandes fortunes » du pays, explique-t-il.
Selon lui, il est « complètement faux » de dire que la taxe Zucman serait inconstitutionnelle. Il dénonce un « argument juridique qui n'existe pas ».
08:46
Se disant « inquiet » par la situation, Xavier Bertrand « n'est pas de ceux » qui veulent une dissolution de l'Assemblée nationale ou une démission du président de la République : « Je souhaite qu'il puisse aller jusqu'au bout parce que j'ai pas envie de connaître le chaos », explique Xavier Bertrand sur RTL ce vendredi matin.
08:43
Fitch sera-t-elle vendredi la première agence de notation à abaisser la note souveraine de la France ? La première agence à se prononcer ce vendredi classe - comme ses homologues - la France AA- ou équivalent (qualité de dette « haute ou bonne »). Avec, chez Fitch notamment, une « perspective négative », en raison de la situation économique, politique et budgétaire.
Ce qui préfigure une dégradation: en ce cas, la France basculerait en catégorie A (qualité « moyenne supérieure »), et devrait verser à ceux qui investissent dans sa dette une prime de risque supérieure, accroissant d'autant les remboursements de cette dette.
08:28
Selon l'ancien ministre des Transports Clément Beaune, le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu « a envoyé un message très clair, qui est double, un message de dialogue. Et puis un message de sobriété parce qu'il y a du boulot à faire », a estimé celui qui a succédé à François Bayrou comme haut-commissaire au Plan, ce vendredi matin sur TF1.
08:08
Interrogé sur la composition du future gouvernement Lecornu, le président LR de la Région Hauts-de-France a appelé à le nouveau Premier ministre à nommer des membres des Républicains, mais, « pour que ça change de politique ». Xavier Bertrand ne souhaite toutefois pas faire partie de cette équipe gouvernementale : « Je ne suis pas ici pour déposer un CV sur la table », dit-il, assurant « ne pas se mettre à genoux devant le RN ».
08:00
« Le responsable de cette situation, c'est Emmanuel Macron : il doit dans les jours qui viennent nous dire comment vont se passer les 19 mois qui restent », appelle Xavier Bertand, ce matin. « Le président de la République doit venir s'exprimer devant la Nation, il ne peut pas se laver les mains de cette situation dont il est le responsable », insiste-t-il.
07:55
Invité de RTL ce matin, Xavier Bertrand a laissé entendre que son opposition au Rassemblement national était la raison pour laquelle il n'a pas été nommé Premier ministre par Emmanuel Macron. « Dans ce pays, une grande partie de la classe politique tremble devant Madame Le Pen et Monsieur Bardella : moi, je n'ai pas peur d'eux », dit-il.
À la question de savoir si Emmanuel Macron avait peur des dirigeants du parti d'extrême droite, le président LR de la Région Hauts-de-France répond : « On le voit bien (...). Dès que mon nom a été évoqué, Marine Le Pen a dit "si c'est Bertrand, on censure" ».
07:48
L'épineuse réforme des retraites, toujours rejetée par les syndicats de salariés, devrait être au menu des échanges avec Sébastien Lecornu. Mais, la CFDT a d'ores et déjà dit son opposition à la réouverture d'un conclave. La secrétaire générale du premier syndicat de France, Marylise Léon, est attendue en fin de matinée à Matignon
07:25
Braun-Pivet appelle les députés à « dépasser les clivages ». La présidente de l'Assemblée nationale s'est entretenue avec Sébastien Lecornu ce jeudi, qu'elle a appelé à « créer une dynamique » et les députés à « dépasser les clivages pour faire avancer notre pays ».
Larcher veut un contrat de gouvernement. Le président du Sénat appelle »les forces politiques qui sont prêtes à se retrouver autour du Premier ministre » pour un contrat de gouvernement.
Lecornu reçu par Sarkozy. L'ex-président de la République a reçu le nouveau Premier ministre dans ses bureaux ce jeudi.
104 députés ont signé la motion de destitution d'Emmanuel Macron. La cheffe des députés LFI Mathilde Panot, à l'origine du texte, estime que « la pression s'accroît » et que « Macron doit partir ».
Pour Le Pen, Lecornu doit « rompre avec le macronisme ». « Rompre avec le macronisme » : c'est ce que Marine Le Pen, cheffe de file des députés RN, a réclamé jeudi soir à Sébastien Lecornu : « C'est la rupture ou la censure », a-t-elle précisé.
07:30
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