LePartisan.info À propos Podcasts Fil web Écologie Blogs Revues Médias
flux grenoblois • associations

 Guillaume Gontard Sénateur de l' Isère

Permanences: 3, rue Gabriel Péri – 38000 Grenoble – Tél. 04 38 86 28 74

Son activité au Sénat


Publié le 07.11.2024 à 13:54

Alors que la démocratie est menacée par un nouveau fascisme, inspirons nous, avant qu’il ne soit trop tard, de l’enthousiasme qui accompagna le rétablissement de la République après la Libération. Le 7 novembre, j’ai pris la parole au Sénat à l’occasion des 80 ans de la séance inaugurale de l’Assemblée consultative provisoire. Vous pouvez retrouver mon discours ci-dessous en vidéo et sous format texte.

Merci Monsieur le Président pour l’organisation de cette séance commémorative d’une grande importance.

Merci Monsieur le Premier ministre de votre indispensable présence.

Le contexte politique pesant de cette semaine donne à notre séance une tournure plus solennelle encore. Hier, tombait le verdict dramatique de l’élection présidentielle américaine. Son peuple souverain a choisi, pour conduire les destinées de sa Nation, un homme, qui parmi tous ses outrages, s’est rendu complice, si ce n’est coupable, d’une tentative de coup d’Etat contre un Parlement souverain. Le scrutin de mardi est venu rappeler que les démocraties sont mortelles et que, souvent, elles se donnent elles même la mort.

Alors que nous craignons l’effondrement de l’une des plus grandes et des plus vieilles démocraties du monde, d’une démocratie qui en a inspiré tant d’autres à travers l’Histoire, il est de bon augure pour notre moral de commémorer le rétablissement d’une République démocratique.

Je dis bien “République” et j’exprime ainsi une nuance avec certains des orateurs précédents. Je ne crois pas que le Gouvernement provisoire de la République française (GPRF) et l’Assemblée consultative provisoire (ACP) n’aient rétabli que la “légalité républicaine”, je crois qu’ils ont pavé le chemin du rétablissement de la République tout entière.

Les héritiers du gaullisme et les constitutionnalistes débattront encore longtemps de cette question, mais je suis de ceux qui considère que la IIIe République est morte le 10 juillet 1940, que malheureusement, la France légale était à Vichy et que les agissements de ce régime demeurent “une souillure de notre histoire et une injure de notre passé” pour reprendre les termes du discours historique de Jacques Chirac à l’occasion de la commémoration du Vel d’Hiv en 1995.

Par conviction personnelle sans doute, par nécessité politique certainement, le général De Gaulle n’a pas souhaité proclamer la République au balcon de l’Hôtel de Ville comme Gambetta en son temps. Il considérait qu’elle n’avait jamais cessé d’être et il a tout fait, en pleine guerre, pour en rétablir du mieux possible les institutions. Dès l’instauration du Comité national français, premier Gouvernement de la France libre, le 24 septembre 1941, la création d’une Assemblée consultative est prévue ultérieurement par l’ordonnance, pour “fournir au CNF une expression aussi large que possible de l’opinion nationale”.

Je ne suis pas convaincu que le général De Gaulle était un grand défenseur du parlementarisme, mais il était indubitablement un grand défenseur de la République, dont le principe constitutif est la séparation des pouvoirs, notamment législatif et exécutif. Adjoindre à son Gouvernement, un organe consultatif aussi représentatif que possible, à défaut d’être législatif, faute d’être issu du suffrage universel, était impératif. C’est notamment cette construction institutionnelle originale, cette “surprenante aventure” pour reprendre les termes d’Emile Katz-Blamont, secrétaire général de l’ACP, qui a permis au général de convaincre Roosevelt de ses intentions républicaines et à la France d’éviter l’occupation par les troupes alliées.

Mais ce n’est pas le seul mérite de cette assemblée, constituée à Alger dans des conditions rocambolesques avant de siéger dans cet hémicycle après la Libération de Paris, de cette assemblée composée d’illustres membres, qui ont usé ces fauteuils avant nous ; héros de la Résistance (René Capitant, Gilberte Brossolette, les époux Aubrac et tant d’autres), parlementaires ayant refusé le vote des pleins pouvoir à Pétain (Paul Giacobbi, Henri Queuille, Vincent Auriol, etc) et représentants syndicaux illustres comme Ambroise Croizat.

J’ai cité Gilberte Brossolette, car l’autre spécificité de cette assemblée fut d’accueillir, à partir de 1944 et pour la première fois, des déléguées féminines, un an avant que les premières femmes parlementaires ne soient élues à l’Assemblée constituante le 21 octobre 1945. Si elle n’en fût pas membre, permettez-moi d’avoir également une pensée pour Madeleine Riffaud, héroïne de la résistance parisienne, qui nous a quittés hier.

Durant deux ans, dans un esprit de concorde républicaine entre les représentants des partis et mouvements de résistance de gauche et de droite, unis contre l’extrême droite de Vichy, l’Assemblée provisoire a accompagné le Comité français de libération nationale puis le GPRF dans la mise en oeuvre du programme du Conseil national de la Résistance.

Conduite des opérations militaire et de la politique de Défense, réorganisation des pouvoirs publics, avis budgétaires, créations des comités d’entreprises et surtout préparation des grandes réalisations du GPRF après la victoire : nationalisation de grandes banques et entreprises stratégiques, instauration de la sécurité sociale, encadrement des prix des denrées alimentaires, préparation de la Constituante, etc

Monsieur le Premier ministre, mes cher collègues, alors que la démocratie est menacée par un nouveau fascisme, inspirons nous, avant qu’il ne soit trop tard de cette période politique enthousiasmante, où les forces républicaines ont fait front pour reconstruire une République plus démocratique, pour conduire une politique économique résolument administrée, pour instaurer une politique sociale historiquement ambitieuse que nous chérissons encore aujourd’hui et pour accompagner judicieusement un vent de modernisation de la société.

Les leçons de l’Histoire sont toujours précieuses.

Publié le 05.11.2024 à 13:59

Tout en saluant la ratification par la France du traité historique sur la protection de la biodiversité en haute-mer BBNJ, j’ai appelé le 5 novembre 2024 le Gouvernement à accorder l’asile à Paul Watson ! J’ai également demandé au Gouvernement de donner une réalité aux aires marines protégées françaises en y interdisant le chalutage de fond. J’ai enfin interpellé le ministre de la Mer de sur les révélations de l’ONG BLOOM, faisant état de sa volonté de réautoriser un chalutier – usine monstrueux de 145m de long. Nous faisons un pas important pour protéger la biodiversité dans les eaux internationales mais traînons des pieds pour avancer sur notre propre domaine public maritime…

Merci Monsieur le Président,

Monsieur le Ministre,

Chers collègues,

« Même si vous n’avez jamais la chance de voir ou de toucher l’océan, il vous touche à chaque fois que vous respirez, à chaque goutte d’eau que vous buvez, à chaque bouchée que vous consommez. Tout le monde, partout, est inextricablement lié à l’existence de la mer et en dépend totalement. » Ainsi s’exprimait la formidable océanographe étatsunienne Sylvia Earle dans un, ouvrage dont le titre traduit en français dit tout de notre débat : « Le monde est bleu, notre destinée et celle de l’océan ne font qu’une. »

Malheureusement, 66 % des milieux marins sont détériorés par la pollution, par la surpêche et par l’acidification induite par le réchauffement climatique.

Malheureusement 1/3 des récifs coraliens, 1/3 des mammifères marins, 40 % et amphibiens et 27 % des crustacés sont directement menacés et avec eu toute la chaine alimentaire planétaire.

Protéger nos océans n’est pas une œuvre philanthropique, c’est une condition sine qua none de notre survie en tant qu’espèce.

Aussi, nous accueillons avec soulagement le traité des Nations unies sur la biodiversité en haute-mer qui est soumis à la ratification de notre assemblée. Nous remercions le groupe socialiste d’avoir permis cet échange sur ce traité historique.

Nous pouvons mettre au crédit du président de la République et de la présidence française de l’Union européenne cet accouchement de près de 20 ans de négociations internationales pour doter les eaux internationales d’un cadre juridique solide et protecteur de la biodiversité.

Je ne reviens pas sur tout ce qui a été présenté avant moi, mais je salue la possibilité qu’offre cet accord de créer des aires marines protégées en haute mer. La future conférence des parties qui sera chargée de donner vie à ce traité pourra, en coordination avec les autres autorités internationales relatives à la navigation, à la pêche et à l’activité minière, y encadrer fortement les activités humaines.

Ceci est d’autant plus intéressant que le consensus ne sera pas toujours la règle pour trouver un accord, la majorité qualifiée pourra s’y substituer.

Nous approuvons les autres piliers de l’accord qu’il s’agisse :

– Le renforcement des études d’impact environnemental

– Le partage des données génétiques extraites de l’océan pour limiter les prélèvements

– Le partage de technologie entre le Nord et le Sud

Nous voterons naturellement en faveur de ce traité et souhaitons sa ratification et donc son entrée en vigueur la plus rapide possible et comptons pour ce faire sur notre diplomatie.

Pour finir sur une note plus exigeante, au-delà ce de succès diplomatique incontestable, nous appelons le Gouvernement à passer aux actes. La France métropolitaine protège moins de 0,1% de ses eaux selon les critères scientifiques internationaux. Or, cette incapacité à suivre les recommandations scientifiques a des conséquences très concrètes : des méthodes de pêche destructrice ont lieu dans 86 % des aires maritimes européennes protégées.

La Grèce et la Suède ont annoncé l’interdiction du chalutage de fond toutes leurs aires marines protégées d’ici 2030. La France doit impérativement suivre cet exemple. Elle doit également interdire aux navires usines de venir ravager ses côtes, mettant sur la paille notre pêche artisanale. Elle doit préparer la transition écologique et sociale du secteur de la pêche.

Monsieur le Ministre, alors que le Gouvernement avait pris position en mai dernier contre le plus grand chalutier pélagique du monde, l’Annelies Ilena, 145 mètres de long, des ONG annoncent que vous seriez en train d’œuvrer pour que ce navire-usine monstrueux puisse finalement recevoir le quota de pêche français. Pourriez-vous rassurer la représentation nationale, nos pêcheurs et nos concitoyens attachés à la protection de biodiversité pour qui une telle décision est aussi incompréhensible qu’indéfendable ?

Enfin ce propos sur la défense de la biodiversité marine ne serait pas complet sans un mot pour l’un de ses plus grands défenseurs : nous vous demandons d’accorder l’asile politique et nationalité française à Paul Watson ! La place d’un défenseur des baleines n’est pas en prison.

Crédits photo : Capitaine Paul Watson, copyright : Giles Lane

Publié le 05.11.2024 à 13:50

Depuis des semaines, j’alerte le gouvernement sur les conséquences catastrophiques d’une fermeture de l’usine chimique Vencorex pour toute la filière et pour l’emploi dans le bassin grenoblois. Vous pouvez notamment retrouver sur mon site le courrier que j’ai envoyé au Premier ministre avec les députées Cyrielle Chatelain et Marie-Noëlle Battistel et le président de la métropole Grenoble Alpes le 1er octobre. Je l’ai de nouveau fait le 5 novembre dernier, en interpellant le gouvernement sur la préservation de notre souveraineté industrielle, qui exige le volontarisme de l’Etat, trop souvent attentiste !

Vous pouvez retrouver mon intervention en vidéo et sous format texte ci-dessous :

Madame la Ministre,

A Grenoble, tout un écosystème industriel pourrait disparaître si l’usine Vencorex n’est pas reprise. Fragilisée par la concurrence chinoise et placée en redressement judiciaire, cette entreprise est au cœur de la chimie locale. Avec sa voisine Arkema, elle produit du chlore, de l’eau oxygénée, des tolonates, un composant de peintures et vernis, et du perchlorate, un élément du carburant de la fusée Ariane. Avec le chlore, Framatome produit notamment des éponges de zirconium pour le gainage des réacteurs nucléaires. La fermeture de Vencorex aurait donc des conséquences en cascade catastrophiques.

Toujours en Isère, le fabricant de panneaux solaires Photowatt, essentiel pour la transition énergétique, est en train de mourir du dumping étranger, notamment chinois, comme GE Hydro il y a quelques années. En Savoie, une usine Ferroglobe produisant du silicium a fermé en 2022 et le site de Niche Fused Alumina, qui produit de l’alumine et du corindon blanc indispensables à des usages de pointe, a failli être liquidé.

A chaque fois, les plans sociaux s’enchaînent et un riche savoir-faire s’éteint. Depuis la pandémie, qui nous a rappelé combien la dépendance étrangère pose problème, le gouvernement ne cesse de parler de “souveraineté industrielle”. Mais les actes ne suivent pas : face à la mondialisation débridée, l’Etat reste trop souvent attentiste.

Salariés et élus locaux ne cessent de vous interpeller sur les conséquences de ces fermetures pour l’emploi, la balance commerciale et notre souveraineté. Quels moyens l’Etat se donne-t-il pour faire pression sur les grands groupes ? Seriez vous prêts à nationaliser temporairement Vencorex pour la sauver, comme cela a été fait avec succès pour les chantiers de l’Atlantique ?

Plus largement, pour stopper cette hémorragie, comment comptez-vous agir à l’échelle européenne pour mettre en place un véritable protectionnisme, avec des droits de douane, des quotas et des critères sociaux et environnementaux ?

Publié le 04.11.2024 à 14:21

Le 30 octobre, après plusieurs drames liés au trafic de drogues dans toute la France, j’ai interrogé le garde des sceaux sur l’action de l’Etat face à la violence qui se répand sur tout le territoire. Plutôt que de se défausser sur les maires, le ministère de l’intérieur leur doit de la transparence sur les effectifs de policiers nationaux, et une réponse globale, associant élus locaux, association, santé, prévention, justice et bien sûr sécurité doit être définie.

Vous pouvez retrouver ma question (et la réponse du ministre) ci-dessous :

Monsieur le Ministre,

Samedi dernier à Rennes, un enfant de 5 ans a été touché à la tête lors d’une fusillade. Quatre jours avant, un jeune de 15 ans était tué par balles dans le centre-ville de Grenoble. Début octobre, un corps calciné a été retrouvé à Marseille. 

Ces drames liés au trafic de drogues terrifient les habitants. Des petites communes aux métropoles, le trafic s’est généralisé, la violence qu’il génère aussi. 

Les habitants exigent la sécurité, ils y ont droit.

Si nous saluons l’action de la police pour protéger nos concitoyens et lutter contre le trafic, la stratégie actuelle est un échec. La commission d’enquête du Sénat rappelle que les opérations Place Nette, qui ont mobilisé 50.000 agents, ont des résultats plus faibles que les opérations de pilonnage habituelles. Pire, le ministre de l’Intérieur se défausse sur les communes et pointe du doigt les élus locaux sans apporter de solution concrète.

Les élus locaux en première ligne n’hésitent pourtant pas à prendre des décisions fortes : la maire d’Echirolles Amandine Demore a courageusement fait évacuer l’immeuble du Carrare, pour y démanteler un point de deal et mettre en sécurité les habitants. Cet exemple rappelle que la coordination avec les élus locaux, loin des polémiques stériles, donne des résultats.

Le ministre de l’Intérieur leur doit de la transparence sur le nombre de policiers nationaux déployés, comme le demande la maire de Rennes. 

A Grenoble, les postes supprimés par Sarkozy viennent d’être rétablis, mais il en faudrait 110 de plus. Dans le Rhône, il en manquerait 500 et la ville de Lyon doit saisir la CADA pour connaître les effectifs réels !

Monsieur le Ministre, écoutez les élus locaux ! France Urbaine et les maires ne cessent de vous alerter : il n’y a pas une, mais des réponses.

Au lieu de diviser, fédérez ! Au lieu de vous agiter, agissez !

Sécurité, justice, politique de la ville, prévention, santé et insertion ne s’opposent pas mais se complètent.

Allez-vous enfin aborder cette question dans sa globalité, être transparent sur votre action, donner des moyens aux collectivités et faire confiance aux acteurs de terrain ?

Crédits photo : EV via Unsplash

Publié le 21.10.2024 à 13:16

Réélu en septembre 2023, j’ai poursuivi ma mobilisation au Sénat comme en Isère sur de nombreux sujets. Voici mon bilan sur cette première année de nouveau mandat. J’y aborde notamment les questions agricoles et internationales, mon action sur le logement, les mobilités, la défense du service public, la montagne et la ruralité ou encore les questions régaliennes (sécurité, immigration).

Vous y trouverez aussi un retour sur les victoires écologistes remportées cette année au Sénat, les nombreuses commémorations organisées 80 ans après la Libération de nombreuses parties de la France, ou encore des photos de mes nombreux déplacements de terrain.

Enfin, j’y aborde aussi la situation politique actuelle dans mon édito et vous présente mon équipe renouvelée et mes engagements pour ce nouveau mandat.

Publié le 13.10.2024 à 14:52

Le 13 octobre 2024, j’étais l’invité de Dimanche en Politique sur France 3 Alpes, afin de revenir sur la riche actualité politique des dernières semaines. Démission du député Hugo Prévost et nouvelle élection législative en Isère, nomination du gouvernement Barnier, budget 2025 très austéritaire, avenir des stations de ski… Les sujets ne manquaient pas et l’échange fut très riche.

Vous pouvez le retrouver en replay sur le site de France 3.

Publié le 09.10.2024 à 15:23

Le 9 octobre dernier, le Sénat débattait d’une proposition de loi du groupe centriste visant à réduire le nombre de conseillers municipaux dans les petites communes. Si l’enjeu du quorum à atteindre dans les conseils et des démissions de plus en plus nombreuses est évidemment sérieux, il me semble que cette proposition de loi est une mauvaise solution à un vrai problème.

Plutôt que de prendre des décisions majeures à seulement quelques-uns, il nous faut au contraire avancer vers un véritable statut de l’élu et redonner des moyens d’action aux collectivités, afin de rendre les mandats municipaux plus attractifs. Nous avons d’ailleurs eu l’occasion de travailler en profondeur ce sujet, et d’obtenir des avancées importantes, bien qu’encore insuffisantes, il y a à peine quelques mois, comme je vous le racontais ici.

J’ai pris la parole durant le débat pour expliquer en détail ma position (voir la vidéo ci-dessous), en prenant l’exemple de communes de l’Isère devant statuer sur l’avenir de leur station de ski : imagine-t-on que prendre de telles décisions à seulement cinq personnes est une avancée démocratique ? Finalement, la proposition de loi a été rejetée par le Sénat.

Publié le 09.10.2024 à 10:54

Déficitaire depuis plusieurs années, la station de ski de l’Alpe du Grand Serre, en Isère, ne rouvrira pas ses portes pour la saison hivernale. Face au réchauffement climatique, ces difficultés rencontrées par les stations de moyenne montagne pourraient être surmontées, avec de l’anticipation et un meilleur appui de l’État. J’ai été interrogé par Public Sénat à ce sujet.

Vous pouvez retrouver mon interview ici.

END

🦉 Une chouette asso nous aurait échappé ? Signalez-la ici merci !
 ‣ Vos suggestions

AMAPS
Accueil Demandeurs d'asile
ADTC
Alternatiba
Aide et Action en Isère
Amis du Monde Diplo
Antigone
BAF (la)
Bobine (la)
Camp de base
Centre Social Tchoukar
Collectif Stop Métrocâble
Collectif STopMicro 38
Collectif Transports Gratuits
Droit au Logement
FNE - Isère
Fratrie des Glaneurs Solidaires
Labo Ouvert Grenoblois
Maison de la Nature et de l'Environnement
Observatoire International pour la Réinstallation des Cabines Téléphoniques
Office de l'Anti-tourisme
Pacifique (Le)
Parlons-y-vélo
Pluri-elles
Réseau Éducation Sans Frontières
Salle 5
Terre de liens
Unions de Quartiers
Un ptit Vélo dans la Tête
Un Toit Pour Tous
Verger Aventure
ZeroWaste
102 (Le)
 

 Publications

Affiches (les)
Bon Plan (le)
Collectif Ruptures
CRIC
Crieur de la Villeneuve (le)
Pièces & Main d'oeuvre
Postillon (le)
Sillon 38
Travailleur Alpin (le)
 

 Syndicats

Confédération Paysanne
CGT ST Microelectronics
UD CGT Isère
UD CFDT Isère
FSU 38
SOLIDAIRES
LDC - Éducation
 

  Scops · ess · scic

Turbine.Coop (La)
Atelier Paysan
Cap Berriat
Conservatoire des Espaces Naturels
Gresi21 - Centrales Villageoises
Pain des Cairns (Le)
Rhône-Alpes Solidaires
 

 Politiques

Ades
Ensemble-Grenoble
Guillaume Gontard
Élu.e.s isérois.e.s
Les Ecologistes de la métropole de Grenoble
 

 Autres

DREAL
INSEE
INRIA
UGA
 
‣ Sources fermées ou en sommeil