Aveuglés par notre vanité, nous ne comprenons pas qu’en corrigeant l’intelligence artificielle, cette dernière finit une formation express qui lui permettra de nous aplatir, décrit notre chroniqueur François Reynaert.

L’équipe de France de football affrontait l’Ukraine, jeudi soir, dix ans jour pour jour après les attentats du 13 novembre 2015 qui avaient commencé au Stade de France. Les supporters présents n’ont pas pu cacher leur émotion après une journée de commémoration.

Octobre rose, Movember, Mars bleu, Juin vert… l’année est jalonnée de messages de communication visant à rappeler l’importance du dépistage des cancers. S’ils permettent de sensibiliser et de récolter des fonds pour la recherche, ils ne suffisent pas encore à augmenter le taux de participation à la détection systématique.

Pour avoir représenté 25 victimes qui se trouvaient au Bataclan lors des attentats de 2015, Thomas Ricard a reçu l’une des plus prestigieuses distinctions britanniques.

Destinée aux ménages modestes, la voiture électrique « à 100 euros par mois » rencontre un succès inattendu. Certains experts veulent aller plus loin et imaginent un « parc social automobile ».

Dix ans après les attentats du 13-Novembre, qui ont fait 132 morts et plus de 350 blessés, une journée de commémorations et d’hommages aux victimes est organisée à Paris et à Saint-Denis.

Le souhait de Salah Abdeslam, seul survivant des commandos du 13 novembre 2015, de s’engager dans une démarche de dialogue avec des victimes pose de lourdes questions en matière de légalité, d’opportunité et de philosophie pénale. Une réflexion est engagée au parquet antiterroriste.

Parmi les nombreuses personnes rassemblées place de la République ce jeudi pour rendre hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015, beaucoup de jeunes sont venus se recueillir.

La requérante, une femme née en 1981, a dû avorter aux Pays-Bas en 2020 en raison de « l’incertitude » régnant à l’époque dans la législation. Elle était enceinte d’un fœtus atteint de trisomie.