Observatoire International pour la Réinstallation des Cabines Téléphoniques
Fondé au printemps 2021, l’OIRCT s’active pour la réinstallation de cabines téléphoniques publiques, à Grenoble et partout dans le monde.Publié le 10.04.2024 à 19:04
LE NOUVEAU PROJET DE COMMOWN ET TELECOOP
https://www.arte.tv/fr/videos/120997-004-A/le-telephone-re-sonne
L’article Le retour des cabines téléphoniques en France est apparu en premier sur OIRCT.
Publié le 21.06.2022 à 22:21
LE NOUVEAU PROJET DE COMMOWN ET TELECOOP
LE RETOUR DES CABINES TÉLÉPHONIQUES EN FRANCE !
TeleCoop et Commown s’associent pour promouvoir le retour des cabines téléphoniques en France !
Grâce à cette campagne, il s’apprêtent à installer une première cabine téléphonique à Strasbourg. Ce service de communication lowtech devrait être un service public. Par cette première installation, ils souhaitent requestionner la façon dont nous pourrions rendre le numérique et la communication accessible dans l’espace public.
Ainsi, ils cherchent à s’opposer au récit actuel de la surabondance, du toujours plus vite et du toujours plus connecté. Au contraire, il cherchent à développer l’idée suivant laquelle le numérique peut être un bien partagé et sobre.
La cabine en est un symbole, le symbole d’un temps où notre attention n’était pas autant accaparée par les écrans de nos smartphones.
On avait remis ça en 2023 !
On avait remis ça en 2023. Les cabines grenobloises étaient au 2ème tour du budget participatif de la ville de Grenoble cuvée 2023. Hélas non retenues au dernier round.
Une deuxième cabine installée par l’OIRCT avait vu le jour en juin 2022 grâce au collectif de la CATA, traverse des îles à Grenoble, merci à elles·eux.
La cabine était directement reliée à leur box, dans leurs locaux.
Mais faute de dépassement de forfait, elle est hélas pour le moment à l’arrêt, tout comme celle du parc Marliave…
Mais les cabines n’ont pas dit leur dernier allô.
https://www.grenoble.fr/projet/852/2796-reinstallation-de-10-cabines-telephoniques.htm
https://www.lagazettedescommunes.com/890825/les-budgets-participatifs-gagnent-du-terrain/
On lâche rien pour la suite et nous avons besoin de vous toujours hyper déter.
Alors si vous résidez à Grenoble, n’hésitez pas à soutenir le retour du service public dans l’espace public avec notre projet de réinstallation de 10 cabines téléphoniques gratuites devant les 10 MDH grenobloises ! Vous avez jusqu’au 18 septembre 2023.
Et allô quoi, venez nous rencontrer au forum des Associations le samedi 9 septembre 2023 de 10h à 18h.
https://www.grenoble.fr/3006-8eme-edition-votez-pour-vos-projets-preferes.htm
Réinstaller les cabines téléphoniques, c’est défendre le droit de pouvoir vivre sans téléphone portable et sans être pisté, calculé, évalué. C’est aussi une nécessité écologique et sociale.
Remettons du service public dans l’espace public !
Voter cabines téléphonique c’est voter service public mais pas que
Voici donc ci-dessous l’emplacement des cabines de l’OIRCT (et bientôt, ça ressemblera à ça)
L’article Le retour des cabines téléphoniques en France est apparu en premier sur OIRCT.
Publié le 05.05.2022 à 23:09
Devant le succès et l’engouement national (et international) que suscite la réinstallation de notre première cabine téléphonique, on a cru bon de collecter les différents articles, émissions de radio et de télévision sur cette page. Peut-être que comme nous, la diversité de ces médias ne vous laissera pas indifférent·e.
Socialter, juin-juillet 2024
https://www.socialter.fr/kiosque
La Gazette des communes, le 18/10/23
https://www.lagazettedescommunes.com/890825/les-budgets-participatifs-gagnent-du-terrain/
L’Essor Isère, le 28/03/23
New’s FM, le 26/02/2023
RTS Radio Télévision Suisse, le 21/01/2023
https://www.rts.ch/audio-podcast/2023/audio/le-dernier-mot-de-la-cabine-25894609.html
OIRCT : 36mn16
La Presse.ca, le 06/01/2023
Basta!, le 03/11/2022
Le Postillon, automne 2022
Toute la culture, le 10/09/2022
« Rappelons tout de même que la disparition des cabines téléphoniques est aussi un enjeu de société. Leur absence creuse la fracture numérique et annonce définitivement l’obligation du téléphone portable pour pouvoir communiquer en dehors de chez soi. À Grenoble, l’Observatoire international pour la réinstallation des cabines téléphoniques (OIRCT) milite pour leur réintégration dans les villes. Le collectif a déjà procédé à des installations « sauvages » dans la ville de Grenoble… »
https://toutelaculture.com/actu/la-seconde-vie-des-cabines-telephoniques/
Nexus, le 01/09/2022
Liberté Numérique, le 23/06/2022
The epoch times, le 10/06/2022
Chérie FM, le 09/06/2022
Demotivateur, le 09/06/2022
Franceinfo, le 08/06/2022
Le Média, le 07/06/2022
Radio Isa, le 07/06/2022
Radio Scoop, le 02/06/2022
Radio Grésivaudan, le 31/05/2022
L’Essor Isère, le 20/05/2022
https://www.lessor38.fr/grenoble-ils-militent-pour-le-retour-des-telephones-publics-108217.html
La relève et la peste, le 19/05/2022
France 3, le 11/05/2022
Europe 1, le 05/05/2022
PositivR, le 05/05/2022
https://positivr.fr/grenoble-ressuscite-les-cabines-telephoniques/
Geo, le 05/05/2022
Générations Nouvelles, le 05/05/2022
https://generationsnouvelles.net/grenoble-pourquoi-les-cabines-telephoniques-reviennent-elles/
Ouest France, le 04/05/2022
Alpes 1, le 29/04/2022
ActuGrenoble, le 28/04/2022
Cnews, le 07/04/2022 (et ouais !)
Reporterre, le 29/03/2022
https://reporterre.net/A-Grenoble-le-retour-theatral-des-cabines-telephoniques
RMC, le 28/03/2022
Place Gre’net, le 28/03/2022
Le Parisien, le 27/03/2022
Jours après jours, le 23/03/2022
New’s FM, le 26/01/2022
L’age de faire, 03/11/2021
Place Gre’net, le 25/10/2021
Le Dauphiné Libéré, le 23/10/2021
Le Dauphiné Libéré, le 22/10/2021
L’article Revue de presse de l’OIRCT est apparu en premier sur OIRCT.
Publié le 29.03.2022 à 00:01
Un collectif grenoblois milite pour réintroduire les cabines téléphoniques
Par Thomas Pueyo
Le 27 mars 2022 à 10h08
Un collectif basé à Grenoble, qui dit «stop à la numérisation de nos vies», a symboliquement réinstallé une cabine téléphonique dans un parc.
« Tu ne devineras jamais d’où je t’appelle ! » Dans le parc Marliave, à Grenoble (Isère), Paul passe un coup de fil à une amie grâce à… une cabine téléphonique. Elle est faite en bois, bricolée, mais fonctionne parfaitement. « Ça me replonge dans mes années lycée », sourit le quinquagénaire, combiné à l’ancienne vissé sur l’oreille. Son inauguration a eu lieu en grande pompe devant une cinquantaine de curieux, ce vendredi 25 mars, sous l’impulsion de l’Observatoire international pour la réinstallation des cabines téléphoniques (OIRCT).
« Une première mondiale », affirme, non sans humour, le collectif imaginé par le journal satirique local Le Postillon. Il réclame la réinstallation de 22 cabines à Grenoble, qui en comptait 400 avant l’avènement du portable. « C’est à la fois une blague et très sérieux », confie Vincent Peyret, l’un de ses fondateurs.
« On n’est ni nostalgique ni pour le retour du minitel. La cabine téléphonique est un symbole pour dire stop à la numérisation de nos vies, revendiquer un droit à vivre sans smartphone, sans fil à la patte. Le message est d’autant plus fort à Grenoble, présenté comme la Silicon Valley française. Le tout numérique laisse aussi beaucoup de monde sur le bord de la route, complique l’accès aux services publics ou à des aides. »
Des enfants tournent autour d’une cabine bariolée éphémère : « C’est quoi ce truc ? Pourquoi on s’enfermait pour téléphoner avant ? » s’interrogent-ils. Un peu plus loin se trouve la cabine qui se veut pérenne, avec un panneau « Téléphone public ». Le coup de fil est gratuit. Fleur, 7 ans, teste l’appareil et joint sa maman, lui raconte où elle est. « C’est la première fois que j’utilise une cabine ! C’est pratique, on peut appeler dans la rue sans portable… », sourit la fillette grenobloise.
Première réinstallation de cabine !
Le 25 mars, un évènement unique s'est déroulé sur Grenoble. Une réinstallation d'une cabine téléphonique opérationnelle et gratuite a vu le jour dans le parc Marliave de Grenoble. Voici des extraits d'articles parus dans Reporterre et Place Gre'net qui relatent l'évènement.
À Grenoble, le retour théâtral des cabines téléphoniques
À Grenoble, un collectif a inauguré une nouvelle cabine téléphonique publique. Il s’agit d’« une première mondiale ». Un geste pour rire, mais aussi pour interroger la place que prennent les téléphones portables dans notre société.
29 mars 2022 à 09h37
Mis à jour le 31 mars 2022 à 09h49
« Vous pouvez maintenant dire adieu à vos téléphones portables ! Vous n’en avez plus besoin. » Invitation accueillie par un éclat de rire général. Vendredi 25 mars, dans un parc de Grenoble, était inaugurée une nouvelle cabine téléphonique publique. « Une première mondiale », d’après l’OIRCT — comprendre l’Observatoire international pour la réinstallation des cabines téléphoniques.
Le rassemblement d’une cinquantaine de personnes tenait plus de la blague de potache que de l’événement officiel. Bien que précédé d’un discours prononcé au nom de la région Auvergne-Rhône-Alpes « qui a débloqué une subvention exceptionnelle de 74 euros », selon un hypothétique vice-président à la réinstallation des cabines téléphoniques, qui a demandé à son auditoire d’excuser « Laurent Wauquiez [qui] n’a pu se déplacer ».
« L’OIRCT est — pour l’instant — un collectif, qui compte une centaine d’adhérents et une dizaine de membres actifs », détaille Vincent Peyret. Ce dernier est le directeur de publication du Postillon, journal satirique local, qui a lancé en février 2021 un « cri de la cabine ». L’équipe rédactionnelle se retrouve d’ailleurs en partie au sein de l’OIRCT. « Mais le collectif va au-delà avec des personnes qui ne font pas partie de la rédaction », ajoute le journaliste.
Le téléphone n’a pas non plus tout à fait un aspect officiel : il est posé sur une tablette de bois contre les toilettes sèches du parc et protégé par une boite en plexiglas recouverte d’une plaque bleue sur laquelle on peut lire : « Ici la Région Auvergne-Rhône-Alpes investit pour les cabines ». Il est néanmoins bel et bien fonctionnel, comme l’ont attesté les premiers utilisateurs.
« Il marche en fait sur batterie et avec une carte SIM prépayée, une solution technique qui ne nous convient pas vraiment », concède Vincent Peyret. « Mais c’est un prétexte. […] Nous revendiquons le droit de vivre sans téléphone portable. » Car si l’événement tend à faire sourire, il veut aussi donner à réfléchir : « Les cabines téléphoniques sont à l’image du service public », complète Alice, autre membre du collectif. « La cabine est à l’opposé des téléphones portables et de l’individualisation de notre société. Et un coup de fil passé d’une cabine ne peut pas être tracé. Nous voulons avoir la liberté de ne pas être pistés, numérisés, flashcodé ou QRcodisés. » Une lutte « indispensable autant que dérisoire », revendique le manifeste de l’OIRCT.
Ce n’est pas le premier événement de ce collectif. Peu après sa fondation, un « concert de téléphone » avait été organisé le 30 avril 2021 à proximité de la dernière cabine existante de l’agglomération. Le 22 octobre, une cabine téléphonique mobile avait été déplacée sur plusieurs places de la ville. Depuis, un site internet a été créé avec la vocation de devenir « un site ressource » qui recense l’actualité des cabines téléphoniques : « En Australie, par exemple, il y a 15 000 cabines publiques et elles sont désormais gratuites. Preuve qu’elles ont encore un rôle à jouer. » dit Vincent Peyret. « On a aussi recensé 400 endroits dans l’agglomération où étaient situées d’anciennes cabines. On donne des pochoirs aux personnes qui veulent les matérialiser. »
Mais le public du jour était surtout incité à aller voter le lendemain : un projet d’installation de 22 cabines était en lice dans le budget participatif de la ville. Un appel visiblement bien reçu puisque le projet a été retenu parmi les 32 présélectionnés suite à la délibération. Avant cela, les futurs électeurs étaient invités à prendre un verre… un peu plus loin. Le parc ayant été fermé quelques minutes auparavant par la police municipale, les militants ont su une nouvelle fois faire face à l’adversité.
« Remontada » des cabines téléphoniques : une première installation pérenne inaugurée dans le parc Marliave de Grenoble
28/03/2022
placegrenet.fr
Par Joël Kermabon
Le collectif Observatoire international pour la réinstallation des cabines téléphoniques (OIRCT) a inauguré le retour d’une première cabine publique ce vendredi 25 mars 2022, parc Marliave à Grenoble. Le premier jalon d’une « remontada » impulsée par le collectif qui espère pouvoir en installer d’autres, rappelant qu’il en existait 420 à Grenoble avant leur disparition du paysage urbain.
« C’est une première mondiale puisque nulle part ailleurs des cabines téléphoniques ont été réinstallées. À Grenoble ou ailleurs, il y en aura de plus en plus », a assuré Vincent Peyret, le rédacteur en chef du journal satirique Le Postillon. L’Observatoire international pour la réinstallation des cabines téléphoniques (OIRCT) inaugurait en effet symboliquement, ce vendredi 25 mars 2022 à 18 heures, le retour d’une première cabine publique « pérenne », parc Marliave, au cœur du quartier Berriat à Grenoble.
Il s’agit là de la suite concrète de la démarche impulsée par le collectif depuis le printemps 2021, en réaction « à la numérisation de nos vies », après la disparition progressive des cabines téléphoniques en France. Notamment, le 30 avril 2021, avec un concert de téléphones devant la dernière cabine existante à Grenoble, celle du fort du Rabot sur les pentes de la Bastille.
Réinstallation d’une cabine téléphonique à Grenoble ce vendredi 25 mars 2022 : une « première mondiale »
23/03/2022
Par Joël Kermabon
Place GRE’NET
FLASH INFO – L’OIRCT1 annonce la réinstallation d’une cabine téléphonique publique ce 25 mars 2022, au cœur du quartier Berriat à Grenoble. Une « première mondiale », explique l’observatoire, après des années d’éradication progressive de ces cabines dont le téléphone portable a signé l’arrêt de mort.
« Allo, allo, allo ? » C’est par cette interjection réflexe utilisée au décroché de nos téléphones que l’Observatoire international pour la réinstallation des cabines téléphoniques (OIRCT) a introduit l’annonce, ce 22 mars 2022, d’une « première mondiale » – excusez du peu – à Grenoble. En l’occurrence, le retour d’une première cabine téléphonique « pérenne » ce vendredi 25 mars à partir de 18 heures, dans le parc Marliave, mitoyen de la rue Max-Dormoy, quartier Berriat.
Ce alors que ces cabines, encore au nombre de 300 000 en France en 1997, ont progressivement disparu de nos paysages urbains depuis 2018. Et que « le nombre de spécimens fonctionnels dans toute la France se compte sur les doigts d’une main », indique l’OIRCT.
L’Observatoire, fondé au printemps 2021 avait déjà installé une cabine téléphonique éphémère, mobile et fonctionnelle en différents lieux de la capitale des Alpes, le 22 octobre 2021. Vincent Peyret, rédacteur en chef du journal satirique grenoblois Le Postillon et membre de l’observatoire, l’avait alors testée. Et avait auguré avec enthousiasme une prochaine « remontada des cabines téléphoniques » pour « inverser la tendance ».
Le mouvement est donc amorcé, avec un tout premier exemplaire qui sera « utilisable gratuitement par tout le monde les jours suivants », assure l’OIRCT. Sans préciser toutefois de quelle manière ladite cabine sera reliée au réseau téléphonique2.
« Quand les cabines refleuriront (de) partout dans les rues, vous pourrez dire : “j’y étais” »
Si loufoque que puisse paraître l’idée, elle n’est pourtant que la suite logique « d’un combat pour la liberté », avait revendiqué Vincent Peyret. Celle de ne pas posséder de téléphone portable afin de ne pas « être pisté, tracé, calculé, évalué, “flashcodé”, “QR-codisé” ». Des téléphone portables – pour la plupart des smartphones chronophages – devenus quasi incontournables dans notre société de consommation, avec pour seule perspective la « numérisation générale » pour réaliser « quantité d’activités anodines de la vie quotidienne ».
Pour l’OIRCT, la cause est entendue : « Cet événement fera date dans l’histoire des télécommunications émancipatrices », anticipe-t-il. Avant de promettre que « dans quelques années, quand les cabines refleuriront (de) partout dans les rues, vous pourrez dire : « j’y étais ». »
L’article Quelques articles sur l’évènement du 25 mars est apparu en premier sur OIRCT.
Publié le 14.03.2022 à 06:42
Les cabines grenobloises ne battent pas en retraite et seront au 2ème tour
On lâche rien pour la suite et nous aurons besoin de vous toujours hyper déter.
Les cabines n’ont pas dit leur dernier allô.
Réinstaller les cabines téléphoniques, c’est défendre le droit de pouvoir vivre sans téléphone portable et sans être pisté, calculé, évalué. C’est aussi une nécessité écologique et sociale.
Remettons du service public dans l’espace public !
Voter cabines téléphonique c’est voter service public mais pas que
https://www.grenoble.fr/projet/852/2796-reinstallation-de-10-cabines-telephoniques.htm
Grâce à vous nous sommes 6ème et la remontada se poursuit !
Le 26 mars 2022 voter pour les cabines téléphoniques c’était voter service public (mais pas que)
Les citoyen·ne·s ont de moins en moins le choix de refuser la numérisation et, pour celles et ceux n’ayant pas de téléphone portable intelligent (smartphone), avec le développement de la 5G et des nouvelles technologies, il devient de plus en plus compliqué de participer au dynamisme de la cité : impossibilité à bénéficier de services administratifs, exclusion de la vie locale, et par dessus tout, difficultés à joindre des proches voire les services de secours en dehors de leur domicile.
Fort·e·s de ce constat, nous souhaitons installer 22 cabines téléphoniques à pièces ou gratuites, avec une attention toute particulière à l’inclusion des quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) dans le projet.
Ce projet, que nous souhaitons co-construit avec les habitant·e·s des quartiers où les cabines seront implantées, permettra de tisser du lien social, de donner accès à la communication pour les plus précaires, et constituera un signe fort de la prise en compte par la Ville de Grenoble de l’impact écologique de la généralisation des nouvelles technologies.
https://www.grenoble.fr/projet/701/2590-installation-de-22-cabines-telephoniques.htm
Ci-dessous, un article publié par le Dauphiné libéré relatant le résultat du vote de présélection des idées https://www.ledauphine.com/societe/2022/03/26/isere-budget-participatif-de-grenoble-les-citoyens-ont-preselectionne-leurs-32-idees-preferees
Budget participatif de Grenoble : les citoyens ont présélectionné leurs 32 idées préférées
samedi 26 mars 2022, la deuxième étape du budget participatif de Grenoble était lancée : après l’appel à projet de l’été dernier, les habitants de plus de 16 ans, quelle que soit leur commune de résidence, ont présélectionné leurs idées préférées, présentées plus tôt ce samedi lors du forum des idées à l’hôtel de ville.
« Aujourd’hui, il y a eu 1 000 votants pour présélectionner les 32 projets qui seront soumis au vote du budget participatif de Grenoble », a déclaré Annabelle Bretton, adjointe à l’Éducation populaire, à la jeunesse et à la démocratie ouverte, lors de la remise des prix, sur la scène du Palais des Sports.
La prochaine étape aura lieu du 27 juin au 5 septembre prochain. Dès lors, ce sera au tour des Grenoblois de décider quelles initiatives verront le jour dans la capitale des Alpes, grâce à une enveloppe mise à disposition par la Ville de Grenoble de 800 000 €. Pour le moment, diverses sont celles en lice.
Aménagement de l’espace public, solidarité, patrimoine, sport… Voici les idées qui participeront au vote final : le Parcours découverte ludique du patrimoine de la Villeneuve, la Zone test “Ruelles Douce”, la Pause bien-être et fraîcheur : mobilier urbain rafraîchissant, Pédaler pour s’éclairer, le Parc agility pour chien, C’est quoi dans l’air, le Parc d’activité pour chien et aménagement parc, Valoriser les rues de Grenoble, Esthétique de l’eau sous les ombrages du Jardin de Ville, Surveillance de la pollution électromagnétique, la Signalisation des ganteries grenobloises, D’où viennent nos fruits et légumes ?, Ici, avant, un Espace de liberté pour les chiens, la Coulée verte piétonne de Rivet au parc Flaubert, l’École vraiment pour tous, Pollution on va te fumer !, une Piste inclusive : la piste aux étoiles, Envie d’une pause face au Néron ?, Faire la coulée verte entre Paul Mistral et le Musée, Lutte contre le bruit, droit au calme, le Sport pour tous, Rafraîchir Grenoble, une Coulée verte au niveau du quartier Hoche, des Places à l’ombre des arbres, la Réinstallation de 22 cabines téléphoniques, la Remise en eau des fontaines patrimoniales de Grenoble, le Pumptrack pour toutes et tous, une mini-rampe de skate dans le parc Flaubert, le Skatepark Jean Macé : rénovation moderne et haie fruitière, et le premier projet qui conquit le coeur des votants : Piétonniser les quais de l’Isère.
D’autres à venir ?
Villeurbanne :
https://participez.villeurbanne.fr/processes/budgetparticipatif2022/f/72/proposals/1095
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