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Les JNE ont appris avec tristesse le décès le 6 mai dernier du physicien nucléaire Raymond Sené, co-fondateur du GSIEN (Groupement de scientifiques pour l’information sur l’énergie nucléaire), et animateur depuis près de 50 ans de la Gazette nucléaire, formidable et méconnue source documentaire sur l’industrie atomique.
par Laurent Samuel
Homme discret, chaleureux et doté d’un solide sens de l’humour, Raymond, quant à lui, reste trop souvent dans l’ombre. Mais il est toujours prêt à répondre aux demandes des journalistes, comme quand il accepta au pied levé de participer à un débat sur les conséquences de Tchernobyl dans,les locaux du magazine Ça m’intéresse (où votre serviteur travaillait alors) qu’un journaliste pronucléaire laissé sans surveillance avait concocté avec comme seuls participants… EDF et le CEA. Invité de la dernière heure, Raymond avait débattu ce jour là d’une manière à la fois ferme et courtoise notamment avec François Cogné, directeur de l’Institut de protection et de sûreté nucléaire (IPSN), alors rattaché au CEA.
Dès le 7 mai, Raymond Sené, âgé de 27 ans et appelé au contingent dans le cadre de la guerre d’Algérie, est arrivé sur place pour participer à des prélèvements et à des mesures de radioactivité. Il y est resté six mois, à opérer sans protection.
« De cette expérience, j’ai gardé une profonde aversion pour la chose militaire », raconta-t-il dans Les Irradiés du Béryl, du chimiste et témoin de l’accident Louis Bulidon. « Il a eu jusqu’au bout cette volonté d’informer sur cette expérience du Hoggar », rapporte ce dernier.
« S’il n’y avait pas eu Raymond pour dépouiller les documents secret-défense, jamais je n’aurais réussi à faire indemniser des malades du Sahara », salue pour sa part Jean-Luc Sans, ancien président de l’Association des vétérans des essais nucléaires (Aven) — dont Raymond Sené était membre du conseil d’administration. Le nombre d’Algériens et notamment de Touaregs contaminés reste inconnu à ce jour.
On notera que le parti Les Ecologistes-Europe Ecologie-les Verts n’a pas daigné rendre hommage sur son site à l’action de Raymond Sené, contrairement à LFI, Sortir du nucléaire ou encore l’Association française des malades de la thyroïde.
Les JNE adressent leurs condoléances à Monique Sené, à toute la famille et aux proches de Raymond.
Photo : Raymond Sené © DR
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par Fabrice Nicolino
Amis et collègues journalistes, l’eau est en train de nous quitter. Elle est sous nos yeux remplacée par un produit industriel parmi d’autres. J’ai bien conscience que des mots pareils ont du mal à être compris, mais j’insiste, car la suite repose sur nous. La société entière doit être alertée de ce qui se passe. Tel est le sujet de mon livre C’est l’eau qu’on assassine (*).
Le point de départ est certain : nous sommes de l’eau. Vous comme moi. Le cerveau d’un adulte en contient à peu près 80 %. Et un minuscule embryon humain, 97 %. C’est bien parce que nous sommes de l’eau qu’il faut, cette fois pour de vrai, nous lever. Loin de moi l’idée d’embellir ce qui fut. La vie des hommes a toujours été incertaine, difficile, parfois impossible.
Mais nous sommes les contemporains d’une crise de la vie sans nul précédent. Et dans ce chaudron du diable, il faut ajouter l’eau. Qui est la victime d’un phénomène foudroyant : l’irruption de la chimie de synthèse. Pour simplifier, cette synthèse consiste à assembler par réactions chimiques des atomes, qui forment des agrégats. Des molécules.
Pendant tout le XIXe siècle, des chimistes ont ainsi créé des chimères sans savoir le plus souvent à quoi elles pourraient servir. L’exemple du DDT est bien connu. Il est synthétisé en 1874, puis oublié avant d’être étudié par le chimiste suisse Paul Muller en 1939. Et tout change, car Muller découvre ses propriétés insecticides. On connaît la suite.
La si vaste famille des plastiques est née au début du vingtième siècle, mais à partir des années trente, les inventions se multiplient. On estime que le monde produisait autour de 1 million de tonnes de plastiques chaque année. Et à peu près 550 millions de tonnes aujourd’hui. Une multiplication par 550.
L’explosion a gagné tous les domaines. Les cosmétiques, les médicaments, les pesticides bien sûr, et une infinité d’autres constructions chimiques, dont ces PFAS qu’on appelle des polluants éternels. Est-ce contrôlable ? Non, évidemment. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) avance le nombre extravagant de 160 millions de composés chimiques différents. Seule une petite fraction est commercialisée, mais tous, a priori, pourraient l’être un jour.
Ce que cela veut dire ? Une chose simple : l’industrie chimique a échappé au contrôle des humains, et aucun pouvoir politique n’entend reprendre la main sur elle. Pour l’eau, c’est une pleine catastrophe. Tous les compartiments sont touchés. L’eau des rivières et des fleuves, les lacs, les nappes phréatiques jadis protégées, l’eau de pluie, l’eau du littoral, et sans surprise, l’eau du robinet.
On ne cherche que ce que l’on trouve, et comme on ne cherche (presque) pas, on se rassure à bon compte. Mais lorsqu’on regarde de plus près, mazette, que de tristes résultats ! Une équipe du CNRS de Toulouse vient de montrer qu’un litre d’eau du robinet de la ville pouvait contenir plus de 1100 microplastiques. Invisibles, car de taille nanométrique. Les systèmes existants sont incapables de détecter 98 % de ces résidus. À cette taille, ils passent sans difficulté la barrière des cellules, et une part inconnue finit dans nos…cerveaux.
J’ai pu échanger librement avec des responsables de régies de distribution de l’eau et des hauts fonctionnaires. Librement, c’est-à-dire en off. Ils savent que c’est l’impasse. Ils savent qu’il n’y a plus de solution dans le système en place. Attendez ! je vais expliquer. En préambule, on a tous vu que notre gouvernement, jusqu’à l’Élysée, organisait la vente illégale de l’eau Nestlé, présentée frauduleusement comme « minérale naturelle ». Pourquoi ? Mais c’est évident : les nappes où l’industrie puise son eau sont gravement polluées. Par des bactéries, comme Escherichia coli, mais aussi par de nombreuses molécules, dont certaines très dangereuses. D’où l’usage de filtres strictement interdits par la loi.
Mais ce n’est pas le problème principal. Dingue, non ? Je résume. En 2022, l’Agence de sécurité sanitaire (ANSES) considère que le métabolite R471811 est un danger. L’Autorité européenne, l’EFFSA, le tient pour cancérogène. Qu’est-ce qu’un métabolite ? Un produit de dégradation, en l’occurrence du pesticide chlorothalonil. Donc, gaffe.
Mais l’année suivante – 2023, cette même ANSES livre les résultats de 136 000 prélèvements d’eau du robinet, partout en France. On trouve du R471811 dans la moitié des prélèvements, et dans un tiers des échantillons, sa concentration dépasse largement la limite officielle de 0,1 microgramme par litre.
Que faire ? Peut-on arrêter de distribuer de l’eau potable ? Bien sûr que non. Alors commence une manœuvre indigne. Sur pression de grandes régies publiques de distribution de l’eau – elles sont aux abois, l’ANSES va se déjuger. Le 29 avril 2024, elle publie un avis qui infirme celui de 2022. Il devient, selon le jargon de l’Agence, « non pertinent ». Ce qui veut dire que sa concentration légale passe à 0,9 microgramme par litre. Une multiplication par 9. Il n’y a plus de problème, car on a cassé le thermomètre. Le désastre peut continuer.
Ce que je crois, c’est que plus la situation générale se dégrade, plus l’on cherche les moyens d’un déni collectif. Il me semble que le rôle des journalistes est de se mettre en travers cette vaste régression.
(*) Editions Les Liens qui libèrent, 19 euros.
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lsamuel
En Algérie, le mois de mai, « antichambre » de l’été sur le calendrier, a présenté cette année, en 2025, des jours qui ressemblent plutôt à l’automne : temps gris, pluvieux et frais, comme si nous étions à la veille, non pas des vacances, mais de la rentrée.
par M’hamed Rebah
Pour les 14 et 15 mai, le Bulletin météorologique spécial (BMS) émis par l’Office national de la météorologie (ONM) a annoncé des pluies, parfois sous forme d’averses orageuses et accompagnées de chutes de grêle, avec des rafales de vent sous orages, sur plusieurs wilayas du pays. En certains endroits, les inondations ont fait des victimes et des dégâts, selon les communiqués de la Protection civile. Les vidéos ont montré des images spectaculaires, déjà vues en d’autres circonstances, de flots d’eaux tumultueuses et boueuses, emportant des véhicules sur leur passage. Les mesures de prévention ont permis de limiter les effets des intempéries.
En avril, il y a eu des chutes de neige sur les reliefs dépassant les 1300 mètres entraînant une vague de froid inhabituelle. Le même mois, quelques jours avant, l’ONM avait émis une alerte concernant une hausse, exceptionnelle pour avril, jusqu’à 37° C, des températures prévue dans plusieurs régions du centre et de l’ouest de l’Algérie. A la fin du mois précédent, mars, l’ONM avait publié plusieurs Bulletins météo spéciaux (BMS) alertant sur des chutes de neige sur des wilayas du nord et de l’est de l’Algérie.
Le changement climatique entre dans le quotidien des Algériens. Pour beaucoup, qui confondent encore couche d’ozone et effet de serre, l’impact perçu ne concerne pas les écosystèmes, les ressources en eau, la sécurité alimentaire ou la santé, mais ce qui les touche directement : les modifications climatiques. Ils doivent, en plein mois de mai, mettre les vêtements d’hiver et prendre le parapluie, pour aller acheter des fruits de saison, fraises, pêches ou abricots, ou même la pastèque récoltée quelques jours avant.
Les experts qui travaillent sur le changement climatique en Algérie ont depuis longtemps averti qu’il faut s’attendre à l’accentuation des phénomènes météorologiques extrêmes, comme les inondations, avec le risque qu’elles atteignent le niveau de violence enregistré à Bab El Oued (novembre 2001) qui reste la référence en la matière. Leurs prédictions ont été validées par les crues qui ont fait déborder les eaux des oueds traversant les villes et qui ont causé des dégâts matériels et des pertes humaines.
Ce qui est nouveau et se confirme, ce sont les fortes précipitations « hors-saison », c’est-à-dire au printemps et en été. Depuis quelques années, les pluies arrivent souvent au moment où elles ne sont pas attendues et encore moins souhaitées. Elles peuvent momentanément gâcher les vacances des estivants, mais pour les agriculteurs, c’est le produit de toute une année d’efforts qui risque d’être perdu, qu’il s’agisse de céréales ou de fruits. Confrontés fréquemment à cette situation, les agriculteurs ont été parmi les premiers à saisir le changement climatique.
Les criquets, au sud
Les pluies inattendues n’épargnent pas le grand sud. L’an dernier, en plein mois d’août, la wilaya de Djanet et d’autres wilayas de l’extrême sud du pays ont connu des inondations provoquées par « des pluies, parfois sous forme d’averses orageuses, accompagnées localement de chutes de grêle », selon les termes des bulletins météo. Dans ces régions, de vastes zones sont maintenant couvertes de cultures agricoles. Les mauvaises conditions climatiques, averses de pluies et vents forts du sud, créent de bonnes conditions écologiques pour la propagation du criquet pèlerin, expliquent les spécialistes. La migration des criquets vers le nord depuis le sud de l’Algérie, et des régions frontalières, est facilitée par les précipitations et les vents forts.
Le risque d’invasion de criquets aux frontières sud a été sans doute suffisamment sérieux pour justifier l’intervention du président Abdelmadjid Tebboune qui a ordonné, dernièrement, en Conseil des ministres, de « prendre toutes les dispositions et mesures de précaution et de vigilance extrême, sans relâche, de manière anticipative, pour les éradiquer et empêcher leur avancée ». En application de cette directive, le directeur général de l’Institut national de protection des végétaux (INPV), Mohamed Lazar, a assuré que « les mesures préventives et proactives nécessaires ont été prises pour freiner ces mouvements vers d’autres wilayas, notamment par la désinfection des foyers de reproduction ». Un plan d’action a été mis en place pour éliminer le plus grand nombre possible de nuées de criquets pèlerins, dont la menace pèse potentiellement sur les zones agricoles situées sur son couloir de migration, notamment les pôles agricoles dans le Sud du pays.
La loi du 26 février 2024 concernant les règles de prévention, d’intervention et de réduction des risques de catastrophes dans le cadre du développement durable, a inclus l’invasion de criquets dans la liste des risques de catastrophes, au même titre que le séisme ou l’inondation. Dans ce cas, les agriculteurs touchés sont des sinistrés. L’article 56 de la loi prévoit un plan général de prévention qui définit « la carte nationale des zones exposées aux risques acridiens, les modalités de déclenchement des campagnes de surveillance des foyers acridiens et leurs mouvements, et les modalités de coordination permanente entre les secteurs concernés ».
Les scientifiques ont établi que des phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents et plus graves dus au changement climatique pourraient rendre les invasions de criquets plus imprévisibles. Ils ont également fait savoir que les criquets pèlerins sont plus susceptibles d’infester les zones arides qui reçoivent des pluies soudaines et extrêmes, et le nombre d’insectes dans un foyer est fortement influencé par les conditions météorologiques.
Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), « depuis la fin février 2025, des groupes de criquets adultes et de petits essaims en provenance du Sahel ont migré vers le sud du Sahara, atteignant plusieurs pays de la région, notamment l’Algérie, la Libye et la Tunisie. Ces mouvements sont facilités par des conditions climatiques favorables — notamment des pluies hivernales et printanières — qui ont permis la croissance de la végétation, propice à la reproduction du criquet pèlerin ».
La FAO estime que le Sahara algérien a reçu des précipitations suffisantes pour permettre la prolifération rapide des criquets et rappelle que « le criquet pèlerin est considéré comme l’un des ravageurs migrateurs les plus destructeurs au monde. Un essaim d’un kilomètre carré peut contenir jusqu’à 80 millions d’individus et dévorer en une seule journée une quantité de nourriture équivalente à celle consommée par 35 000 personnes ».
Les prévisions de la FAO indiquent que « l’éclosion des œufs et la formation de bandes larvaires devraient s’intensifier durant le mois de mai. En l’absence de contrôle rapide, ces bandes pourraient se transformer en petits essaims dès les mois de mai et juin, multipliant les risques pour les cultures, les pâturages et, à terme, la sécurité alimentaire des populations rurales ». La FAO a lancé un appel pressant aux pays d’Afrique du Nord-Ouest, les invitant à « renforcer de toute urgence leurs dispositifs de surveillance et à mettre en œuvre des mesures de lutte précoce contre les criquets pèlerins, dont l’activité s’intensifie dangereusement dans la région ».
Les spécialistes algériens font observer que le criquet anéantit tout ce qui est vert, et quand il a le choix dans une région agricole, il s’abat sur la plante la plus riche en protéines. S’il réussit à infester une zone, il s’y multipliera quels que soient les moyens utilisés pour le combattre. Ils rappellent que l’Algérie occupe une « place importante dans l’aire de l’habitat du criquet du désert et reste l’un des pays les plus menacés par ce fléau ». Le déploiement des équipes de surveillance et de lutte sur le terrain est opéré par l’INPV à partir des données météorologiques que lui fournit l’ONM et les images satellites de végétation recueillies par l’ASAL (Agence spatiale algérienne) et la FAO. L’ASAL est partie prenante du dispositif de suivi et de surveillance des biotopes acridiens dans le sud de l’Algérie depuis 2004.
Les algues brunes, sur le littoral
Au nord du pays, sur le littoral algérois, les interrogations sur le changement climatique concernent sa part dans l’échouage de grandes masses d’algues brunes sur des plages de la banlieue ouest, notamment celles de Bologhine (ex-Saint Eugène), les rendant infréquentables. Ce phénomène nouveau, dont les médias ont parlé, a commencé à être observé il y a deux ans déjà sur la plage de La Poudrière. Les agents chargés de la propreté des plages ont effectué des opérations de nettoyage consistant à enlever les algues et à les mettre dans de grands sacs qui sont emmenés ailleurs. Mais les algues reviennent avec le vent d’ouest. En fait, le travail est à refaire chaque matin.
Durant l’été 2023, la prolifération des algues sur des plages du littoral algérois, particulièrement dans les banlieues ouest, a coloré en marron foncé l’eau de mer sur le rivage ,donnant une impression de saleté renforcée par l’aspect huileux en surface. Les algues, en quantités impressionnantes, ont couvert également le sable et les galets de la plage. Sous l’effet de la chaleur, elles se sont décomposées dégageant une odeur désagréable. Les baigneurs ont cessé de fréquenter ces plages pourtant inscrites sur la liste des « plages autorisées à la baignade », établie par une commission spécialisée.
Le phénomène s’est aggravé l’été suivant, en 2024, avec quelques jours de répit procuré par la disparition des algues qui réapparaissent peu après. Que sera la saison estivale 2025 ? Y aura-t-il le même schéma avec l’invasion d’algues ? Les plages de la banlieue ouest-algéroise (La Poudrière, L’Eden, par exemple) seront-elles épargnées ? C’est en arrivant sur place et en observant la situation directement que les baigneurs pourront le savoir. Aucune information n’est disponible à l’avance. En mai 2025, les algues sont présentes sur ces plages. Comment agir face à ce fléau écologique ? Laisser les choses aller au gré de la nature ou établir un plan de prévention et d’intervention pour y remédier et empêcher les algues de s’étendre à d’autres plages ?
Les riverains guettent le vent d’est qui, selon eux, serait en mesure de chasser les algues et de nettoyer les plages polluées. Tout va dépendre des courants marins qui charrient les algues, appelées sargasses dans les médias, qui seraient les mêmes que celles qui souillent les plages de Floride, aux Etats-Unis, de Cancun, au Mexique, et d’autres sites balnéaires touristiques renommés sur les côtes atlantiques.
Cet article a été publié dans La Nouvelle République (Alger) du mercredi 21 mai 2025.
Photo : c’est l’aspect que présente souvent, depuis 2023, cette plage de la proche banlieue ouest d’Alger (La Poudrière, Bologhine) © M’hamed Rebah
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