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16.09.2025 à 16:01

Pologne : deux Biélorusses arrêtés après le survol par un drone de bâtiments gouvernementaux

FRANCE24

Deux ressortissants biélorusses ont été arrêtés à Varsovie après le survol par un drone de bâtiments gouvernementaux, a annoncé lundi le Premier ministre polonais Donald Tusk.

16.09.2025 à 15:57

Iran : trois ans de la mort de Mahsa Amini, où en est le soulèvement populaire ?

FRANCE24

Il y a trois ans, la mort de Mahsa Amini, jeune iranienne de 22 ans arrêtée parce qu'elle ne portait pas le voile, avait déclenché un vent de protestation en Iran. Depuis, malgré la répression, certaines iraniennes n'hésitent plus à défier le pouvoir en faisant des choses qui leurs sont interdites, comme retirer leur voile ou conduire une moto par exemple.

16.09.2025 à 15:55

Guerre à Gaza : début de l'offensive terrestre israélienne à Gaza ville

FRANCE24

Mardi avant l'aube, l'armée israélienne a annoncé le lancement de son offensive terrestre majeure à Gaza-ville, avec le soutien "indéfectible" affiché par les Etats-Unis.

16.09.2025 à 15:39

Faste royal XXL pour la deuxième visite d'Etat de Trump au Royaume-Uni

FRANCE24

Des milliers de manifestants ont prévu de protester à Londres contre sa venue, mais le président de 79 ans, très impopulaire au Royaume-Uni, évitera la capitale. Protégé par un dispositif de sécurité massif, sur terre, dans les airs et sur la Tamise, M. Trump doit rester confiné mercredi dans l'enceinte du château de Windsor, à 40 km de Londres, pour la partie royale de ce voyage d'Etat. Même la traditionnelle procession en calèche aura lieu dans le parc de Windsor, évitant les rues de la petite ville. M. Trump rencontrera ensuite jeudi le Premier ministre Keir Starmer à Chequers, sa résidence officielle de campagne à 70 km de Londres, pour un volet plus politique et économique, avant de repartir le soir même. Selon certains médias britanniques, le roi Charles III, 76 ans, toujours soigné pour un cancer, n'était pas emballé à l'idée de réinviter l'imprévisible président américain qui avait déjà eu les honneurs d'une première visite d'Etat en 2019, accueilli par la reine Elizabeth II. Mais le gouvernement travailliste entend capitaliser sur la fascination de Donald Trump pour la famille royale, et ainsi renforcer la "relation spéciale" historique entre Londres et Washington. Cette visite représente "un moment très important" pour les deux hommes, estime Evie Aspinall, directrice du centre de réflexion British Foreign Policy Group. Trump, dont la mère était Ecossaise, pourra "savourer le faste et le cérémonial qu'il affectionne", souligne-t-elle. Pour Starmer, "c'est l'occasion de détourner l'attention du mécontentement" dans le pays, "et de braquer les projecteurs sur les questions internationales, où il a connu le plus de succès en tant que Premier ministre", ajoute-t-elle. Investissements Cette visite doit aussi acter au moins dix milliards de livres (11,56 milliards d'euros) d'investissements américains au Royaume-Uni dans la tech, le secteur bancaire et le nucléaire, lorsque M. Starmer recevra Donald Trump à Chequers. Keir Starmer cajole le président américain depuis que ce dernier est revenu au pouvoir en janvier. Cette stratégie lui a permis d'amortir l'impact des droits de douane et de garder une ligne de communication avec Trump sur l'Ukraine, au menu des discussions, ou sur Gaza. Pour cette deuxième visite d'Etat, rien ne sera trop beau pour divertir Donald Trump et son épouse Melania. En fin de matinée mercredi, le couple sera accueilli en grande pompe par le roi et la reine Camilla à Windsor. Une salve royale sera tirée du château et depuis la Tour de Londres en leur honneur, avant que le roi, la reine, le prince héritier William et son épouse Catherine se joignent à eux pour la procession en calèche. Une garde d'honneur XXL, avec trois régiments de la Garde royale accueillera ensuite Donald et Melania Trump avec fanfare, tambours et cornemuses dans la cour carrée du château. "C'est plus important que pour sa première visite... c'est la garde d'honneur la plus importante de mes 20 ans de carrière", explique à l'AFP le lieutenant-colonel Storm Green. Donald Trump passera en revue cette garde d'honneur, avant un déjeuner en privé avec la famille royale. Une autre cérémonie militaire, avec un survol de la patrouille acrobatique des "Red Arrows" précèdera le traditionnel banquet royal avec quelque 150 invités. "Passer un bon moment" "Je veux passer un bon moment et respecter le roi Charles qui est un vrai gentleman", avait déclaré en juillet Donald Trump à propos de cette visite. Elle survient à un moment délicat pour Keir Starmer, contesté au sein même de son parti après deux semaines calamiteuses qui ont vu le départ de sa numéro 2 Angela Rayner et le limogeage de son ambassadeur à Washington Peter Mandelson, après des révélations sur ses liens étroits avec le criminel sexuel américain Jeffrey Epstein. Un sujet dont Donald Trump aurait préféré qu'il ne traverse pas l'Atlantique, car il était lui aussi un temps proche d'Epstein, qui est mort en prison, et l'affaire l'empoisonne depuis de longues semaines. Cette visite d'Etat verra "l'amitié indestructible" entre les deux pays "atteindre de nouveaux sommets", a promis Downing Street. Melania Trump aura son propre programme jeudi avec la reine Camilla - si elle est guérie de la sinusite aiguë dont elle souffrait mardi - et la princesse Kate.

16.09.2025 à 15:39

Bijoux de Rachida Dati: enquête ouverte pour "non-déclaration" à la HATVP

FRANCE24

"L'enquête ouverte à la suite des signalements dénonçant l'éventuelle infraction de non-déclaration de bijoux" à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) "a été confiée à la brigade financière et anti-corruption (BFAC) de la police judiciaire de la préfecture de police", a indiqué mardi le parquet de Paris, sollicité par l'AFP. Contactés par l'AFP, les avocats de Mme Dati, Me Olivier Pardo, Olivier Baratelli et Basile Ader, n'ont pas donné suite. La ministre de la Culture démissionnaire avait été mise en cause mi-avril par une enquête de Libération, affirmant qu'elle avait omis 420.000 euros de bijoux dans ses déclarations de patrimoine. "J'ai rien à régulariser. Je n'ai jamais été prise en défaut sur aucune déclaration. Donc c'est pas aujourd'hui que ça va commencer", avait riposté la ministre début mai, précisant qu'elle comptait porter plainte de son côté pour diffamation. Selon Libération, la dernière déclaration de Mme Dati, publiée par la HATVP en juin 2024, fait état d'un patrimoine de "quelque 5,6 millions d'euros sous forme de biens immobiliers en France et au Maroc, comptes courants, assurances-vie ou produits d'épargne". Mais aucune mention de bijoux, alors que les responsables politiques sont tenus de les déclarer lorsque leur valeur individuelle dépasse les 10.000 euros. Ces bijoux n'apparaissaient pas plus dans les nouvelles déclarations des membres du gouvernement rendues publiques le 11 juin. La HATVP peut saisir la justice si elle décèle une intention frauduleuse ou une omission substantielle. Les faits avaient été signalés à la justice à plusieurs reprises, notamment le 18 juin par le militant écologiste anticorruption de Grenoble Raymond Avrillier, ou le 26 juin par l'élu socialiste et sénateur parisien Rémi Féraud. Le média en ligne Blast a ensuite annoncé que le montant des bijoux non déclarés atteignait en réalité 600.000 euros, un chiffre "farfelu" selon une réponse faite par la défense de Mme Dati au site d'information et citée par celui-ci. Multiples signalements Cette nouvelle enquête est une pierre de plus dans le jardin judiciaire de la figure de proue de la droite parisienne. Mi-juillet, deux juges d'instruction parisiennes ont renvoyé Rachida Dati devant le tribunal correctionnel de Paris, au côté de l'ex-patron de Renault-Nissan Carlos Ghosn, pour corruption et trafic d'influence. Une première audience de procédure est prévue le 29 septembre pour fixer la date du procès. D'après deux sources proches du dossier qui s'étaient exprimées auprès de l'AFP en juillet, l'audience au fond pourrait se tenir après les municipales, prévues en mars 2026. Après cette annonce de renvoi, l'ex-garde des Sceaux avait vilipendé les magistrats, ce qui lui avait valu un autre signalement de M. Avrillier, pour outrage à magistrat. Mme Dati était enfin visée par un troisième sujet de signalement, après des publications de L'Obs et de Complément d'enquête (France 2) d'après lesquelles elle aurait perçu 299.000 euros d'"honoraires" non déclarés de GDF Suez en 2010-2011 quand elle était eurodéputée et avocate. Une source judiciaire a indiqué fin août à l'AFP que ce signalement de M. Féraud concernant GDF Suez était "en cours d'analyse" au Parquet national financier. Interrogés début juin à ce sujet par l'AFP, ses avocats, Mes Baratelli et Pardo, avaient indiqué que "Mme Dati a donné toutes ses explications et n'a jamais été l'avocate de GDF Suez".

16.09.2025 à 15:37

Wall Street reste prudente à l'entame de la réunion de la Fed

FRANCE24

Dans les premiers échanges, le Dow Jones grappillait 0,04%, l'indice Nasdaq prenait 0,22% et l'indice élargi S&P 500 gagnait 0,14%.

16.09.2025 à 15:34

Trois ans après la mort de Mahsa Amini, les femmes ont conquis une liberté "irréversible"

Bahar MAKOOI

Trois ans après la mort de Mahsa Amini, la société iranienne connaît des changements "irréversibles". Dans les rues de Téhéran comme dans les villes de provinces, les femmes s’affranchissent peu à peu du voile et des contraintes imposées, malgré une répression toujours présente.

16.09.2025 à 15:19

Derrière l'image : retour sur la mobilisation record de l'extrême droite

FRANCE24

Environ 110 000 personnes ont participé samedi à Londres à un rassemblement à l'appel du militant d'extrême droite britannique Tommy Robinson, présenté comme une manifestation pour défendre "la liberté d'expression", au moment où le sujet agite le débat public au Royaume-Uni.

16.09.2025 à 15:16

Trois ans de la mort de Mahsa Amini : que reste t-il du soulèvement populaire Iran ?

FRANCE24

Il y a trois ans, Mahsa Amini décède à Téhéran suite à des violences policières, trois jours après avoir été arrêtée par la police des mœurs iranienne pour « port de vêtements inappropriés ». Le régime a réprimé avec une violence extrême le mouvement « Femme, Vie, Liberté », sans pour autant vaciller. Que reste t-il de cette révolte ? Les éléments de réponse avec la cinéaste Sepideh Farsi.

16.09.2025 à 15:13

Guerre à Gaza : Israël lance son offensive terrestre sur Gaza ville

FRANCE24

L'armée israélienne a lancé dans la nuit de lundi à mardi la phase "principale" de son offensive sur Gaza ville, avec d'intenses bombardements suivis d'une offensive terrestre. Le Haut-commissaire aux droits de l'homme de l'ONU, Volker Turk, exige la fin du "carnage", relevant des "preuves grandissantes" d'un "génocide". La cinéaste Sepideh Farsi et Abel Bakawan, directeur du European Institute for Studies on the Middle East and North Africa sont les invités de France 24.

16.09.2025 à 15:13

Robert Redford, légende du cinéma américain, est mort

FRANCE24

L'acteur "est mort le 16 septembre 2025 dans sa maison de Sundance, dans les montagnes de l'Utah, l'endroit qu'il aimait, entouré par ceux qui l'aimaient", a déclaré son agente Cindi Berger dans un communiqué, ajoutant que sa famille "demande de respecter son intimité." Avec son insolente beauté, il incarnait une certaine face solaire de l'Amérique: écologiste, engagé, indépendant et prospère. Démocrate convaincu, défenseur des tribus amérindiennes et des paysages américains, fondateur du "Sundance Film Festival" devenu la référence internationale du film indépendant, le cowboy aux longues mèches dorées a cherché toute sa vie à tracer sa voie, gardant dès qu'il pouvait se le permettre, ses distances avec Hollywood. Les grands studios lui ont offert quelque 70 rôles, pour la plupart des personnages positifs, engagés ("Les trois jours du Condor"), romanesques ("Gatsby le Magnifique") et inspirant toujours la sympathie même lorsqu'il jouait les escrocs comme dans "Butch Cassidy et le Kid", "L'Arnaque" ou son dernier "The Old Man and the Gun". Il a notamment tourné dans sept films de Sydney Pollack. Derrière la caméra S'il a reçu un Oscar en 2002 pour l'ensemble de sa carrière, il n'a, comme acteur, jamais été récompensé pour un film en particulier bien que plusieurs de ses prestations aient été saluées dans des films emblématiques comme "Jeremiah Johnson" (Palme d'Or en 1972), "Les hommes du président" (4 Oscars en 1977) ou encore "Out of Africa" (7 Oscars en 1986) qui l'ont intronisé comme l'archétype de l'amant idéal. Son amour du cinéma l'incita ensuite à passer derrière la caméra. "En tant que réalisateur," souligne-t-il, "je ne m'aimerais pas comme acteur. En tant qu'acteur, je ne m'aimerais pas comme réalisateur". Il réalise, entre autres, "Des gens comme les autres" qui, en 1981, remporte l'Oscar du Meilleur film et de la Meilleure réalisation puis "Et au milieu coule une rivière" (1992), "Quiz Show" (1994), "L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux" (1998), "Lions et agneaux" (2007), "Sous surveillance" (2012). Les montagnes de l'Utah, où il s'est éteint, étaient devenues son fief après une enfance californienne - il est né le 18 août 1936 à Santa Monica - et un passage à l'université du Colorado. En novembre 2016, le président Barack Obama lui avait décerné la médaille présidentielle de la Liberté, la plus haute récompense civile aux Etats-Unis. En 2018, juste après "The Old Man and The Gun", l'octogénéraire au visage parcheminé par le soleil et le vent des grands espaces avait annoncé sa retraite.

16.09.2025 à 15:11

Intoxications et "odeurs nauséabondes": un Burger King fermé en Franche-Comté

FRANCE24

Cette mesure est justifiée par des "faits graves, susceptibles de présenter un risque pour la santé des consommateurs" fréquentant ce restaurant situé dans une zone commerciale, en périphérie de cette ville de 8.000 habitants, a expliqué dans un communiqué le préfet de Haute-Saône, Serge Jacob. Les inspecteurs qui se sont rendus sur place lundi "ont constaté plusieurs manquements graves", tels qu'une "absence d'hygiène des locaux, des équipements et des enceintes réfrigérées", des "odeurs nauséabondes dans les locaux de préparation" et une "incapacité du personnel à assurer la salubrité des denrées alimentaires", détaille la préfecture. L'établissement ne pourra rouvrir que lorsque les inspecteurs de la direction départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations (DDETSPP) auront constaté que toutes les "mesures correctives" nécessaires auront été mises en oeuvre, ont encore indiqué les services de l'Etat. Contactée, la communication de Burger King a indiqué qu'elle réagirait plus tard dans la journée.

16.09.2025 à 15:07

En Autriche, l'espionnage russe en toute légalité

FRANCE24

Dmitry Erokhin exerce à l'Institut international pour l'analyse des systèmes appliqués (IIASA), fondé pendant la Guerre froide afin de favoriser les échanges scientifiques entre Est et Ouest, et sis dans un château non loin de Vienne. Le jeune homme publie depuis 2019 des analyses sur la navigation dans l'Arctique, les investissements chinois en Europe de l'Est, l'impact de la fausse information ou le complotisme. Il a cosigné des travaux notamment avec trois autres chercheurs de l'IIASA, tous formés en Russie, selon les informations qu'ils ont partagés sur les réseaux sociaux. Mais d'après Der Standard, il a également été lié à la fondation Pravfond, soupçonnée de financer des projets de désinformation et la défense de suspects d'espionnage. Point de contact Le journal a publié un article à ce sujet en mai, dans le cadre d'une enquête internationale coordonnée par l'Organised Crime and Corruption Reporting Project (OCCRP), un consortium de journalistes. Il affirmait notamment que M. Erokhin avait dirigé de 2022 à 2024 une association dédiée à "la promotion des valeurs culturelles, juridiques et humaines en général", et logée à la même adresse que l'Institut culturel russe à Vienne. M. Erokhin a utilisé cette association comme "point de contact" pour fournir une aide juridique à la diaspora russe en Autriche et Pravfond l'a rémunéré, selon le journal qui cite des courriels et documents internes transmis à la télévision danoise DR. Un mois plus tôt, en avril, la cour des comptes de l'Union européenne déplorait l'absence de contrôles pour s'assurer que les entités financées avec des fonds européens respectent les valeurs de l'UE. Selon son rapport 2024, l'IIASA a bénéficié d'un peu plus de 19 millions d'euros en contrats et subventions, dont une partie, qui n'est pas précisée, provient de l'UE. Le ministère autrichien des Affaires étrangères a confirmé que M. Erokhin "disposait toujours d'un visa valide", le gouvernement "n"ayant aucune information de la part de la police" l'incriminant. L'affaire ne fait pas grand bruit. Et pour cause: en Autriche, les faits reprochés à ce chercheur, s'ils sont allégués, ne sont pas interdits par la loi. Car l'espionnage y est légal, quand il n'est pas opéré "au détriment de l'Autriche". Ce qui n'est pas le cas dans tous les pays européens. En Allemagne et au Royaume-Uni, des condamnations ont été prononcées contre des informateurs de Moscou. Au Danemark, une Russe a été arrêtée suite aux révélations du groupe audiovisuel public DR dans le cadre de l'enquête de l'OCCRP. Interrogé par l'AFP, l'IIASA a affirmé avoir diligenté une "enquête interne" suite aux informations du Standard, qui pouvaient supposer un possible conflit d'intérêt, ce qui serait contraire à son règlement. "L'IIASA n'a trouvé aucune preuve d'acte répréhensible de la part" du chercheur russe, "actuellement toujours employé", selon une porte-parole. "Il a nié toute implication" avec Pravfond et a "l'intention d'entreprendre une action en justice", a-t-elle ajouté. Der Standard a confirmé à l'AFP avoir reçu une lettre d'avocat exigeant de retirer le nom de M. Erokhin de son article en ligne, mais "pas de plainte". "Nous ne voyons aucune raison de modifier notre reportage", a précisé le quotidien. Contacté, Dmitry Erokhin n'a pas répondu à l'AFP. "Nouveaux délits" Ces dernières années, des scandales d'espionnage au profit de la Russie ont terni la réputation de Vienne auprès des services de renseignement occidentaux et le pays veut légiférer. Dans son programme de coalition, adopté cette année, le gouvernement dirigé par les conservateurs a prévu "de créer de nouveaux délits d'espionnage", sans préciser s'il comptait interdire l'espionnage au détriment d’autres États. Neutre depuis 1955 bien qu'elle ait dénoncé l'invasion russe de l'Ukraine, l'Autriche, qui se veut une terre de dialogue, subit les tensions internationales fragilisant des structures comme l'IIASA. L'Institut compte 19 Etats membres et une entité regroupant des pays d'Afrique sub-saharienne, et la coopération est de plus en plus difficile. Ses plus de 500 chercheurs viennent notamment d'Ukraine, de Russie, d’Israël ou d'Iran. L'IIASA n'a plus le droit, en raison des sanctions, de collecter la participation russe, même si le pays en reste membre. La contribution américaine a baissé, "ce qui laisse" selon une porte-parole un "déficit budgétaire important" nécessitant des économies "immédiates", comme des "baisses volontaires de salaire".
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