Des responsables de partis, des avocats et des figures des affaires et des médias étaient jugés, notamment pour "adhésion à un groupe terroriste". Plusieurs avocats de la défense ont dénoncé "une mascarade".
Le chef de l'Etat est notamment attendu à Mayotte, où il avait promis de revenir pour "lancer le temps de la reconstruction", après le passage dévastateur du cyclone Chido.
Des avocats avaient déposé un recours en urgence au nom de personnes détenues au Texas, ciblées au nom d'une loi du XVIIIe siècle sur les ennemis étrangers.