Le journaliste marseillais Gregory Martin-Aude répond à l’article d’Esther Teillard, publié dans le Libé des Ecrivain·es qui pointait la déception des couples de Parisiens à leur arrivée dans la ville.

Si l’on reconnaît aujourd’hui l’ampleur de l’extermination qui a débuté en 1975, il est psychiquement essentiel pour les descendants des victimes de connaître les raisons pour lesquelles leurs ancêtres ont été tués, estiment les professeurs Pierre Bayard et Soko Phay, à la veille du 50e anniversaire de la chute de Phnom Penh.

De Mario Vargas Llosa, de l’univers mouvant, hétérogène et unique de son œuvre et sa personne, il me restait seulement, jusqu’à hier, un goût amer. Heureusement sa mort est là, humaine, terriblement humaine.