Les frappes de Tsahal sur Damas mercredi 16 juillet montrent que le pouvoir israélien a choisi d’être le seul maître de la région au milieu du chaos qu’il aura contribué à installer.

Alors que les Etats-Unis utilisent le commerce comme un levier de coercition et que la Chine avance ses intérêts sous couvert de coopération, le professeur de droit Julien Chaisse (1) appelle l’UE à sortir de sa passivité en actionnant ses mesures de régulation et en privilégiant le multilatéralisme.

Si le Premier ministre a été assez précis dans les coups de rabots qui toucheront les plus modestes, le flou demeure quant aux mesures concernant les plus aisés. Un deux poids deux mesures qui interroge sur ses choix politiques.