Renvoyée en procès pour corruption et trafic d’influence, mardi 22 juillet, la ministre de la Culture est la cible de nombreuses attaques à gauche et en macronie.
Le président du tribunal a réagi mercredi après que Rachida Dati a dénoncé la veille une «procédure émaillée d’incidents» et vilipendé des magistrats qui «marchent» sur les droits de la défense et perpétueraient des «atteintes graves» contre ces derniers.
Renvoyée en correctionnelle, la ministre de la Culture (qui fut aussi celle de la Justice) dénonce un complot des juges visant à l’empêcher d’être maire de Paris.