L’entraîneur est mis en cause par douze femmes, toutes mineures au moment des faits, selon des témoignages publiés par «le Monde» ce mercredi 23 juillet.
Plusieurs associations rappellent que les images diffusées sur les réseaux sociaux peuvent être utilisées ou échangées par des prédateurs sexuels. De plus, «40 % des personnes ayant consulté des contenus pédocriminels ont par la suite cherché à contacter un enfant».
Le dossier, tentaculaire, contient désormais au moins 217 plaintes, pour des faits survenus entre 1957 et 2004. Seul un surveillant laïc est mis en examen à l’heure actuelle, la justice étant bloquée par la prescription.