Cette infection qui a provoqué lundi 28 juillet la mort d’une femme en Maine-et-Loire et touché six personnes au total est provoquée par des neurotoxines qui s’attaquent au système nerveux, pouvant entraîner une paralysie générale.
Dans le centre d’incendie et de secours des pompiers au Muy, les départs et les reprises de feu sont monitorés et évalués en partie grâce à des caméras, qui remplacent progressivement les vigies.