18.03.2025 à 18:22
Suite à la dissolution et à l’émergence du nouveau Front populaire de nombreux collectifs locaux sous formes d’Assemblées citoyennes, comités, collectifs se sont créés dans toute la France. Ces assemblées sont fidèles au préambule du Contrat de législature du Nouveau Front Populaire qui affirme, que nous sommes « des femmes et des hommes issu·es d’organisations […]
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Suite à la dissolution et à l’émergence du nouveau Front populaire de nombreux collectifs locaux sous formes d’Assemblées citoyennes, comités, collectifs se sont créés dans toute la France. Ces assemblées sont fidèles au préambule du Contrat de législature du Nouveau Front Populaire qui affirme, que nous sommes « des femmes et des hommes issu·es d’organisations politiques, syndicales, associatives et citoyennes qui s’unissent pour construire un programme de rupture avec la politique d’Emanuel Macron, répondant aux urgences sociales, écologiques, démocratiques et pour la paix. »; L’article La Fondation Copernic participe à la Rencontre nationale des Collectifs locaux du NFP le 22 mars 2025 est apparu en premier sur Fondation Copernic. Lire 485 mots
Ces Assemblées locales sont une condition importante au rassemblement de la gauche et des écologistes dans une situation où la montée de l’extrême droite, les attaques contre les droits sociaux, les plans de licenciements, la régression écologique, les atteintes aux droits fondamentaux comme le droit du sol sont à l’ordre du jour. La mobilisation électorale qui a permis d’empêcher une majorité du RN au parlement a été très large autour des candidatures du NFP, en impliquant tant les militant·es des organisations syndicales, des associations et des différents mouvements sociaux, que d’une partie importante de la jeunesse. Aujourd’hui une dynamique de division affecte le NFP. Il faut à tout prix enrayer cet engrenage et créer les conditions de l’unité populaire autant dans les mobilisations sociales et écologistes que dans les prochaines échéances électorales. C’est pourquoi, à l’initiative de la Fondation Copernic, en liaison avec des initiatives citoyennes telles Union Maintenant, Victoires populaires, Convois de la victoire… un réseau de collectifs locaux s’est constitué . Ce réseau appelle à une Rencontre Nationale des Collectifs locaux du NFP le 22 mars à Paris à la Bourse du Travail.
La Fondation Copernic qui s’est toujours voulu être fidèle à sa démarche initiale d’être une passerelle entre les gauches et l’écologie soutient cette démarche visant à :
— soutenir et étendre le réseau des collectifs locaux du NFP
La fondation Copernic demande à ses adhérents de relayer cette initiative.
11.03.2025 à 14:10
22 mars – Rencontre Nationale des collectifs locaux du Nouveau Front Populaire
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11.03.2025 à 14:04
La Fondation Copernic est signataire de cet appel Journée internationale contre le racismeNé-e-s ici ou venu-e-s d’ailleurs, uni-e-s contre le racisme!Le 18 décembre 2024, lors d’un meeting pour la Journée internationale des migrants, nosorganisations et collectifs ont déclaré :« Nous ne voulons pas d’une société raciste. Ensemble, construisons la société dans laquellenous voulons vivre, une société […]
L’article 22 mars – Journée internationale contre le racisme Né-e-s ici ou venu-e-s d’ailleurs, uni-e-s contre le racisme! est apparu en premier sur Fondation Copernic.
La Fondation Copernic est signataire de cet appel Journée internationale contre le racisme L’article 22 mars – Journée internationale contre le racisme Né-e-s ici ou venu-e-s d’ailleurs, uni-e-s contre le racisme! est apparu en premier sur Fondation Copernic. Texte intégral 694 mots
Né-e-s ici ou venu-e-s d’ailleurs, uni-e-s contre le racisme!
Le 18 décembre 2024, lors d’un meeting pour la Journée internationale des migrants, nos
organisations et collectifs ont déclaré :
« Nous ne voulons pas d’une société raciste. Ensemble, construisons la société dans laquelle
nous voulons vivre, une société de tous les droits pour toutes et tous, une société de
solidarité, de fraternité, de justice, et de respect des libertés ».
Cette déclaration commune est plus que jamais d’actualité face aux attaques renouvelées
contre les personnes étrangères avec ou sans papier, d’origine étrangère ou présentées
comme telles.
Nous voulons, pour nous comme pour nos voisin-e-s, collègues de bureau, d’atelier, nos
camarades d’amphi, pour notre médecin, notre boulangère, pour la copine ou le copain de
classe de nos enfants… une réelle égalité des droits.
Nous ne concevons pas la société autrement que dans la fraternité qui est marquée sur le
fronton des édifices publics, aux côtés de la liberté et de l’égalité. Nous ne concevons pas la
société autrement que rassemblée par l’accès effectif à tous les droits, pour toutes et tous.
Les comportements racistes et xénophobes sont le quotidien pour tant de personnes
aujourd’hui, du fait de leur origine, de leur couleur de peau, de leur religion. Les actes
violents se multiplient, faisant vivre dans la peur, la souffrance, l’injustice d’un quotidien de
discriminations.
Le quotidien, ce sont aussi les discours de haine désinhibés, les propos mensongers de
responsables politiques et de médias contrôlés par des acteurs économiques disposant de
moyens considérables, qui stigmatisent des populations et des quartiers et manipulent les
chiffres.
La circulaire Retailleau s’inscrit pleinement dans cette approche, repoussant les personnes
sans-papiers dans la clandestinité et la surexploitation dans l’emploi, imposant un
durcissement des conditions de la régularisation de leur droit au séjour, et ouvrant des
possibilités supplémentaires d’expulsions.
Le même ministre ainsi que des médias d’extrême droite s’en prennent aux associations et
syndicats qui soutiennent les personnes étrangères, mettant en péril leur rôle crucial pour la
démocratie, l’Etat de droit et l’inclusion sociale.
Le Premier ministre lui-même reprend les formulations stigmatisantes de l’extrême droite,
faisant des personnes d’origine étrangère les boucs émissaires de tous les maux la société.
Ces discours publics, allant jusqu’à remettre en cause le droit du sol, cherchent à nous
opposer les un-e-s aux autres alors que nous partageons les mêmes aspirations au bien-
être, à la justice économique et sociale, et à l’égalité des droits. L’absence d’accès aux droits
des uns n’a jamais donné plus de droits à d’autres !
Toutes et tous ensemble, agissons uni-e-s et rassemblons-nous, le samedi 22 mars 2025,
pour la Journée internationale contre le racisme, pour un autre projet de société, humaniste,
solidaire et égalitaire.
Un appel à l’initiative de la LDH (Ligue des droits de l’Homme), Attac France, La
Cimade, Confédération générale du travail (CGT), Fédération syndicale unitaire (FSU),
Femmes Egalité, Groupe d’information et de soutien des immigrés (Gisti), Mouvement
contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap), Oxfam France, SOS
Racisme, Syndicat des avocat·es de France (SAF), Union syndicale Solidaires.