Visant à alléger certaines régulations et procédures, ce texte fait l’objet d’une bataille féroce entre les différents groupes de l’Assemblée. Plus de mille amendements doivent être discutés jusqu’à la fin de la semaine.
Lors d’une audition, Sarah Wynn-Williams a affirmé que Meta avait collaboré avec le Parti communiste chinois pour développer des outils de censure, testés à Taïwan et Hong Kong.
Cette reconnaissance pourrait se faire lors d’une conférence internationale à l’ONU, a suggéré, dans une interview télévisée, le chef de l’Etat, qui souhaite ainsi engager « une dynamique collective » en direction de la paix.