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Institut La Boétie.

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27.03.2024 à 19:35

Journée d’étude sur l’État

fjarlier

Samedi 6 avril, l'Institut La Boétie vous invite à une journée d'étude sur l'État. Toute la journée, des chercheur·ses de différents horizons échangeront sur le rôle de l'État et ses transformations.
Texte intégral (843 mots)

Le samedi 6 avril, l’Institut La Boétie vous invite à assister à sa journée d’étude sur l’État. Elle se tiendra au Cnam, 292 rue Saint-Martin dans le 3e arrondissement de Paris, dans l’amphithéâtre Fabry-Perot, à partir de 10h30.

La relation à l’État a été l’objet de nombreux débats au cours de l’histoire des luttes sociales et des forces qui portent la rupture avec l’ordre établi. Elle se pose désormais sous de nouvelles formes à l’heure de la mondialisation néolibérale, de la montée du libéralisme autoritaire et du retour de la menace fasciste. 

Quelles sont les origines de l’État et ses liens avec la souveraineté populaire, avec la propriété ? Comment la lutte dans l’État et pour son contrôle s’organise-t-elle ? Quelle articulation peut être construite entre la machine étatique et le pouvoir populaire ? Comment envisager, dans le cadre d’un projet de rupture, une prise du pouvoir d’État et sa transformation radicale en lien avec les mobilisations populaires ?

Ces questions sont non seulement théoriques, mais surtout celles qui se posent à celles et ceux qui veulent faire gagner un programme de rupture. Elles sont aujourd’hui particulièrement brûlantes compte tenu du niveau atteint par la gauche de rupture aux élections nationales, de l’urgence écologique et de l’État lui-même. 

Tout au long de la journée, des chercheur·ses issu·es de la philosophie, de l’histoire, de la sociologie ou de la science politique croiseront leurs regards afin de répondre à ces questions. Ils tenteront d’analyser quelle place l’État doit occuper dans la critique sociale contemporaine et pour un projet politique alternatif.

Pour y assister en physique, l’inscription est obligatoire via ce formulaire.

Le programme

Samedi 6 avril

10h30 : accueil du public

11h : Table ronde n° 1 : « Ce qu’est l’État : généalogie et champ de bataille »

  • Ludivine Bantigny, maîtresse de conférences en histoire, co-directrice de Une histoire globale des révolutions (2023)
  • Pierre Crétois, maître de conférences en philosophie, auteur de La copossession du monde. Vers la fin de l’ordre propriétaire (2023)
  • Stathis Kouvelakis, chercheur en philosophie politique, auteur de La Critique défaite. Émergence et domestication de la théorie critique (2019)

Cette table ronde sera animée par Isabelle Garo, philosophe, spécialiste de Karl Marx, co-animatrice du département de philosophie de l’Institut La Boétie.

12h30 : Pause déjeuner

13h30 : Table ronde n° 2 : « L’État du libéralisme autoritaire »

  • Marlène Benquet, sociologue, co-autrice de La finance autoritaire : vers la fin du néolibéralisme (2021) et co-animatrice du département de sociologie de l’Institut La Boétie
  • Olivier Le Cour Grandmaison, maître de conférences en sciences politiques et philosophie politique, spécialiste de l’histoire de la citoyenneté, auteur de Racismes d’État, États racistes. Une brève histoire (2024)
  • Marlène Rosano-Grange, sociologue et docteure en relations internationales, spécialiste des organisations internationales
  • Claude Serfati, chercheur à l’Institut de Recherches Economiques et Sociales, auteur de L’État radicalisé. La France à l’ère de la mondialisation armée (2022)

Cette table ronde sera animée par Florian Rada, docteur en philosophie, spécialiste de Hegel.

15h15 : Table ronde n° 3 : « Aujourd’hui, que faire de l’État ? »

  • Anne-Laure Delatte, chercheuse en économie au CNRS et à Paris-Dauphine PSL, autrice de L’État droit dans le mur. Rebâtir l’action publique (2023)
  • Claire Lejeune, doctorante sur la planification écologique, co-animatrice du département  de planification écologique de l’Institut La Boétie
  • Claire Lemercier, directrice de recherche en histoire au CNRS, co-autrice de La valeur du service public (2021)
  • Stefano Palombarini, maître de conférences en économie, membre du Conseil scientifique de l’Institut La Boétie, co-auteur de L’illusion du bloc bourgeois. Alliances sociales et avenir du modèle français (2018) et Où va le bloc bourgeois ? (2022)

Cette table ronde sera animée par Matteo Polleri, docteur en philosophie, spécialiste de la question du pouvoir chez Marx et Foucault.

20.03.2024 à 17:04

Chaire d’Andreas Malm #2 : le pipeline, la rue et l’État. Comment saboter le capitalisme fossile ?

Antoine Salles-Papou

Le 30 mars 2024, l'Institut La Boétie vous invite à la deuxième conférence exceptionnelle du géographe et écologue suédois Andreas Malm. Il dialoguera des questions stratégiques posées aux luttes écologistes pour atteindre leurs objectifs avec Christophe Bonneuil, directeur de recherches au CNRS, Jeanne, porte-parole des Soulèvements de la Terre, et Clémence Guetté, co-présidente de l'Institut La Boétie et députée LFI.
Lire plus (292 mots)

Samedi 30 mars, l’Institut La Boétie a reçu pour la deuxième fois le géographe et écologue suédois Andreas Malm.

Mondialement connu pour ses ouvrages comme Comment saboter un pipeline (2020), L’anthropocène contre l’histoire (2017), La chauve-souris et le capital (2020) ou Avis de tempête (2023), ce chercheur vient en France dans le cadre de la chaire de géographie que l’Institut lui a confiée.

Après une première conférence sur le capitalocène en mars 2023, il s’est concentré cette fois sur les questions stratégiques posées aux luttes écologistes pour atteindre leurs objectifs.

Comment saboter un pipeline (2020), en particulier, a fait de Malm une figure incontournable des mouvements pour la justice climatique. Cette conférence lui a donné l’occasion de revenir sur ce travail, en discutant l’articulation entre militantisme écologiste, mobilisations de masse, politique institutionnelle et construction de majorité électorale pour gouverner.

Andreas Malm discutait des expériences de Notre-Dame-des-Landes et de Sainte-Soline auxquelles il a pris part, ainsi que de la question du rôle de l’État et de la planification écologique, avec :

  • Christophe Bonneuil, directeur de recherches au CNRS, auteur notamment de L’événement Anthropocène (2013)
  • Gabriel Mazzolini, Les Amis de la Terre
  • Clémence Guetté, co-présidente de l’Institut La Boétie et députée LFi du Val-de-Marne.

Cette conférence a eu lieu le samedi 30 mars au CNAM – 292 rue Saint-Martin, à partir de 14h30.

05.03.2024 à 15:40

Constituer les promotions des stages régionaux de formation de février 2024

Antoine Salles-Papou

Les 23, 24 et 25 février 2024, l’école de formation de l’Institut La Boétie a organisé deux nouveaux stages régionaux à Caen (région Normandie) et à Lyon (région AURA
Texte intégral (1322 mots)

Les 23, 24 et 25 février 2024, l’école de formation de l’Institut La Boétie a organisé deux nouveaux stages régionaux à Caen (région Normandie) et à Lyon (région AURA).

Pour chaque stage, c’est un groupe de 50 personnes qui a été sélectionné pour y participer, à la suite d’un appel à candidatures envoyé à l’ensemble des insoumis·es des régions concernées.

Ce rapport vise à expliquer le contenu et les objectifs des stages ainsi que le processus de sélection des candidatures.

Les stages régionaux

Complémentaire aux formations locales, organisées selon la demande des boucles départementales, ils sont organisés de façon centrale, selon un calendrier qui vise à couvrir l’ensemble des régions hexagonales en une année.

Il permet ainsi à 50 personnes de chaque région qui n’ont pas la disponibilité, ou n’ont pas été sélectionnées, pour le cursus renforcé de bénéficier d’un stage intensif de trois jours. 

Le programme des stages est inspiré de celui du cursus renforcé, dans une forme évidemment très condensée et volontairement dense, sous forme de formation intensive. Il comprend les 10 modules de formation suivant :

  • Qu’est-ce que La France insoumise : histoire et principes
  • Matérialisme
  • L’ère du peuple
  • Planification écologique
  • Contrer l’économie dominante
  • L’économie selon Marx
  • Enjeux européens
  • Militer en insoumis·e
  • SO
  • Point sur la situation politique.

Une soirée conviviale est également prévue dans chaque stage. L’ensemble des député·es insoumis·es des régions concernées ont été également invité·es pour y participer.

L’hébergement est pris en charge, pour les personnes qui en ont besoin, à travers des hébergements militants (appel à volontaires envoyé aux insoumis·es des villes d’accueil des stages). La restauration est prise en charge matin, midi et soir ; en revanche, le transport est à la charge des stagiaires. Aucune participation financière n’est demandée pour ces stages.

Pour permettre l’accueil des stagiaires dans de bonnes conditions pédagogiques et matérielles, chaque stage accueille 50 personnes. 

L’organisation locale – recherche et réservation des salles, de la restauration, du matériel, supervision sur place… – est assurée par une équipe de volontaires, composée essentiellement des élèves des différentes promotions du cursus renforcé qui militent dans les régions concernées. 

L’élaboration du dispositif pédagogique, la recherche des formateur·rices, la coordination des équipes locales, la composition des groupes, la coordination des hébergements militants… sont assurés par l’équipe de l’Institut La Boétie.  

L’appel à candidatures

Un mail d’appel à candidatures a été envoyé à l’ensemble des insoumis·es des régions AURA et Normandie le 21 décembre 2023 les appelant à transmettre leur candidature avant le 8 janvier.

Durant cette période de 3 semaines, 184 insoumis·es ont déposé leur candidature : 80 pour la région Normandie et 104 pour la région AURA.

La composition des groupes

L’appel à candidatures précisait que la sélection des 50 participant·es serait effectuée « selon les mêmes critères que le cursus renforcé (parité de genre ; diversité sociale, géographique ; représentativité des différents secteurs du mouvement : membres ou non de groupes d’action, du service d’ordre, des jeunes insoumis·es, etc.) ».

Le premier critère, la parité de genre, vise à corriger le biais de genre que l’on constate dans tous les appels à candidatures. Dans un premier temps, les équipes locales sont sensibilisées en amont de l’appel à candidatures pour qu’elles proposent directement aux militantes de candidater. Malgré cette démarche spécifique, 57 % des candidatures émanent d’hommes et 43 % de femmes. La composition des groupes se fait donc selon le critère de la parité stricte.

L’école de formation de l’Institut La Boétie s’inscrit dans l’histoire riche de l’éducation populaire, au service de la construction d’un bloc populaire de rupture : elle s’attache donc à ce qu’aucun de ses dispositifs de formation ne soit réservé à une élite privilégiée, en prenant en compte la diversité populaire dans la constitution de ses promotions.

Ainsi, une attention particulière est portée aux candidatures de personnes titulaires d’un CAP, BEP, baccalauréat professionnel, technologique ou général. Les personnes titulaires d’un baccalauréat ou d’un diplôme inférieur représentait 22% dans les candidatures mais elles représentent 26% dans les stagiaires retenus.

Pour prendre un autre critère, les personnes ayant un revenu mensuel inférieur à 1500 euros représentent près de la moitié des stagiaires de ces deux stages régionaux de formation.

On trouvait ainsi parmi les stagiaires : secrétaires, cuisinier, infirmières, aide auxiliaire en crèche, conducteur de train, aide soignant, préparateur de commande…

Le critère de diversité géographique vise à permettre de constituer des groupes où sont représentés un maximum de départements : le stage régional constitue en effet un moment privilégié pour faire se rencontrer des militant·es de toute la région et ainsi créer des liens entre les différents départements, en complément des boucles départementales.

Ainsi, les 5 départements de Normandie (14, 27, 50, 61 et 76) étaient tous représentés lors du stage de Caen. En région AURA, 11 des 12 départements qui composent la région étaient représentés parmi les 50 stagiaires (01, 03, 07, 26, 38, 42, 43, 63, 69, 73, 74). Seul le département du Cantal (15) n’était pas représenté, faute de candidat·es.

La localisation des stages influe fortement sur le profil des candidatures, avec une majorité de candidat·es issu·es du département où la ville d’accueil est située. Ce biais n’a pu être corrigé que partiellement dans la composition des groupes, et nécessitera une réflexion quant au choix des villes lors des prochains stages dans ces mêmes régions.

De la même façon, l’objectif de l’école de formation est d’irriguer chacun des secteurs du mouvement insoumis : groupes d’action, service d’ordre, jeunes insoumis, collaborateur·rices… 

Cela conduit donc à privilégier les candidatures impliquées dans un de ces secteurs, comme le montre l’évolution entre les candidatures et les profils retenus.

Sur les deux stages, 48% des participant·es étaient des animateurices de groupes d’action, 7% membres du service d’ordre, 20% membres des jeunes insoumis, 8% de collaborateur·ices d’élu·es et 23% de volontaires pour les événements nationaux. La sélection a tendance à accroître la part des animateurices de groupes d’action (de 35% dans les candidat·es à 48% dans la sélection) et des jeunes insoumis·es (de 15% dans les candidat·es à 20% dans la sélection).

En complément, l’engagement des candidates et candidats dans les luttes, à travers leurs engagements syndicaux, associatifs ou dans des collectifs, a également été un élément pris en compte positivement.

La composition des groupes s’est enfin attachée à l’équilibre en termes d’âges. Ainsi, 12% des stagiaires sur les deux stages avaient moins de 24 ans (8% dans les candidat·es), et 30% entre 25 et 34 ans (27% parmi les candidat·es). Mais les tranches d’âges plus âgées étaient aussi représentées puisque les 60 ans et plus représentaient eux 23% des stagiaires (25% dans les candidat·es). 

04.03.2024 à 17:17

Chaire de Cédric Durand #3 : La voie étroite d’un cyber-écosocialisme

Antoine Salles-Papou

Le 19 mars 2024, dans le cadre de la chaire d'économie de l'Institut La Boétie, Cédric Durand donnait une conférence
Lire plus (399 mots)

Cette conférence est la dernière d’une série de trois conférences données par Cédric Durand, titulaire de la chaire d’économie de l’Institut La Boétie. Elle s’est inscrit dans le cadre de la consultation de l’Institut La Boétie consacrée à l’intelligence artificielle.

La question de la planification écologique à l’âge de l’anthropocène se pose dans des termes radicalement différents de ceux de la planification modernisatrice du XXIe siècle, aussi bien en ce qui concerne ses objectifs que du point de vue des moyens informationnels.


En matière d’objectifs, le renversement est presque total. Alors qu’au XXe siècle il s’agissait d’accélérer la croissance économique, il faut aujourd’hui planifier la décroissance de l’impact biophysique des activités humaines. En matière de moyens aussi, le contexte a radicalement changé. Alors que la question de l’information et de son traitement fut, au siècle dernier, un des obstacles les plus sérieux au déploiement d’une planification ambitieuse, les techniques et les usages numériques offrent pour la première fois la possibilité d’une large connaissance en temps réel du métabolisme terrestre dans ses dimensions économiques et écologique.


Des ressources informationnelles considérables sont désormais disponibles pour la planification. Elles rendent envisageable un nouvel âge de progrès dans lequel une meilleure maîtrise technique permettrait de reprendre consciemment le contrôle sur un métabolisme socio-écologique déréglé.
La technologie sociale et politique écosocialiste ne saurait cependant se réduire au contrôle. Elle doit laisser place au sens, offrir aux individus l’autonomie nécessaire à une vie désirable, préserver une diversité des manières d’être au monde et se garder d’imposer à la nature son propre rythme technique.

Telle est la voie étroite d‘un cyberécosocialisme : un rationalisme démocratique et tempéré au service de la justice écologique.

Cette conférence a eu lieu le mardi 19 mars à 18h30 à l’Espace Conférences, 2 bis rue Mercœur, Paris 11e.

21.02.2024 à 16:05

Chaire de Danièle Linhart #1 : De Taylor au management moderne : le travail aliéné

Jeanne Huybrechts

Cette conférence était la première d’une série de trois conférences données par Danièle Linhart, titulaire de la chaire de sociologie de l’Institut La Boétie. Elle s’est inscrit dans le cadre de la consultation de l’Institut La Boétie sur le travail. De Taylor au management moderne : le travail aliéné La souffrance au travail est loin […]
Texte intégral (538 mots)

Cette conférence était la première d’une série de trois conférences données par Danièle Linhart, titulaire de la chaire de sociologie de l’Institut La Boétie. Elle s’est inscrit dans le cadre de la consultation de l’Institut La Boétie sur le travail.

De Taylor au management moderne : le travail aliéné

La souffrance au travail est loin d’être abolie. Les souffrances physiques sont en augmentation. Mais aussi l’isolement, la perte de sens, et le sentiment d’être perdu face aux injonctions changeantes des directions et au cruel manque de marge de manœuvre. Même chez les cadres, les offres d’emplois proposent cours de sport, massages et sessions de team building, mais rares sont les postes qui offrent formations et autonomie.

Pour la sociologue du travail Danièle Linhart, cette situation doit beaucoup au « taylorisme ». Elle écrit : « Taylor avait identifié le fait qu’au sein des entreprises, le savoir, c’est aussi le pouvoir ». Cette doctrine d’organisation du travail, qui se veut « scientifique », repose sur deux principes. Une division horizontale du travail, où chaque travailleur répète un nombre réduit de tâches, d’une part. Et une division verticale, où ceux qui conçoivent les objets et les méthodes ne sont pas ceux qui les réalisent d’autre part. Elle cherche l’efficacité maximale, quitte à contrôler la vie privée des salariés pour s’assurer de leur total engagement. L’un de ses objectifs est de déposséder les travailleurs de ce qui fait leur force : leur métier et leurs connaissances. Ce transfert de savoir vers les cadres et la direction permet de mettre les salariés au service non pas de leurs valeurs et intérêts propres, mais au service des profits de l’entreprise et de l’enrichissement de leur employeur.

Cette idéologie et technique de pouvoir dans la sphère économique, apparue au début du 20ème siècle, est encore à l’œuvre aujourd’hui dans les entreprises. Pour Danièle Linhart, on la retrouve désormais dans ce que l’on nomme le management. Les salariés sont dé-professionnalisés, et leurs savoirs sont externalisés dans les directions et les cabinets de conseil. Leur engagement maximal est assuré à travers leur isolement, et le contrôle de leur vie privée et de leur santé. Il est également présent dans le style de gouvernement, autour de l’idée qu’il faut “gérer” les masses, et les discipliner.

Cette première chaire était l’occasion pour Danièle Linhart de revenir sur la façon dont le taylorisme s’est imposé comme une doctrine dominante dans les entreprises au cours du XXème siècle, et sur la façon dont il influence aujourd’hui le travail salarié.


Cette conférence a eu lieu le samedi 9 mars à l’Espace Conférences, 2 Bis Rue Mercœur, 75011 Paris.

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