ACCÈS LIBRE
04.09.2025 à 09:07
AI for good : l'intelligence artificielle peut-elle vraiment être au service du bien commun ?
De l’humanitaire à la biodiversité, les géants du numérique multiplient les projets dits « AI for good » (c’est-à-dire d’intelligence artificielle au service du bien commun). Des initiatives qui suscitent un certain scepticisme, notamment dans les pays du Sud global qui font les frais d’une technologie décriée sur le plan social et écologique.
De l’humanitaire à la biodiversité, les géants du numérique multiplient les projets dits « AI for good » (c’est-à-dire d’intelligence artificielle au service du bien commun). Des initiatives qui suscitent un certain scepticisme, notamment dans les pays du Sud global qui font les frais d’une technologie décriée sur le plan social et écologique.
03.09.2025 à 15:28
Finalement, la justice américaine décide de ne pas démanteler Google (à cause de l'IA)
Mardi 2 septembre, la justice fédérale américaine a rendu son verdict : Google échappe finalement à l'obligation de vendre son moteur de recherche Chrome. On vous explique les dessous de cette décision.
Mardi 2 septembre, la justice fédérale américaine a rendu son verdict : Google échappe finalement à l'obligation de vendre son moteur de recherche Chrome. On vous explique les dessous de cette décision.
03.09.2025 à 12:33
Rénovation énergétique : et si ce n’était pas qu’une question d’argent ?
Urgence climatique oblige, les 350 millions de mètres carrés du bâti public doivent accomplir dans les prochaines années leur transition énergétique. Mais faute de ressources humaines et d’expertise en matière de rénovation, bien des élus renoncent à passer le pas. Comment créer les conditions d’une ingénierie publique à la hauteur du défi climatique ? Comment faire en sorte que les élus ne soient plus seuls face à la complexité des dispositifs ? Et si la transformation écologique du pays naissait justement dans ces lieux que l’on regarde trop rarement, les communes rurales ? On en parle avec Guillaume Perrin, directeur d’ACTEE.
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Urgence climatique oblige, les 350 millions de mètres carrés du bâti public doivent accomplir dans les prochaines années leur transition énergétique. Mais faute de ressources humaines et d’expertise en matière de rénovation, bien des élus renoncent à passer le pas. Comment créer les conditions d’une ingénierie publique à la hauteur du défi climatique ? Comment faire en sorte que les élus ne soient plus seuls face à la complexité des dispositifs ? Et si la transformation écologique du pays naissait justement dans ces lieux que l’on regarde trop rarement, les communes rurales ? On en parle avec Guillaume Perrin, directeur d’ACTEE.
03.09.2025 à 08:30
Climat : l’effondrement de ce mégacourant océanique est beaucoup plus probable que prévu
Affaibli par le dérèglement climatique, l’AMOC aurait bien plus de chances de s’arrêter que prévu, avertit une nouvelle étude. Un événement littéralement glaçant puisqu’il ferait chuter les températures en Europe jusqu'à -30 °C.
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Affaibli par le dérèglement climatique, l’AMOC aurait bien plus de chances de s’arrêter que prévu, avertit une nouvelle étude. Un événement littéralement glaçant puisqu’il ferait chuter les températures en Europe jusqu'à -30 °C.
02.09.2025 à 15:21
Anticorps démocratiques :
contre l'économie de l'attention, faut-il codifier l'éthique du débat ?
Comment sauver le débat public de lui-même ? Dans L'Unomie, Nicolas Muset, juriste spécialisé en droit public et lecteur d'Usbek & Rica, propose une innovation radicale : la constitutionnalisation de principes de bonne tenue des débats d'intérêt général. Cette « fiction juridique » dessine une ébauche de « savoir-dire » démocratique, pour neutraliser les logiques de polarisation extrême que l'économie de l'attention pousse à entretenir.
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Comment sauver le débat public de lui-même ? Dans L'Unomie, Nicolas Muset, juriste spécialisé en droit public et lecteur d'Usbek & Rica, propose une innovation radicale : la constitutionnalisation de principes de bonne tenue des débats d'intérêt général. Cette « fiction juridique » dessine une ébauche de « savoir-dire » démocratique, pour neutraliser les logiques de polarisation extrême que l'économie de l'attention pousse à entretenir.