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16.08.2025 à 19:17

Ligue 1: Lyon l'emporte à Lens et gâche les débuts de Thauvin

FRANCE24

Un but de Georges Mikautadze au bout de la première période a suffi au bonheur des Lyonnais, plus précis techniquement en attaque, et solides pour résister aux Lensois, frappés d'imprécision, comme la saison dernière. L'Olympique lyonnais ouvre donc par une victoire ce nouveau chapitre de son histoire, avec à sa tête non plus John Textor mais Michele Kang, qui a sauvé in extremis le club d'une relégation en Ligue 2 le mois dernier. Comme un symbole, l'OL tourne la page de cette époque en l'emportant contre son ancien entraîneur Pierre Sage, arrivé cet été sur le banc du club lensois après le départ, à la surprise générale, de Will Still au bout d'une seule saison. Désormais restreint financièrement pour recruter, Lyon a construit son succès avec ce qu'il avait déjà la saison dernière: le virevoltant Malick Fofana, le buteur Georges Mikautadze et le taulier du milieu de terrain Corentin Tolisso. Fofana a fait vivre un cauchemar au flanc droit lensois, prenant les défenseurs de vitesse le plus souvent, jusqu'à la fin de la première période, où, lancé en profondeur, il a donné un centre idéal à Mikautadze, lui aussi en avance sur son vis-à-vis (45e+1). Cruel pour Lens, qui était alors dans un temps fort, mais pas illogique au vu de la maîtrise technique supérieure des Lyonnais. Lens toujours stérile Pour sa première sur le banc du club de l'Artois, Pierre Sage a pu mesurer le travail qu'il lui faut accomplir. Le mal qui a rongé Lens la saison passée est toujours là: malgré 18 frappes (5 cadrées), plus que leur adversaire (11 frappes, 3 cadrées), les Artésiens n'ont jamais réussi à marquer. Malgré, aussi, les efforts de Florian Thauvin, qui a, un temps, apporter de la créativité et de la fraîcheur au jeu lensois, tout comme le jeune Anthony Bermont (20 ans) sur le côté gauche. Entré en jeu à la 57e minute sous les applaudissement nourris du Stade Bollaert, qui avait déjà acclamé son nom à l'annonce des équipes, Thauvin, champion du monde en 2018, a laissé entrevoir tout le bien qu'il pourrait faire aux Sang et Or. Numéro 10 dans le dos et dans l'esprit, il a tenté d'apporter du déséquilibre par les passes ou les dribbles, mais manque clairement de rythme. Mais rien n'y a fait. Le match a ressemblé à ce film déjà vu à de maintes reprises, avec des occasions, en vain, principalement de Wesley Saïd (9e, 42e, 65e) et Deiver Machado (21e, 45e, 45e+4). Tout n'est pas à jeter côté lensois: outre les bonnes entrées de Bermont et Thauvin, Rayan Fofana (19 ans) a démontré une bonne capacité à jouer en pivot, à la pointe de l'attaque, et Machado s'est démené. En face, Lyon a su tenir cette victoire loin de ses bases, mais il faudra en voir plus pour avoir une photographie plus complète de cette équipe.

16.08.2025 à 18:39

MotoGP: en Autriche, Marc Marquez remporte son 12e sprint de la saison

FRANCE24

Sur le circuit court du Red Bull Ring (4,35 km) niché dans les montagnes de Styrie - et sous un ciel qui s'est assombri au fil des tours -, le pilote espagnol Ducati a signé sa douzième victoire en sprint de l'année. "Seulement" quatrième sur la grille après avoir chuté lors des qualifications, l'ogre Marquez est rapidement remonté deuxième à l'extinction des feux. Installé dans la roue de son cadet alors leader, il a pris les commandes de la course à cinq tours de l'arrivée. "Je savais que Marc était plus rapide que moi, a reconnu Alex Marquez à l'arrivée, et quand il m'a dépassé il n'y avait plus rien à faire". Un autre Espagnol, Pedro Acosta (KTM), vient compléter le Top 3 de cette course de 14 tours seulement (contre 28 pour le GP dimanche), qui donne des points au championnat. Parti en pole position sur le tracé du Red Bull Ring, l'Italien Marco Bezzecchi a terminé quatrième au guidon de son Aprilia. Au championnat pilotes, Marc Marquez dispose désormais d'une avance de 123 points sur Alex, un écart qui monte à 180 points avec le troisième du général, son coéquipier chez Ducati Francesco Bagnaia. Bagnaia au tapis Bagnaia, double champion du monde 2022-2023, est le grand perdant du jour après avoir abandonné. Troisième sur la grille, l'Italien a totalement cafouillé son départ, tombant à la 14e place dans les premiers hectomètres de la course. Incapable de remonter dans la hiérarchie, le pilote a jeté l'éponge à la mi-course. "J'attends que les ingénieurs m'expliquent ce qui s'est passé, a indiqué Bagnaia. C'est assez étrange ce qui s'est passé, dès le tour de chauffe, je sentais quelque chose d'étrange". Le Français Johann Zarco (Honda-LCR) a fini neuvième après être parti 12e, devant le champion en titre Jorge Martin (Aprilia). L'autre Français de la grille, Fabio Quartararo (Yamaha), a franchi la ligne d'arrivée 11e. "C'est assez compliqué de constater à quel point on est lents sur ce circuit et de ne rien trouver" pour changer cela, a déploré le champion du monde 2021, seulement 16e sur la grille. "Il n'y a rien qui va ce week-end", a-t-il admis. Sixième victoire de rang en GP? La grille de départ du GP étant la même que celle du sprint, Marco Bezzecchi partira de nouveau en tête dimanche à partir de 14h00 devant Alex Marquez et Bagnaia, avec un risque de pluie et d'orages attendus. Le pilote Aprilia a signé samedi matin la cinquième pole position de sa carrière dans l'élite - sa première depuis 2023. Il a pourtant dû passer par les repêchages (Q1) plus tôt dans la matinée pour pouvoir participer à la deuxième partie des qualifications (Q2), où se joue la pole parmi les douze pilotes les plus rapides. Il a notamment bénéficié en fin de séance de la chute sans gravité de Marc Marquez, que l'on attendait logiquement devant tant l'Espagnol domine cette saison. Il tentera de décrocher dimanche une sixième victoire consécutive en GP, lui qui n'avait encore jamais gagné en Autriche. "Ce n'est qu'une course de sprint, ce n'est pas la course principale, mais ça fait plaisir de s'imposer ici, a réagi le vainqueur du jour. On verra bien si on peut réitérer cette performance (dimanche) mais ça ne sera pas facile". Passé comme Bezzecchi par les repêchages, Fabio Quartararo a en revanche manqué son ticket pour la Q2 et s'élancera encore d'une très lointaine sixième ligne, sa pire performance de la saison. En difficulté depuis le début du weekend, le champion du monde 2021 disait vendredi déjà s'attendre à vivre "l'un GP les plus compliqués de la saison" jusqu'à présent.

16.08.2025 à 18:37

En Alaska, Trump se fait voler la vedette par Poutine

FRANCE24

"Pour un homme doté d'un tel sens du spectacle, Trump, de manière inhabituelle, a laissé Poutine être la star de son spectacle", a commenté Kristina Berzina, experte du German Marshall Fund. Le président américain n'a pas décroché de concession de son homologue lors de cette rencontre qui devait dessiner une trajectoire de paix pour l'Ukraine après plus de trois années de guerre. Pendant de rapides déclarations conjointes à la presse, qui n'ont pas été suivies de la session de questions-réponses promise, Vladimir Poutine, parlant en premier, a pu dérouler son argumentaire habituel. Il a ainsi répété que "toute les causes profondes" du conflit devaient être "éliminées". Réservé Le président russe a réussi à écarter la conclusion d'un cessez-le-feu immédiat, réclamé par Kiev, au profit de négociations en faveur d'un accord de paix, pendant lesquelles l'offensive russe peut se poursuivre. Donald Trump se targue d'être un négociateur hors pair et recourt volontiers à l'intimidation quand il reçoit des dirigeants étrangers, le président ukrainien Volodymyr Zelensky en a fait la cuisante expérience. Sa rencontre avec le maître de Kremlin n'a certes pas été une redite du sommet de Helsinki en 2018. Donald Trump avait alors suscité un tollé politique en prenant pour argent comptant les dénégations de Vladimir Poutine dans une affaire d'ingérence électorale russe. Mais vendredi, l'ancien animateur de téléréalité de 79 ans s'est montré, en public tout du moins, réservé et parfois même un peu crispé. Mimiques Le président américain était chez lui, sur une immense base aérienne, entouré des avions de combat américains les plus sophistiqués. Pourtant, lors de leurs apparitions publiques communes pendant les quelques heures passées en Alaska, Vladimir Poutine a semblé plus décontracté, gesticulant, souriant, faisant des mimiques. Et Donald Trump, si prompt à transformer toute rencontre avec les journalistes en longue conférence de presse improvisée, n'a pas répondu à une seule question sur place. Il a réservé ses premières réponses après la rencontre au présentateur vedette de la chaîne Fox News Sean Hannity, dont il est proche. Jennifer Kavanagh, directrice des études militaires chez Defense Priorities, organisation qui prône le désengagement américain, a toutefois souligné que Donald Trump n'avait pas livré l'Ukraine sur un plateau au président russe, comme le craignaient certains. Elections "Il mérite la reconnaissance" pour ses efforts de médiation, juge-t-elle. Le milliardaire, fasciné par les régimes autoritaires, a lancé après la rencontre que Vladimir Poutine était "incroyablement dur". Le président américain a même estimé, pendant son échange avec Sean Hannity, que "l'une des choses les plus intéressantes" que Vladimir Poutine lui a dites portait sur... le système électoral, en l'occurrence la nécessité de supprimer le vote par correspondance. Le président russe, au pouvoir depuis plus de 20 ans et élu l'an dernier avec 88% des voix, aurait aussi assuré à Donald Trump qu'il avait "largement" remporté l'élection de 2020. Elle a été gagnée par Joe Biden, mais le républicain refuse de le reconnaître. Poulet frit En Alaska, Vladimir Poutine a par ailleurs assuré que si Donald Trump avait été au pouvoir, la guerre en Ukraine n'aurait certainement pas eu lieu. De quoi enchanter le président américain, qui répète que le conflit, déclenché par l'invasion russe de février 2022, n'a éclaté qu'à cause de la faiblesse de son prédécesseur démocrate. Gregory Meeks, élu démocrate siégeant à la Commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants, a jugé qu'en déroulant le tapis rouge, Donald Trump avait "blanchi les crimes de guerre de Poutine. C'est une honte". Le service de presse du gouverneur de Californie Gavin Newsom, bête noire du président républicain, a commenté la rencontre par un message moqueur rédigé en majuscules, imitant les diatribes de Donald Trump sur Truth Social. "Trump a fui l'estrade avec Poutine - pas de questions, rien! Pas d'énergie! On aurait dit qu'il venait de manger trois seaux de poulet frit avec Vlad", a écrit l'équipe du responsable démocrate sur X.

16.08.2025 à 17:54

Le Français arrêté au Mali est l'objet d'"accusations sans fondement", selon le Quai d'Orsay

FRANCE 24

Le Quai d'Orsay a indiqué samedi que le Français arrêté au Mali et accusé d'avoir participé à une tentative de déstabilisation des institutions est l'objet d'"accusations sans fondement", et qu'un "dialogue est en cours" pour obtenir sa "libération sans délai".

16.08.2025 à 17:33

Ligue 1: Au PSG, un physique en question

FRANCE24

La Supercoupe d'Europe disputée mercredi à Udine en a été le révélateur. Arrivé avec une petite semaine de travail dans les jambes, le PSG a souffert le martyre pour arracher la victoire contre Tottenham, vainqueur de la Ligue Europa mais seulement 17e de Premier League la saison dernière (2-2, 4 t.a.b. à 3). En déficit technique et incapables de mettre de l'intensité, les Parisiens ont été menés 2-0 jusqu'à la 85e minute avant de parvenir à renverser in extremis la situation face aux Spurs. "Pour être honnête, on ne mérite pas ce trophée. On a pu voir la différence entre une équipe comme Tottenham qui a eu six semaines d'entraînement et nous avec six jours", a ainsi lâché l'entraîneur du PSG après avoir glané le cinquième titre du club depuis le début de l'année (Ligue des champions, Supercoupe d'Europe, Ligue 1, Coupe de France, Trophée des champions). Le constat est implacable: le tenant de la C1 n'est pas au point, lui qui n'a bouclé son historique mais interminable exercice 2024-2025 que le 13 juillet sur une défaite en finale du Mondial des clubs contre Chelsea dans le New Jersey (3-0). "Retrouver le feeling" Dans ces conditions délicates pour un retour à la compétition, Luis Enrique se contente déjà amplement de la réaction d'orgueil de ses joueurs face à Tottenham. S'ils n'ont pas encore récupéré leur potentiel athlétique ni ce séduisant jeu collectif qui leur a permis de dominer l'Europe, les coéquipiers du capitaine Marquinhos n'ont rien perdu de leur rage de vaincre. "J'ai aimé la manière dont l'équipe s'est battue. Avec peu d'entraînement. La fin de match a été sensationnelle. Cela a été l'ADN l'année dernière, se battre tout le temps", s'est félicité le technicien espagnol, désireux de "continuer à marquer l'histoire". "Physiquement, on n'est pas encore prêt mais c'est notre force de caractère qui a fait qu'on est revenus" a déclaré en écho Ousmane Dembélé, passeur décisif et plus que jamais favori pour le Ballon d'Or. De quoi se montrer plutôt serein avant de se lancer dans la quête d'un 14e sacre national. "Tous les débuts de saison sont difficiles. C'est normal de ne pas être à 100%. Maintenant, on veut retrouver le feeling avec le ballon. Mais au fur et à mesure des entraînements, on va le retrouver. Je vois déjà l'amélioration après une semaine. Ce sont des problèmes qu'on doit dépasser", a expliqué Luis Enrique. Zabarnyi dans le groupe En manque de repères et de foncier, le PSG peut surtout s'appuyer sur sa supériorité en terme d'effectif sur le reste de la Ligue 1 pour tenter de négocier correctement les quatre premières journées (Nantes, Angers, Toulouse, Lens). Son calendrier ne s'emballera vraiment qu'avec le démarrage de la phase de ligue de la Ligue des champions (16-18 septembre), qui le verra affronter des adversaires d'un tout autre calibre. Les remplaçants habituels seront donc sans doute mis à contribution d'ici là comme en Supercoupe d'Europe avec les entrées en jeu décisives des deux buteurs, Lee Kang-in et Gonçalo Ramos, alors que Fabian Ruiz, qui a commencé sur le banc, et Joao Neves, suspendu, ont été quelque peu préservés au milieu. Le nouveau défenseur Illia Zabarnyi, qui sera pour la première fois dans le groupe parisien dimanche, devrait également être sollicité. L'Ukrainien de 22 ans a l'avantage d'avoir effectué une grande partie de la préparation estivale avec son ancien club de Bournemouth. Après une saison à rallonge sans blessure majeure, le PSG ne veut pas en payer le contre-coup dans les semaines qui viennent. "On analyse les temps de jeu, les entraînements, les voyages, tout ce qui est important pour la santé des joueurs. On cherche à planifier. Mais on doit aussi s'adapter. On a de l'expérience. C'est important la condition physique, mais la condition mentale (l'est) encore plus", a jugé Luis Enrique.

16.08.2025 à 16:57

L1: A l'OM, première défaite, premiers doutes, premières tensions

FRANCE24

. Retour sur terre Les six matches de préparation sans défaite, la victoire de prestige contre Aston Villa, l'enthousiasme des supporters, heureux des arrivées de Pierre-Emerick Aubameyang, Igor Paixao ou Facundo Medina et de voir Roberto De Zerbi, Adrien Rabiot ou Mason Greenwood poursuivre l'aventure, tout cela a été balayé en une seule soirée bretonne. Car à Rennes, l'OM est redescendu sur terre et a constaté que, comme la saison dernière, il n'avait pas de marge face aux bonnes équipes du championnat. Pourtant à 11 contre 10 pendant une heure, les hommes de De Zerbi se sont ainsi heurtés à l'excellente organisation de Rennes, qui a d'autant mieux résisté que Marseille n'a que très rarement accéléré le jeu, se contentant d'une inoffensive possession à bas tempo. Au bout du compte, les Olympiens ont touché deux poteaux, via Rabiot et Amir Murillo, mais ont surtout laissé Rennes trouver la cible, dans le temps additionnel, par Ludovic Blas. "Si on pense qu'on est plus fort qu'on ne l'est et que les buts vont tomber du ciel, alors on n'a rien compris", a regretté De Zerbi en conférence de presse. . Faiblesses récurrentes En gardant son coach italien et ses principaux cadres, Marseille pensait avoir enfin su trouver un peu de continuité. Problème: celle-ci semble aussi concerner les défauts déjà identifiés la saison dernière. L'attaque a ainsi manqué de tranchant, trop dépendante de Greenwood et des combinaisons élaborées côté droit. L'aile gauche a en revanche paru sinistrée en l'absence de Paixao, blessé, et d'un latéral naturel. La défense a également été régulièrement menacée dans la profondeur, là où elle a craqué sur le but de Blas avec un alignement approximatif de Leonardo Balerdi. Point faible identifié la saison dernière, cette arrière-garde, pénalisée par la suspension de Medina, est d'ailleurs apparue en plein chantier en Bretagne et De Zerbi semble encore chercher la bonne formule. Geoffrey Kondogbia a été réintégré en charnière avant de sortir à la pause, Murillo et Ulisses Garcia se sont succédé sans grand succès à gauche alors que la recrue Cj Egan-Riley, plutôt bon, a été déplacé de la droite à l'axe après le repos. De façon générale, le mercato marseillais, salué par les observateurs, a été largement inopérant en Bretagne avec Medina suspendu, Paixao blessé et Aubameyang et Angel Gomes sans impact. Avant le match, le directeur du football Medhi Benatia a évoqué plusieurs autres arrivées possibles: un arrière gauche, un défenseur central et peut-être un milieu de terrain. . Le ton monte La frustration née de la défaite et de ce match raté a ensuite provoqué un moment de forte crispation dans le vestiaire marseillais, comme l'ont révélé Ici Provence et RMC Sport et comme l'a confirmé à l'AFP une source au fait du déroulé de l'après-match. "C'était très électrique et le ton est vraiment monté", a expliqué cette source. Plusieurs cadres se sont exprimés de façon véhémente et une explication très tendue a opposé Rabiot et Jonathan Rowe. Dès la pause, le gardien Geronimo Rulli, très agacé, avait regretté de voir ses équipiers "ne rien faire de ce qu'on a travaillé cette semaine". En conférence de presse, De Zerbi a ensuite passé un message qu'il avait déjà martelé la saison dernière. "Tout le monde n'a pas encore compris qu'il y a une qualité qui est la plus importante: c'est l'équilibre, d'être toujours au même niveau, de motivation, d'envie, d'humilité, de sacrifice et de travail", a dit le technicien italien. Pour lui et ses joueurs, la réaction est attendue samedi au Stade Vélodrome, avec la réception du Paris FC.

16.08.2025 à 14:10

Volodymyr Zelensky à Washington lundi, Trump réclame "un accord de paix" en Ukraine

FRANCE 24

Volodymyr Zelensky est attendu lundi après-midi à la Maison Blanche, deux jours après un sommet très attendu en Alaska entre le président américain et son homologue russe Vladimir Poutine. Désormais, Donald Trump écarte un "cessez-le-feu" et plaide pour "un accord de paix" en Ukraine.

16.08.2025 à 13:33

Incendies: l'Espagne se consume dans le nord-ouest et l'ouest

FRANCE24

La Castille-et-Leon, la Galice, les Asturies et l'Extrémadure sont désormais les principaux foyers des feux de forêt. Pedro Sánchez, qui a participé samedi à une réunion de coordination sur les incendies "afin d'analyser leur évolution", a indiqué qu'après le départ de deux avions bombardiers d'eau prêtés par la France, "deux nouveaux avions-citernes Canadair italiens, fournis par le Mécanisme européen de protection civile, arrivaient à la base aérienne de Matacán (Salamanque)". "Le gouvernement continue à travailler pour lutter contre le feu avec tous les moyens à sa disposition", a-t-il indiqué sur le réseau social X, alors que la gestion des incendies alimente chaque jour un peu plus le débat politique. Une dizaine d'axes routiers restent coupés dans le pays, ainsi que la ligne de train entre Madrid et la Galice, en plein pont de l'Assomption. Les secours en Galice ont envoyé des messages d'alerte sur les téléphones, invitant la population de plusieurs dizaines de localités à se confiner. "Si vous recevez cette alerte: gardez votre calme et lisez attentivement le texte (...) Face à la progression des incendies, évitez tout déplacement inutile et restez chez vous. Si vous êtes à l'extérieur et que vous n'avez nulle part où vous confiner, éloignez-vous des zones touchées". Près de 3.500 militaires de la UME (Unité militaire d'urgence), appelée à la rescousse en cas de graves incendies, sont dispatchés sur les différents feux préoccupants. La Castille-et-Leon, par la voix de son président régional, Alfonso Fernández Mañueco (PP, conservateur) a demandé au gouvernement central du socialiste Pedro Sánchez, "face à une situation exceptionnelle due aux conditions météorologiques extrêmes et à la multiplication des incendies, (...) une réponse exceptionnelle: en plus des unités régionales et de l'UME, nous avons besoin de davantage d'effectifs de l'armée à la disposition des régions". L'Extrémadure a également fait une demande officielle de renforts au gouvernement central, dans un pays où l'extinction des incendies relève en principe de la compétence des régions, le gouvernement central n'intervenant qu'en cas de sinistre de grande ampleur. La région a aussi réclamé la réactivation du Mécanisme Européen de Protection Civile demandant 100 camions de pompiers, 10 hélicoptères légers et 10 hélicoptères amphibies. L'Espagne devrait rester en alerte chaleur jusqu'à lundi, et ces températures extrêmes ont très fortement augmenté le risque d'incendies. La fumée provenant des incendies de forêt en Espagne et au Portugal est arrivée au-dessus du Royaume-Uni, indique le service météorologique Met Office sur X. Dans un communiqué, le service explique que la fumée "continuera de se déplacer au-dessus de certaines régions du Royaume-Uni pendant le week-end et rendra le ciel brumeux/laiteux par moments". Depuis le début de l'année, plus de 157.000 hectares ont été réduits en cendres en Espagne, selon la carte en temps réel du Système européen d'information sur les incendies forestiers (Effis).

16.08.2025 à 12:35

Au lendemain du sommet en Alaska, Macron appelle à maintenir la pression sur Moscou

FRANCE 24

Le président français Emmanuel Macron a appelé samedi à maintenir "la pression" sur la Russie tant "qu'une paix solide et durable, respectueuse des droits de l'Ukraine n'a pas été conclue".
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