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19.04.2025 à 10:49

24 Heures motos: Yamaha en pole au Mans, Suzuki à ses trousses

FRANCE24

L'an dernier, les honneurs étaient revenus au Yoshimura SERT qui avait offert à Suzuki un 15e succès record en Sarthe, avec ses pilotes franco-britanniques Gregg Black, Etienne Masson et Dan Linfoot (blessé et remplacé par le Japonais Cocoro Atsumi ce week-end). L'équipe franco-japonaise entend bien remporter dimanche une deuxième victoire de rang sur la célèbre course de motos pour faire honneur à son statut de numéro 1. Si sa rivale, la Yamaha N.7 Yamaha Austria Racing Team (YART), s'écarte de sa trajectoire - car, pour l'heure, c'est elle qui lui vole la vedette. Troisième des "24 Heures" l'an dernier, la disette n'a que trop duré pour le YART. L'équipe autrichienne ne s'est plus imposée au Mans depuis 2009 et ce en dépit de quatre pole positions glanées entre 2020 et 2024. Elle partira encore en tête de cette nouvelle édition après avoir dominé jeudi et vendredi les essais qualificatifs, s'offrant au passage le record du tracé Bugatti, au nez et à la barbe... de la Suzuki N.1. "On a vu par le passé qu'être en pole, ça ne s'est pas toujours très bien terminé pour nous, se rassure Gregg Black, et chaque fois que nous étions deuxièmes au départ, on a gagné". Le Français, un temps recordman du circuit vendredi, a rapidement été délogé de son piédestal par l'Allemand Marvin Fritz, du YART. Mathieu Kassovitz au départ Sur le papier, si les deux machines japonaises sont favorites pour la victoire, elles sont loin d'être intouchables, car le plateau est dense. Au total, 53 équipages - dont 18 dans la catégorie reine et 31 en Superstock, où s'alignent des engins plus proches de la série - s'élanceront sur le circuit Bugatti. Le départ sera donné par l'acteur et réalisateur français Mathieu Kassovitz à 15h00 (13h00 GMT). Les équipes s'élanceront "à l'ancienne", en courant casqués d'un côté de la piste vers l'autre où leurs motos seront placées en épi. La Honda N.4 du Tati Team partira troisième, devant la BMW N.37 du Motorrad World Endurance Team, quatrième. Aux avant-postes lors des essais de pré-saison, le constructeur allemand est apparu plus en retrait lors des essais qualificatifs. "Nous avons eu quelques problèmes," a reconnu à l'AFP le manager du Motorrad World Endurance Team, Werner Daemen, qui espérait être "dans le Top 3". "Nous avons essayé des réglages différents, mais nous allons repasser à ceux des essais", a-t-il encore dit. Face à la meute habituelle des constructeurs nippons, BMW - seul représentant non japonais parmi les constructeurs engagés dans l'élite - veut être la première marque européenne à remporter les 24 Heures motos. Depuis la première édition en 1978, le palmarès est un monopole japonais sur le tracé manceau. "L'année dernière, nous étions deuxièmes et l'année précédente, troisièmes. Nous espérons maintenant gagner Le Mans", aspire le dirigeant belge. Jusqu'à dimanche, les pilotes seront confrontés à des températures relativement fraîches et de la pluie, attendue au départ. De quoi pimenter la ronde de 24 heures dès l'extinction des feux ?

19.04.2025 à 10:47

Vance reçu au Vatican après les critiques du pape sur la politique migratoire américaine

FRANCE24

Fervent catholique, JD Vance est arrivé peu avant 10H00 (08H00 GMT) au palais apostolique avec sa délégation pour s'entretenir avec le cardinal italien Pietro Parolin ainsi que Mgr Paul Richard Gallagher, secrétaire pour les relations avec les États. M. Vance, converti au catholicisme à 35 ans, espère également rencontrer le pape François, en convalescence après une grave pneumonie et qui devrait apparaître dimanche en marge de la messe de Pâques bien que sa présence n'ait pas été officiellement confirmée. Des fractures idéologiques profondes séparent les deux hommes: le chef des 1,4 milliard de catholiques prône une Eglise plus ouverte et défend l'accueil des migrants tandis que M. Vance veut faire de son pays une forteresse aux valeurs conservatrices. En février, François s'était attiré les foudres de la Maison Blanche en condamnant, dans une lettre aux évêques américains, les expulsions massives de migrants voulues par Donald Trump, qualifiées de "crise majeure". "Ce qui est construit sur le fondement de la force, et non sur la vérité de la dignité égale de tout être humain, commence mal et finira mal", avait-il prévenu. En 2024, le souverain pontife avait déjà fait une rare incursion dans la campagne électorale américaine en qualifiant de "folie" les attitudes hostiles aux migrants et en critiquant les personnalités catholiques américaines de droite pour leurs positions trop conservatrices. M. Vance est proche de la frange conservatrice de l'Eglise américaine, très critique envers le pape argentin pour ses positions sur les migrants, les fidèles LGBT+ ou certaines questions de justice sociale. Arrivé vendredi à Rome pour le weekend pascal, M. Vance a rencontré la Première ministre italienne Giorgia Meloni. Il s'est ensuite rendu à la basilique Saint-Pierre, accompagné de son épouse Usha et de leurs trois enfants, pour assister à l'office de la Passion du Vendredi saint, qui commémore la mort du Christ sur la Croix.

19.04.2025 à 10:45

Frappes américaines au Yémen contre les combattants houthis: 80 morts

FRANCE24

Le bilan continue de s’alourdir au Yémen après les bombardements menés par les États-Unis contre les combattants houthis. Au moins 80 personnes ont été tuées lors de ces frappes, parmi les plus intenses depuis le début des opérations américaines et alliées contre les Houthis. Ces derniers mènent régulièrement des attaques contre Israël ou des navires en mer Rouge, affirmant agir en soutien à la population de Gaza.

19.04.2025 à 10:31

Favoriser l'achat de produits bio pour protéger la femme enceinte et son bébé

FRANCE24

La future maman, âgée de 25 ans et habituée d'ordinaire aux supermarchés, bénéficie du programme "Jeunes pousses" lancé fin mars, inspiré d'initiatives similaires ailleurs en France. Vingt-cinq femmes enceintes de plus de trois mois bénéficient pendant six mois de 15 euros par semaine pour acheter des fruits et légumes bio chez des producteurs locaux. Des ateliers de sensibilisation à la santé environnementale, à la cuisine et à la diététique complètent le dispositif. "L'objectif est de convaincre les femmes enceintes de la nécessité absolue d'avoir une alimentation de qualité", souligne Marc Maigné, vice-président de la communauté d'agglomération chargé du contrat local de santé. "Les 1.000 premiers jours de la vie, dès la conception, sont les plus dangereux" pour l'enfant. "Il est important qu'il soit exposé le moins possible aux produits chimiques de synthèse, dont les pesticides et les perturbateurs endocriniens", ajoute-t-il. Les sages-femmes du territoire ont fait connaître le programme. "J'ai tout de suite été intéressée. J'ai pris conscience que je mangeais aussi pour mon bébé et j'ai envie de mieux m'alimenter", témoigne Cassandra Fleury. "Je découvre des producteurs locaux près de chez moi, qui me permettent d'éviter les pesticides. C'est tout bénef !", estime la jeune femme. Changer les habitudes Même enthousiasme chez Marine Serpette, qui attend son deuxième enfant. Cette femme de 33 ans, enceinte de sept mois, admet avoir une "alimentation pas très variée". Son chéquier en poche, elle achète désormais ses légumes aux Jardins de l'Aubreçay, près de chez elle. "Il n'y a que du positif dans ce programme. Les produits sont de qualité, on me donne plein de conseils pour cuisiner", apprécie celle qui voudrait "garder l'habitude de venir" après son accouchement. Les maraîchers saluent aussi l'initiative. "Cela permet de sensibiliser. Les gens viennent souvent au bio quand ils deviennent parents mais j'espère que leur consommation changera sur le long terme", souligne Pierre-François Robin, cogérant de la ferme Les Enfourneaux, à Saint-Xandre (Charente-Maritime), où s'approvisionne Cassandra. "C'est une façon d'apporter notre pierre à l'édifice sur un territoire particulièrement touché par les cancers pédiatriques", abonde Boris Georges, des Jardins de l'Aubreçay. Une étude récente a révélé un risque accru pour ces pathologies en plusieurs endroits de Charente-Maritime, où la pollution aux pesticides agricoles est régulièrement dénoncée. Notamment dans la plaine céréalière d'Aunis, près de La Rochelle, où des résidus de produits phytosanitaires ont été retrouvés dans les cheveux et urines de dizaines d'enfants. Proposition de loi La collectivité rochelaise s'est inspirée de "l'ordonnance verte" expérimentée à Strasbourg depuis plus de deux ans et qui a déjà essaimé en France, de Caen à Lons-le-Saunier en passant par Angoulême. La métropole alsacienne, pionnière, touche désormais 1.500 femmes enceintes ou en parcours de procréation médicale assistée (PMA). "L'expérience de Strasbourg n'a que des vertus positives. Elle sensibilise les femmes enceintes et fait fonctionner l'économie locale", juge Sandra Regol, députée EELV du Bas-Rhin. Elle a déposé en septembre une proposition de loi visant à généraliser une ordonnance verte financée par l'État, sur le budget de la Sécurité sociale. "C'est de la politique de prévention sur le long terme", justifie l'élue. En partant du budget strasbourgeois et du nombre de naissances national, la parlementaire chiffre le besoin de financement annuel autour de 700 millions d'euros, en intégrant le coût des séances avec les écoconseillers en santé qui seraient confiées aux services départementaux de la protection maternelle et infantile. "En comparaison, les coûts engendrés par l'exposition aux perturbateurs endocriniens atteindraient près de 160 milliards d'euros au niveau européen", indique la proposition de loi que soutient l'association Alerte des médecins sur les pesticides, basée à Limoges. "Nous plaidons pour la mise en place d'ordonnances vertes dans tout le pays, en s'inspirant du modèle de Strasbourg qui est le plus abouti. Nous voulons qu'elles s'inscrivent dans la loi, c'est un enjeu de santé publique", souligne son coprésident, Pierre-Michel Périnaud, pour qui "l'exposition aux pesticides pendant la grossesse fait partie des angles morts de la prévention".

19.04.2025 à 10:15

"Les inspirations sont plus fortes que nous": -M- de retour à "Lamomali"

FRANCE24

"Au départ, j'étais pas très partant, j'aurais trouvé désastreux de faire une pâle copie", relate dans un entretien à l'AFP le guitariste-chanteur Matthieu Chedid, que des forces supérieures ont fini par convaincre. "Les inspirations sont plus fortes que nous", philosophe-t-il depuis son home-studio parisien où il avait, avec la chanteuse Fatoumata Diawara, fabriqué le premier "Lamomali", carton en 2017 (300.000 albums vendus). Leur nouvel opus, "Lamomali Totem", doit beaucoup à la force de persuasion d'une légende de la musique malienne: Toumani Diabaté, qui avait déjà mêlé les cordes de sa kora à celles de -M- sur le premier "Lamomali" aux côtés de Youssou N'Dour, Jain ou Seu Jorge. "Si j'avais écouté mon petit raisonnement de blanc, j'aurais pas forcément été sur ce deuxième album", dit -M-. "Mais c'était beaucoup plus fort que ça. L'envie venait d'abord du Mali". Et de Toumani. "Matthieu a été choisi parce que, c'est le griot blanc", plaisante Fatoumata Diawara, qui a co-composé plusieurs titres. "Au Mali, la musique chez les griots est transmise dans les familles de père en fils, un peu comme chez les Chedid". "Mets tes guitares" C'est en rencontrant Toumani Diabaté à Bamako en 2015 que -M- avait eu l'audace d'enjamber les frontières franco-maliennes. "Je n'aurais jamais osé +popiser+ avec la kora", raconte-t-il. "J'ai beaucoup trop de respect pour cette musique. Mais c'est Toumani qui m'a dit +vas-y Matthieu, mets tes guitares+". Pour "Lamomali Totem", M a repris ces expérimentations afro-pop, conviant l'étoile montante Yamê, Patrick Watson ou Angélique Kidjo. Mais Toumani Diabaté n'a jamais pu les découvrir: il est décédé brutalement en juillet 2024, à 58 ans. "Il devait venir écouter les enregistrements deux semaines après, se souvient Matthieu Chedid. Je ne lui avais rien envoyé parce que je voulais lui faire la surprise..." L'opus renferme donc les dernières notes de kora de Toumani Diabaté mais aussi les ultimes riffs du guitariste Amadou Bagayoko, moitié du duo Amadou et Mariam, mort début avril. "Un être rare et un guitariste inouï", selon -M-. D'autres proches disparus --le musicien Philippe Zdar, le producteur Marc-Antoine Moreau qui avait découvert Amadou et Mariam -- hantent aussi ce "Totem" testamentaire, qui invite pourtant à la danse et à la fête. "Être explosif et solaire, c'est très important pour nous", analyse -M-. "C'est ce qu'on veut envoyer au monde". Et sur scène, où le collectif Lamomali va déferler cet été jusqu'à deux dates parisiennes en décembre. L'album est joyeux mais -M- n'ignore rien des tempêtes que le Mali a traversées entre les deux "Lamomali". En 2020 et 2021, le pays a connu deux coups d'Etat qui ont placé à sa tête une junte militaire et doit encore faire face à des attaques jihadistes. "Il y a des réalités géopolitiques mais on met surtout la lumière sur la beauté de ce pays et de la culture, sans être du tout ignorant", estime-t-il. Dans le morceau "Il neige à Bamako" transparait ainsi sa crainte de ne jamais revoir la capitale malienne, couplée à une petite note d'espoir: "Reverrai-je Bamako ?/ Les maquis, les motos / Rêver c’est déjà beau". Le nouveau "Lamomali" se rêve lui-même en antidote au pessimisme ambiant en prônant l'amour, sans craindre de tomber dans le cliché. "Donner de l'amour, c'est la chose la plus difficile", rétorque Fatoumata Diawara. "Les gens n'y arrivent pas comme ça et c'est à nous, artistes, de rappeler que tu peux partager, que tu peux donner et que ça ne fait pas de toi quelqu’un de faible".

19.04.2025 à 10:05

En Guadeloupe, la montée en gamme du tourisme freinée par les réalités du terrain

FRANCE24

L'effort de montée en gamme est bien réel pourtant. En 2023, le tourisme guadeloupéen a enregistré plus de 650.000 arrivées, encore largement porté par la clientèle hexagonale, selon le dernier bilan économique de l'Insee paru en juin. Le comité du tourisme des Îles de Guadeloupe (CTIG) mise désormais sur des visiteurs fortunés venus de l'étranger, moins sensibles à la flambée des prix des billets d'avion. "On sait qu'on a un réservoir de clientèles allemande ou suisse", affirme Rodrigue Solitude, directeur par intérim du CTIG. Le cœur du marché étranger reste toutefois nord-américain, notamment canadien francophone, avec près de 40% des visiteurs étrangers selon l'Insee. Depuis 2020, la région, appuyée par des fonds européens, a renforcé son soutien à la montée en gamme de l'hébergement touristique, en finançant la rénovation de gîtes classés et le développement de projets hôteliers ambitieux. Le plus emblématique, un hôtel-spa sous l'enseigne Pullman du groupe Accor, est en construction au Moule, sur la côte atlantique, après avoir longtemps été à l'arrêt faute de financement. Un hôtel quatre étoile à destination de la clientèle d'affaire est aussi prévu près de l'aéroport international Maryse-Condé, qui doit être modernisé à l'horizon 2030. Des services fragiles "Il y a une montée en gamme nette sur les villas de luxe en Guadeloupe", se réjouit Olivier Falise, directeur d'une agence de voyage spécialisée dans le haut de gamme. Mais l'offre peine encore à suivre la demande. Conciergerie, gastronomie, loisirs nocturnes parfois minés par des faits divers violents: plusieurs pans de l'expérience haut de gamme peinent à répondre aux standards internationaux. À ces failles s'ajoutent des handicaps structurels: coupures d'électricité, pannes d'eau courantes, plages parfois interdites à la baignade à cause de pollutions bactériologiques. "Tant qu'on n'aura pas d'eau, l'économie et le tourisme en pâtiront", a averti mi-mars Patrick Vial-Collet, président de la chambre de commerce et d'industrie guadeloupéenne, lors d'une visite du ministre des Outre-mer Manuel Valls. Autre difficulté, pointée par les professionnels, la rareté de l'usage de l'anglais dans les services touristiques. "Cette clientèle est exigeante. Il ne faut pas la décevoir, ni survendre la destination si les services ne suivent pas", reconnaît le CTIG. Enfin, la montée en gamme suscite des crispations locales. La construction de villas de luxe, concentrées sur le littoral, est accusée de faire grimper les prix de l'immobilier. À Capesterre-de-Marie-Galante, la hausse atteint 67% en cinq ans et à Saint-François, commune prisée du nord, 37% en cinq ans également, selon plusieurs baromètres immobiliers. Une tendance qui aggrave la pression foncière dans un territoire où plus de 30% de la population vit sous le seuil de pauvreté. L'essor de la plaisance n'est pas en reste mais faute d'infrastructures suffisantes, les bateaux s'accumulent dans les baies sans réglementation claire. À Bouillante, la commune a annoncé la création de 150 mouillages écologiques pour tenter d'endiguer la saturation.
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