Cette décision a été prise lundi en référé, avant de juger le fond du débat, d'ici à juin 2026. Mais, d'après la juridiction, la commercialisation des "pouches" peut déjà être interdite sur la base du Code de la santé publique.
"Si ces droits de douane devaient s'avérer définitifs, une partie du marché de l'export français vers la Chine va carrément se fermer", a réagi lundi le patron de la Fédération nationale de l’industrie laitière.
Le cabinet d'Annie Genevard évoque lundi soir un "délai de montée en puissance de 21 jours" du vaccin, qui pourrait expliquer la maladie de l'animal malgré l'injection.