Au lendemain de l’accord trouvé entre Kiev et les États-Unis pour un cessez-le-feu total, tous les regards sont désormais tournés vers la Russie. Vladimir Poutine va-t-il accepter ?
Au programme du Talk de franceinfo sur Twitch du mercredi 12 mars, la perspective d'un cessez-le-feu en Ukraine et ses implications géostratégiques, puis les défaillances de l'administration françaises dans les affaires de violences faites aux enfants.
L'import de ces matériaux aux Etats-Unis est frappé depuis mercredi d'une taxe de 25%. L'Union européenne annonce des mesures de rétorsion d'une valeur similaire mi-avril.
Après les pourparlers avec les États-Unis en Arabie saoudite, Kiev s’est dit "prête pour la paix". La balle est désormais dans le camp du Kremlin qui dit attendre d’être officiellement informé par Washington de sa proposition de cessez-le-feu de 30 jours.
La porte-parole du gouvernement, Sophie Primas, a répondu aux critiques de la cheffe de file des députés RN, Marine Le Pen, sur la stratégie d'Emmanuel Macron.
L'Europe pourrait-elle faire front commun en cas de conflit avec la Russie ? Rien d'évident, pour de simples raisons logistiques. Taille des rails ou des ponts, poids des chars... Un récent rapport de la Cour des comptes européenne épingle les moyens insuffisants et la gouvernance de l’UE en matière de mobilité militaire.
Il est possible de filmer les procès en France, mais sous conditions. En Belgique, la loi est bien plus simple et des producteurs de télévision en ont fait un programme.
L'Ukraine a donné son accord à une proposition de cessez-le-feu de 30 jours et Washington a levé la suspension de son aide à Kiev, à l'issue de ces premiers pourparlers depuis l'échange tendu entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky.
Le RN ne votera pas la résolution sur l'Ukraine examinée mercredi à l'Assemblée natonale. Si Marine Le Pen condamne l’agression russe dans les mots, dans les faits le Rassemblement national a refusé d’approuver la plupart des aides financières et militaires destinées à Kiev.
La diffusion des procès à la télévision soulève des questions sur l'accessibilité de la justice. Alors que certains voient cela comme un moyen de rapprocher les citoyens d'une institution parfois obscure, d'autres dénoncent un voyeurisme.