Coauteur d’un livre-enquête sur le sujet, le journaliste Paul Deutschmann explique aux « Jours » comment des groupes criminels ont infiltré l’industrie de la musique.
Durant des années, le bureau syrien de l’ONG a admis dans ses orphelinats des enfants de détenus. Depuis la chute du régime, l’organisation est dans la tourmente.