Sur Paramount+, la nouvelle création du prolixe Taylor Sheridan suit la même recette que les précédentes («Yellowstone», «Tulsa King»…) avec son parangon de mâle américanité qui se heurte au monde moderne. Mais cette fois, on traîne des santiags.
Proposée à la vente de la prestigieuse maison la semaine prochaine, une nature morte signée Valadon, issue d’un vol cet été à Paris, a finalement été retirée jeudi 21 novembre du catalogue.
Le romancier a animé un atelier d’écriture dans la prison parisienne. «On est le mauvais garçon qu’on peut» est une plongée dans ce monde à part, avec des pas de côté, comme lorsque l’auteur introduit en fraude des kebabs, félicité par un détenu : «Nico, t’es un bon.»
Inexorablement, la frénésie du téléphone portable tue la fête au point que de plus en plus d’événements multiplient les initiatives afin de limiter leur utilisation.
L’auteur américain sort en France «Dogrun», publié aux Etats-Unis en 2000, un roman qui tourne à la même énergie fracassée que «Fuck Up», cultissime récit inaugural de son œuvre.
Véritable matière vivante dans les palettes, les organismes mystérieux des sous-bois et leur caractère intersectionnel et émancipateur passionnent les artistes. Survol de la création contemporaine entre expérience immersive, parfums, sculptures et photos.
Le romancier de 75 ans a été arrêté samedi 16 novembre à son arrivée à l’aéroport d’Alger. Emmanuel Macron s’est dit «très préoccupé» par la disparition de l’écrivain, connu pour ses positions très critiques envers le pouvoir algérien.
Dans le nouveau roman de l’autrice britannique Rachel Cusk, des artistes ou des personnes de leur entourage se trouvent mêlés à des choses violentes, curieuses, déstabilisantes.
Une «Anthologie» montrant que les imbéciles éventuellement clairvoyants que sont les personnages habituels du dessinateur assassiné seraient souvent à leur place dans le monde d’aujourd’hui.
Affaibli par une baisse progressive des subventions et une fréquentation en berne, le festival créé en 2005 à Vendôme, avant d’être délocalisé à Blois lors des deux dernières éditions, a été placé en liquidation judiciaire.
Une pièce de joaillerie, «Via Vitae» de l’orfèvre parisien Joseph Chaumet, estimée à plusieurs millions d’euros, a été volée jeudi 21 novembre lors d’une attaque à main armée dans un musée d’art sacré de Saône-et-Loire. L’œuvre est classée trésor national par le ministère de la Culture et est estimée à plusieurs millions d’euros.
A l’instar de la Belgique, la France doit se doter d’une loi qui encadrerait la restitution des biens culturels liés à son passé colonial dans un esprit de mémoire partagée. Les musées ne peuvent plus continuer de conserver des objets mal acquis, pointe l’avocat Pierre Noual.
Chaque mois, la Bibliothèque nationale de France met en lumière une œuvre d’écrivaine méconnue, à télécharger gratuitement dans Gallica. Aujourd’hui, «les Pensées d’une reine» de la souveraine de Roumanie, qui emprunte son nom de plume à la nature.
Rencontre avec l’acteur et metteur en scène, qui convoque les fantômes de la dictature dans «Portait de l’artiste après sa mort» au théâtre de la Bastille et observe depuis la France, entre colère et inquiétude, la présidence de Javier Milei.
La réélection de Donald Trump a remis en lumière le concept flou censé désigner une gauche intellectuelle et militante trop focalisée sur les questions de discriminations. Décryptage.
Un rapport du Sénat publié récemment s’alarme de la multiplication des entraves aux libertés de création des artistes et de diffusion des programmateurs. Des pressions exercées par un nombre croissant d’élus locaux ou de préfets. La ministre de la Culture, Rachida Dati, annoncera des mesures d’ici la fin du mois.
Pour la double exposition «Chaque vie est une histoire», treize artistes de tous horizons ont été invités à s’approprier les espaces du musée parisien, symbole de l’Empire colonial. L’occasion aussi de découvrir une très belle collection d’œuvres débutée il y a vingt ans.
Bien qu’elle fasse toujours salle comble, la scène historique de la capitale a annoncé mercredi 20 novembre qu’elle pourrait faire faillite à la fin de l’année 2025 à cause de sévères coupes budgétaires souhaitées par le Sénat.
Dans un ouvrage collectif dirigé par Valérie Rey-Robert, six autrices déconstruisent la notion de vulgarité, «outil puissant de contrôle social» utilisé «pour marquer les femmes des classes populaires comme déviantes ou inférieures».
Situé 10 000 ans avant les événements du best-seller de Frank Herbert, le spin-off inerte et purement décoratif retrace sur Max l’essor d’un ordre politico-religieux à l’influence tentaculaire.
L’archevêque de la capitale des Flandres a décommandé l’artiste qui devait faire la première partie du concert de Thierry Amiel, le 8 décembre, dans la cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille. Son apparence et le contenu de ses textes ont motivé l’annulation, ce que l’Eglise peine à démentir.
Inspirée du roman de Jack London, la pièce très attendue de la metteuse en scène force sur le didactisme malgré la formidable Camille Léon-Fucien dans le rôle-titre d’une autrice-blanchisseuse et un texte pertinent sur une transfuge de classe. En tournée jusqu’à mai.
Le romancier et essayiste de 75 ans, qui a obtenu la nationalité française cette année, venait d’arriver à Alger. Il est censuré en Algérie du fait de son travail très critique du pouvoir en place.
Dans un formidable roman noir, l’écrivain et enseignant joue avec tous les codes du genre pour nous projeter dans la France de 1986, quand marchands d’armes et partis politiques entretenaient des relations opaques.
L’auteur franco-algérien est poursuivi depuis août par l’Organisation nationale des victimes du terrorisme et par une survivante d’un massacre d’islamistes qui l’accusent d’avoir utilisé le dossier médical de cette dernière pour écrire son roman «Houris».
«Libé» vous guide dans les pièces ou spectacles de danse à voir, à Paris ou en régions. Avec aussi : du cirque, avec «Ombres portées» de Raphaëlle Boitel, et de la danse avec «D’après une histoire vraie…» de Christian Rizzo, et le festival du Théâtre National de Bretagne à Rennes.
Avec «le Mystère de l’armoire de fer», l’ex -directeur de la rédaction de «Libération», qui écrit la suite des aventures de Nicolas le Floch, continue à nous immerger dans ces années révolutionnaires.