Dans son nouveau recueil de nouvelles, l’écrivaine féministe de Macédoine du Nord poursuit sa satire de la famille et questionne les illusions de l’émigration.
Le professeur émérite au Collège de France Antoine Compagnon utilise sa connaissance de l’œuvre et de l’homme dont il fut proche pour étudier Roland Barthes sous un angle original, la commande.
A travers les lubies et pièges amoureux de ses personnages masculins, l’autrice turque Ayfer Tunç révèle dans ses nouvelles les douleurs muettes des femmes dans son pays.
Dans une tribune publiée jeudi 27 avril dans «L’Humanité», 400 auteurs de bande dessinée menacent de ne pas prendre part à la prochaine édition du festival. Ils dénoncent un projet de fusion avec la société controversée 9eArt +.
La soprano, qui a quitté l’opéra pour se consacrer à la comédie musicale, se produit à la Philharmonie de Paris ces vendredi et samedi dans «Gypsy», de Stephen Sondheim et Jule Styne. L’occasion de revenir sur sa carrière éclectique.
Morte mercredi 16 avril à Gaza lors d’une frappe israélienne en même temps que plusieurs membres de sa famille, la jeune femme de 25 ans est la protagoniste du film «Put Your Soul on Your Hand and Walk» de Sepideh Farsi, qui sera projeté dans la sélection de l’Acid du Festival, en mai.
L’auteur norvégien nous fait revivre la traque des espions alliés chargés de découvrir le développement par les Allemands de fusées destinées à anéantir Londres.
Le chorégraphe présente le magistral «Helikopter», une reprise de la composition de Stockhausen, et sa nouvelle création «Licht» où une dizaine de danseurs s’unissent sur une partition électro de Laurent Garnier, cette fois plus proche du peep show que du paradis.
Le Syndicat des musiques actuelles révèle dans une enquête publiée mercredi 16 avril une baisse de la fréquentation dans plusieurs structures du secteur musical, ainsi que des annulations de dates et des suppressions de postes, consécutives aux rabots sur le budget de la culture.
Dans une enquête captivante, le journaliste Patrick Radden Keefe détaille les rouages des migrations de la Chine vers les Etats-Unis dans les années 90. Il dresse un portrait nuancé de la femme qui en orchestrait le trafic.
La saison 2 du mockumentaire, qui sort le dimanche 20 avril, est un générateur renversant de vertiges conceptuels et philosophiques à nul autre pareil, entre exaltation cérébrale et sommet de comédie cringe.
La première traduction complète des «Brouillons» vient rendre compte de l’ampleur de la pensée du philosophe allemand doué d’un immense goût du savoir, loin de sa réputation de simple faiseur d’aphorismes.
Dans le cadre d’une enquête en trois volets consacrée aux accusations visant l’artiste, «Libération» revient sur l’une des pierres angulaires de son mode opératoire : la participation de ses victimes à l’élaboration de ses œuvres.
A travers des témoignages inédits, «Libération» dissèque l’emprise de cette icône de l’art contemporain. Plusieurs hommes abusés par l’artiste dénoncent pour la première fois des faits non prescrits, ouvrant la possibilité d’un procès.
«Libé» vous guide dans les sorties cinéma de ce mercredi 16 avril avec aussi «le Mélange des genres», «Festa Major», «Kyuka», «Comment devenir riche (grâce à sa grand-mère)» , «Lettres siciliennes» et «Dimanches». Bandes-annonces à l’appui.
Le beau film de Jean-Baptiste Alazard rend hommage à son village occitan, où, à la faveur d’une cérémonie ancestrale, ses habitants se reconnectent à leurs racines entre spiritualité et ivresse de toutes sortes.
Sensible, ingénieuse et inventive, la réalisation de l’autodidacte Kostis Charamountanis apporte, à un récit de vacances en famille, une profondeur inattendue.
A la suite des annonces de la sélection officielle, la Semaine de la critique, la Quinzaine des cinéastes et l’Acid ont toutes révélé leur programme pour cette 78ᵉ édition, qui se tiendra du 13 au 24 mai 2025.
Les films de deux jeunes cinéastes, l’un Ouzbek, l’autre Thaïlandais, dépeignent les relations, ou leur absence cruelle, entre petits-enfants et aieux.
Plastiquement stupéfiant, le long métrage d’Athiná Rachél Tsangári dépeint le tiraillement au cœur d’un village de l’Ecosse médiévale menacé par la venue d’un seigneur aux prétentions capitalistes.
La cinéaste revient sur son histoire familiale qui a motivé son long métrage, la ferme détruite de ses grands-parents en Grèce. Et des conditions de tournage en Ecosse, pensées comme une troupe de théâtre, «cohérente politiquement avec le sujet traité».