Déjà fragilisés par un traité de libre-échange noué entre l’Union européenne et des Etats des Caraïbes, les agriculteurs de Martinique et de Guadeloupe craignent l’alliance économique décriée avec les pays sud-américains.

Depuis lundi 25 novembre, l’accès à l’eau est une nouvelle fois réduit sur l’archipel pour faire face, disent les autorités, à une hausse de la consommation. Le robinet est désormais coupé jusqu’à deux jours et demi par semaine chez les Mahorais.

Alors que le tribunal administratif se penche sur le fond du dossier de l’autoroute Castres-Toulouse, Julien Bétaille, maître de conférences en droit de l’environnement, dénonce la piètre qualité de l’évaluation environnementale des grands projets en France.

Le parc aquatique a confirmé samedi avoir effectué auprès du ministère de la Transition écologique une demande de transfert de ses deux dernières orques vers un parc de Kobe. Une requête rejetée ce lundi 25 novembre par Agnès Pannier-Runacher.

Le tribunal administratif s’est penché ce lundi 25 novembre sur le fond du dossier environnemental de l’autoroute Castres-Toulouse. La rapporteure publique a confirmé qu’elle ne voyait pas de «raison impérative d’intérêt public majeur» et la défense a mis en avant des arguments économiques.

Menés par la FNSEA, la Coordination rurale et la Confédération paysanne, les agriculteurs entrent dans leur deuxième semaine de mobilisation contre le Mercosur, le traité de libre-échange avec plusieurs pays d’Amérique du Sud, mais aussi les «entraves» et les «normes».

Ce lundi 25 novembre s’ouvre à Busan une ultime session de négociations internationales sur le plastique. Alors que les Etats pétroliers et les industriels de la pétrochimie, qui y voient un juteux débouché, vantent le recyclage, l’Union européenne et la France poussent pour un texte ambitieux.

Les ménages français ont permis le recyclage de 27 % de leurs emballages plastiques en 2023 contre 24,5 % en 2022, selon des chiffres dévoilés ce lundi 25 novembre par Citeo. Un taux qui reste encore insuffisant face à l’objectif fixé par l’Union européenne d’ici à 2030.

Météo-France a placé ce lundi 25 novembre le Puy-de-Dôme, la Saône-et-Loire, l’Allier, la Loire, la Haute-Loire, le Rhône, l’Ain, le Jura et l’Isère en vigilance orange. La SNCF annonce de son côté de nombreuses annulations.

Pro et anti-autoroute ont rendez-vous ce lundi 25 novembre devant le tribunal administratif de Toulouse qui examine plusieurs recours en annulation. Les opposants contestent les arrêtés préfectoraux d’autorisation environnementale donnés au projet au nom d’un «intérêt public majeur».

Alors que le compromis noué à Bakou suscite des critiques et que le montant du nouvel engagement financier est jugé insuffisant, «Libération» revient sur trois pas en avant, qui prouvent que les sommets climatiques restent précieux.

La commune de Glomel, 1 400 habitants, se déchire sur le projet d’extension de la mine voisine. Certains s’inquiètent des nuisances et des risques de pollutions, d’autres se réjouissent de la pérennisation de leurs emplois. Une marche festive a été organisée par les opposants ce samedi 23 novembre.

La huitième et dernière étape 2024 du «Climat Libé Tour», à Montpellier les 13 et 14 décembre, sera dédiée aux énergies. Débat avec Paloma Moritz, masterclass d’Etienne Klein, ateliers… ainsi qu’un concert du rappeur Lord Esperanza et une performance du collectif Maraboutage.

Alors que Paris dénonce la signature de cet accord de libre-échange avec plusieurs pays d’Amérique du Sud, d’autres pays membres de l’Union européenne émettent également leur réserve. A l’inverse, certains y sont favorables. «Libération» fait le point.

Alors que les avocats des personnes contaminées par le pesticide se battent pour faire reconnaître la notion de crime d’empoisonnement, seule une infime partie d’entre elles ont eu accès au fonds d’indemnisation.

Malgré les récentes pluies, les hêtres de la réserve naturelle de la Massane sont victimes d’une mortalité alarmante après trois ans de déficit de précipitations. Le changement climatique percute de plein fouet cet écrin de biodiversité qui est préservé de toute activité humaine depuis cent cinquante ans.

Le nombre de fruits produits sur l’île a diminué de moitié en dix ans. Une situation due en grande partie aux maladies qui frappent certaines cultures, rendant ainsi la population locale dépendante aux importations.

L’Inventaire forestier national mis à jour jeudi 10 octobre fait état d’une mortalité encore accrue ainsi que d’un ralentissement de la croissance des arbres, ce qui affecte un puits de carbone capital.

S’il est trop tôt pour dire si l’objectif de diviser par deux les émissions de CO2 sera tenu, les experts à qui Libé a demandé un premier bilan carbone des JO louent la sobriété en matière de construction et la baisse de la consommation énergétique. En revanche, les voyages en avion des spectateurs plombent l’équation.