Un an après les émeutes de mai 2024, l’archipel ultramarin reste marquée par une répression exceptionnelle. Militarisation, arrestations massives et atteintes aux libertés ravivent les blessures du passé colonial jamais refermé.
L’État de droit est fragilisé par des attaques politiques remettant en cause l’indépendance de la justice. Face à cette dérive, la défense des principes démocratiques devient urgente.