Trois militantes témoignent de l’épuisement physique et moral auquel peut parfois conduire leur engagement. Elles regrettent que ce risque ne soit pas pensé par leurs organisations, et soit donc si peu considéré.
Depuis 2019, le terme est omniprésent dans la société et la littérature académique. Mais il dissimule toute une gamme d’émotions que les personnes sensibles à l’écologie tentent de transformer en moteur d’action.
Face à la violence, à l’injustice ou à l’oubli, la colère peut servir l’émancipation des peuples, mais elle peut se révéler dangereuse si elle provoque de l’impuissance ou pire : du ressentiment.