En annonçant des mesures d’austérité d’une ampleur rare, François Bayrou a fait le choix, non pas de la « responsabilité » et de la « justice », mais du massacre social et écologique du pays. Le tout, en préservant les plus aisés.
Face à la crise budgétaire, le premier ministre défend deux plans et des économies partout. La cure d’austérité de 43,8 milliards crispe toutes les oppositions qui évoquent déjà la censure.