Esmée*, une occupante des anciennes casernes Beaumont, à Tours, transformées en une grande Maison internationale populaire, raconte sa mise en place, avec ses difficultés humaines et organisationnelles.
À chaque débordement dans un cadre festif, les projecteurs médiatiques se braquent sur la jeunesse venue des périphéries. Entre fantasme médiatique et héritage colonial, cet imaginaire a la peau dure.
À Toulouse, l’École de théâtre universelle – qui propose une formation spécifique pour des personnes sourdes en voie de professionnalisation – se trouve dans une situation précaire en raison d’un vide juridique et d’un financement public défaillant.