Depuis 2019, le terme est omniprésent dans la société et la littérature académique. Mais il dissimule toute une gamme d’émotions que les personnes sensibles à l’écologie tentent de transformer en moteur d’action.
Face à la violence, à l’injustice ou à l’oubli, la colère peut servir l’émancipation des peuples, mais elle peut se révéler dangereuse si elle provoque de l’impuissance ou pire : du ressentiment.