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Annonces légales - Marchés publics - Ventes aux Enchères


Publié le 23.02.2025 à 22:30

Depuis le 1er janvier dernier, Benjamin Girerd-Chanet a pris officiellement ses fonctions de président de la Jeune chambre économique de Bourgoin-Jallieu et sa région, pour un mandat d’un an.

Benjamin Girerd-Chanet © DR
Benjamin Girerd-Chanet © DR


Business analyst achats au sein du groupe King Jouet, Benjamin Girerd-Chanet a rejoint la Jeune Chambre économique en 2015. Il a déjà occupé divers postes au sein de l’association, contribuant à différents projets, tels que le World Clean Up Day et à l’organisation de différents congrès. Pour cette mandature, il souhaite accompagner les membres de l’association dans leur développement de compétences. Ses priorités sont d’ « accompagner la montée en compétences des jeunes membres en s’appuyant notamment sur des formations, afin de préparer l’avenir de l’association, de développer des actions réalisées par des observateurs avant qu’ils deviennent des membres officiels et de mettre en place une méthodologie efficace pour attirer de nouveaux observateurs au sein de la JCE de Bourgoin-Jallieu ».

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Publié le 23.02.2025 à 22:28

Lors de l’assemblée générale en date du 11 février dernier, Me Éric Hattab, âgé de 51 ans, a été élu président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) Grenoble Dauphiné. Seul candidat en lice, il a succédé à cette fonction à Me Hervé Gerbi, qui avait démissionné en octobre dernier de la présidence du Crif Grenoble Dauphiné, pour être candidat à l’élection législative partielle sur la première circonscription de l’Isère, qui s’est déroulée en janvier dernier.

Me Eric Hattab © DR
Me Eric Hattab © DR


Avocat inscrit au Barreau de Grenoble depuis 2006, Me Éric Hattab a également été membre de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra). Il présidait jusqu’ici le comité de collecte de dons du Fonds social juif unifié (FSJU) à Grenoble. Depuis octobre dernier, l’intérim de la présidence du Crif Grenoble Dauphiné était assuré par Me Jean-Luc Médina, qui conserve la vice-présidence statutaire du Crif, ainsi que la présidence régionale du FSJU. À noter que lors de l’assemblée générale les anciens présidents Yves Ganansia et Hervé Gerbi ont été promus présidents d’honneur par acclamation.

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Publié le 23.02.2025 à 22:24

Cédric Moulart a été récemment nommé directeur des Galeries Lafayette de Grenoble.

Cédric Moulard © DR
Cédric Moulard © DR


Riche de douze années d’expérience dans l’univers du Retail, Cédric Moulart était directeur régional au sein du réseau Orchestra-Premaman depuis trois ans. Précédemment, son parcours professionnel lui a permis d’évoluer sur plusieurs postes de directeur de magasin à Grenoble, à Lyon, à Valence et à Annemasse. Il a par ailleurs occupé plusieurs postes de direction régionale au sein du réseau Célio dans les Haut-de-France et en Auvergne-Rhône-Alpes.

Sur sa feuille de route, figure la poursuite de la mise en œuvre des objectifs stratégiques définis par la Société des Grands Magasins depuis l’acquisition des sept Galeries Lafayette il y a plus de deux ans. Ainsi, de nombreux projets devraient prochainement voir le jour pour dynamiser la surface de vente, avec entre autres l’arrivée de Decitre au quatrième étage du bâtiment.

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Publié le 23.02.2025 à 22:21

Le 1er février dernier, Léa Thébault a été nommée directrice de l’agence Corporate Montagne, de la Caisse d’épargne Rhône-Alpes, succédant à Laurent Micol.

Léa Thébault © Aymeric Guittet
Léa Thébault © Aymeric Guittet

Diplômée d’un master 2 en ingénierie économique spécialisé en diagnostic des entreprises (DEE), elle a rejoint la Caisse d’épargne Rhône-Alpes en 2016 en tant que gestionnaire de clientèle entreprises à Lyon. En 2018, elle évolue vers un poste de chargée d’affaires entreprises au sein de l’agence Montagne à La Motte-Servolex où elle gère un portefeuille grands comptes. La nouvelle directrice de l’agence Corporate Montagne devient référente de la Communauté Montagne de la Caisse d’épargne Rhône-Alpes. Dans ses nouvelles fonctions, Léa Thébault gère une équipe de deux chargés d’affaires entreprises, dont les missions concernent les groupes hôteliers et fournisseurs de la montagne, dont les sociétés de remontées mécaniques. Elle a aussi pour mission d’accompagner les clients dans la réalisation de leurs projets et le développement de leur activité, de les conseiller sur des sujets d’analyse financière ou des services adaptés tels que l’épargne, les flux, les financements simples ou structurés.

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Publié le 21.02.2025 à 15:55

La Chambre régionale des comptes d’Auvergne-Rhône-Alpes a contrôlé les actions de communication de treize collectivités locales sur cinq ans, dont la Ville de Grenoble et la Région Aura.

De 2018 à 2022, les dépenses en communication des treize collectivités contrôlées (dont la Ville de Grenoble et la Région Aura) ont progressé de 30 % ! Le rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC), publié le 17 février dernier, indique qu’en cumulant l’ensemble des dépenses de communication, leur montant annuel est compris entre 30 et 50 euros par habitant. « Les supports utilisés se sont diversifiés et la communication digitale s’est beaucoup développée, alors même que les magazines papier étaient conservés », souligne également Barbara Falk, la nouvelle présidente de la CRC d’Aura, dont les magistrats ont été attentifs « aux dépenses cachées dans d’autres lignes budgétaires », durant leurs contrôles. Dans le détail, la CRC pointe notamment le choix politique de visibilité de la Région Aura, entre 2018 et 2022, qui a conduit à l’affiche obligatoire du logo de la Région pour les organismes bénéficiant de subvention (pour un montant de 5,60 M€), sur les bus (3,50 M€), les trains (4,60 M€) et sur les minibus des associations sportives (15 M€). Les magistrats relèvent également que la Ville de Grenoble a repensé les modalités de distribution de son journal municipal, en réduisant le tirage de 80 %.

Implication des élus

Le thème de ce rapport, réalisé pour la première fois, a été choisi suite à une consultation menée auprès de citoyens de la région. Si la répartition des actions de communication évolue d’une collectivité contrôlée à l’autre, le rapport de la CRC souligne la proximité entre la communication institutionnelle et la visibilité politique du maire ou du président, « à travers leur forte présence dans les magazines de ces collectivités ou des événements spéciaux, comme Grenoble capitale verte en 2022 ou l’accueil du Tour de France par la Région en 2023 », indiquent les magistrats de la CRC. Ils constatent d’ailleurs que la direction de la communication est bien souvent rattachée au cabinet politique, ce qui est contraire à la réglementation qui la place au sein des services. « Le contrôle budgétaire de la communication n’est pas assez partagé avec les assemblées délibérantes, notamment à Grenoble, et aucun engagement n’est avancé dans ce sens », indique Barbara Falk. Outre ces recommandations, le rapport de la CRC pointe également certaines irrégularités en matière de commandes publiques « pour des sondages politiques, l’impression de journaux ou l’achat d’espaces publicitaires », indiquent les magistrats.

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Publié le 21.02.2025 à 15:50

De passage en Isère, le président du Medef a livré son analyse sur les crispations économiques, commerciales et budgétaires qui affectent les entreprises françaises.

ECM Technologies, Verkor, Photoweb ou Vicat… Lors de sa visite en Isère, le 13 février dernier, Patrick Martin a eu l’occasion de visiter plusieurs entreprises majeures du département, « des pépites qui représentent une forme du génie industriel français », a-t-il commenté. Mais sur un territoire également éprouvé par des fermetures et des plans sociaux, dans l’industrie chimique notamment, le président du Medef a aussi livré son « inquiétude de voir le pays sombrer dans une nouvelle phase de désindustrialisation ». « Si la France et l’Europe ne musclent pas leur jeu en termes de compétitivité, de stabilité des prix de l’énergie et d’assouplissement du cadre réglementaire, c’est un risque de fermeture en cascade qui se profile », a-t-il détaillé. Même s’il « comprend que des grandes entreprises internationales envisagent d’aller chercher de la rentabilité à l’étranger », Patrick Martin estime cependant qu’il n’y a pas de « fatalité au décrochage économique français européen ».

Croissance et simplification

Aussi, prenant l’exemple de l’Espagne, du Portugal, de l’Italie ou de la Pologne « qui font preuve d’une santé remarquable », le patron des patrons français a plaidé pour « renforcer l’attractivité, la compétitivité et les investissements pour retrouver le chemin de la croissance en France », à contresens, selon lui « des choix budgétaires réalisés par le gouvernement et le parlement ». Évoquant la contribution exceptionnelle des 500 plus grands groupes qui devrait rapporter 7,8 milliards d’euros aux finances publiques en 2025, avant de disparaître en 2026, Patrick Martin a regretté « une mauvaise réponse au vrai problème du déficit budgétaire » et espère que le projet de loi de finances pour 2026 s’attaquera « enfin au vrai sujet de la réduction de la dépense publique ». Dans la perspective d’une intensification de la guerre commerciale entre la Chine et les États-Unis et de l’obsession douanière du président américain Donald Trump, le président du Medef a estimé que pour que « l’Union européenne reste dans le match », elle devait « aller dans le sens de la simplification pour jouer à armes égales avec les concurrents étrangers ». « Sur les directives européennes de taxonomie et du reporting extra-financier – des monstres technocratiques – le calendrier et la méthode sont inquiétants », juge-t-il. Patrick Martin et Sophie Sidos, la présidente du Medef Isère, ont donc appelé de concert à l’allégement de la CSRD et à la suppression de la CS3D.

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Publié le 21.02.2025 à 15:47

Deux jours après l’attaque à la grenade dans un café de la ville sur fond de règlement de comptes, le ministre de l’Intérieur a livré à Grenoble sa feuille de route contre le trafic de stupéfiants.

>Le lieu de l’annonce n’avait pas été laissé au hasard ! Ce déplacement à Grenoble de Bruno Retailleau, le ministre de l’Intérieur, était prévu « depuis plusieurs semaines », pour venir présenter dans la capitale des Alpes sa doctrine en matière de lutte contre le narcotrafic, tant la ville subit depuis plusieurs années les effets délétères du trafic de drogues : multiplication des points de deal, règlements de comptes entre bandes rivales, fusillades et insécurité grandissante. L’attaque à la grenade, le 12 février dernier, dans un café du quartier Village olympique, faisant douze blessés dont deux graves, a démontré un surcroît de violence dans le mode opératoire. « Toutes les limites sont désormais dépassées », a dénoncé Bruno Retailleau, deux jours après les faits, soulignant un recours à des « techniques de guerre ».

« Une menace existentielle »

En s’appuyant sur les résultats d’une commission d’enquête parlementaire du Sénat sur le narcotrafic, Bruno Retailleau a rappelé que les saisies de cocaïne sont passées de 23 tonnes en 2023 à 47 tonnes en 2024, « sans évolution du prix de vente, donc sans effet sur la rareté de l’offre », a-t-il estimé. « Un tsunami blanc sur tout le territoire » qui représente une « menace existentielle » pour le ministre, en raison de sa « capacité à corrompre des agents du service public », dans le secteur judiciaire, répressif ou carcéral, notamment. Face à ce constat, le ministre a présenté « une nouvelle stratégie », qui sera examinée prochainement au parlement dans le cadre d’une proposition de loi. Pour « faire du combat contre le narcotrafic la même chose que face au terrorisme », il prévoit la création d’un Parquet national spécialisé, de tribunaux dédiés et d’un état-major réunissant les services de renseignement, d’enquête, les douanes et les services des impôts. « L’autre lame de cette doctrine, c’est une nouvelle approche judiciaire et sécuritaire », a indiqué le ministre, qui entend multiplier les « coups de filet » en s’attaquant aussi au blanchiment. « Donner un coup de pied dans la fourmilière avec les opérations places nettes, c’est bien. Mais c’est quand les opérations sont préparées avec le volet judiciaire qu’elles fonctionnent le mieux », estime-t-il. Enfin, l’annonce de 16 postes de policiers supplémentaires à Grenoble n’a pas convaincu Éric Piolle, le maire de Grenoble, avec qui le ministre a pu s’entretenir durant son déplacement. « Depuis 2014, sept ministres de l’Intérieur m’ont promis 200 postes, j’ai donc une certaine circonspection », indique celui qui estime que seule « la légalisation du cannabis permettrait de déstabiliser le narcotrafic ».

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Publié le 21.02.2025 à 11:19

La Goule Benèze, à Villard-de-Lans

En plein cœur de Villard-de-Lans, se trouve une enclave charentaise aux douces fragrances iodées. Ouverte il y a sept ans par le chef Joël Petit, La Goule Benèze (« le visage heureux » en patois charentais) vous embarque dans son ambiance bistrot de bord de mer. D’une grande simplicité, le cadre affiche résolument, par le biais de clichés du bassin d’Arcachon notamment, sa volonté de vous entraîner vers d’autres rivages, là-bas vers l’ouest. La carte propose d’ailleurs, dès l’entrée, une soupe de poisson, un farçou aux herbes et son jambon de Vendée, cette mouclade saintongeaise ou ce ragoût de cagouilles charentais. Les cagouilles, nom charentais des escargots, fourrés d’une farce relevée, nagent dans une sauce complexe. Quant à la mouclade, avec son curry ses oignons et sa crème, elle ravira les amateurs.

Chaud pour une chaudrée ?

Pour continuer avec des produits de la mer, optez pour cette chaudrée, forte de quatre sortes de poissons, d’une grosse crevette et de quelques moules. Mais La Goule Benèze propose également de la viande avec, par exemple, un foie de veau au vinaigre de framboise, une cuisse de canard confite au vin d’épices et à l’orange, ou cette formidable cassolette d’agneau en croûte au beurre d’escargot. Longuement mijoté, l’agneau se fait doux et fondant, superbement épicé. Servie avec plusieurs accompagnements au choix, dont un délicat aligot, cette cassolette est un plat régalien de la maison et Joël Petit ne peut l’enlever de la carte sous peine de créer une émeute. Les desserts échappent évidemment aux saveurs iodées, mais la lame de chocolat noir et sa crème anglaise n’en reste pas moins un joli moment de gourmandise. Courte, la carte des vins nous balade à l’Ouest avec un sauvignon de chez F. Gacon à 25 euros ou un madiran de chez Alain Brumont à 36,50 euros. Aux dernières nouvelles, l’océan ne serait pas, encore, arrivé dans le Vercors…

DEMANDEZ L’ADDITION
Cadre :
d’une simplicité biblique, des tables recouvertes d’un film plastique, des murs blancs, une cuisine ouverte.
Menus : carte.
Le chef : seul en cuisine et en salle, le chef Joël Petit, après avoir travaillé dans l’Aveyron, est tombé amoureux du plateau du Vercors et a décidé de faire découvrir à ses habitants la cuisine des Charentes dont il est originaire.
Carte des vins : bien sage, des vins respirant les embruns et prédestinés à accompagner la cuisine du chef. Tarifs très amicaux.
Pain : portion.
Café : léger, servi avec son petit gâteau.

La Goule Benèze : 21, rue du Docteur-Bévière, à Villard-de-Lans.
04 76 87 11 80. Environ 18 couverts. Fermé le mardi.

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Publié le 21.02.2025 à 11:15

Cette balade de proximité alterne entre un long cheminement en forêt et un environnement dépouillé, avant de s’achever par un magnifique point de vue.

La première étape consiste à remonter la piste de ski de Casserousse pour la partie la plus raide et la plus ingrate de la balade… mais elle n’exige qu’une petite demi-heure et on peut, au fil de cette montée, évoquer les Jeux olympiques de Grenoble en 1968, en songeant que Jean-Claude Killy remporta la première de ses trois médailles d’or à quelques mètres des pentes qu’on surmonte !

Vers le lac des Pourettes

En atteignant le haut du mur, on remarque, sur la gauche, un panneau indiquant le lac des Pourettes, au pied de la Grande Aiguille. C’est l’itinéraire à prendre. En quelques mètres, on quitte le monde de la montagne aménagée pour pénétrer dans un espace naturel qui a gardé toute son authenticité. La marche se déroule sur un parcours vallonné sans grande difficulté, mis à part le franchissement de petits ressauts et plusieurs passages étroits entre les arbres. Au lendemain d’une chute de neige, le paysage offre l’image féerique d’un environnement feutré, velouté, au sein duquel seul le crissement des cristaux sous les raquettes trouble le silence. Par-dessus les branches des arbres, on aperçoit la ligne de crête des plus hauts sommets de Belledonne et des vues rapprochées sur la cime toute proche du Grand Colon. Une brusque mais courte descente amène à la cuvette de verdure qui protège les eaux du lac des Pourettes. La beauté du cadre mérite un arrêt. Cet espace peut marquer le terme de la balade, avant un retour sur le parking par le même itinéraire. Cependant, nous conseillons de prolonger la marche, au moins pendant un quart d’heure, jusqu’au débouché du vallon conduisant à la brèche sud des lacs Robert dont on devine l’échancrure au-dessus. On pourra ainsi profiter d’un paysage insolite, sauvage, dépouillé de végétation, qui contraste avec le cheminement qu’on vient de suivre.

Pour aller plus loin

Les plus courageux rejoindront sans problème la brèche malgré quelques passages raides et en devers et pourront ainsi profiter d’un des plus beaux sites de la chaîne de Belledonne, un site qui inspira les peintres dauphinois au XIXe siècle. Un magnifique faisceau de pointes, d’aiguilles, de clochetons s’étire du Grand Van au Grand Sorbier et surplombe la cuvette des lacs Robert dont les eaux restent figées jusqu’au début du mois de mai. On remarque, face à la brèche, la trouée du col des Lessines et la fine arête rocheuse de la Bottine. On peut encore prolonger la balade en descendant jusqu’aux rives des lacs Robert avant de s’engager en direction du Clos des Vernes, au gré de sa propre motivation, sur le parcours du GR de Belledonne (marques rouges et blanches) qui mène au refuge de la Pra. Tout au long de la progression, on bénéficie de superbes échappées sur les pentes du Grand Sorbier avec, en toile de fond, les cimes du Grand Colon et de la Grande Lance de Domène. En période estivale, on peut revenir par la station du Recoin en passant par le pied du couloir de Casserousse et le col de la Balme.

Difficulté : 3/4.
Temps aller-retour : 4 heures 30.
Dénivellation cumulée : 650 m.
Carte de référence : carte IGN Grenoble-Chamrousse 3335 OT.
Balisage : panneaux de randonnée, marques jaunes et vertes.
Départ : du parking de Casserousse, à 30 kilomètres de Grenoble, en passant par Uriage, Saint-Martin-d’Uriage et les Seiglières (panneaux d’information et de randonnée).

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Publié le 21.02.2025 à 11:10

Battus dimanche par Angers (3-2) en Coupe de France de hockey sur glace, les Brûleurs de Loups ont perdu leur deuxième finale cette saison, quelques semaines après celle de Continental Cup (la deuxième Coupe d’Europe). Mais ils entendent vite tourner la page.

Alors qu’ils dominent la saison régulière de Ligue Magnus de la tête et des épaules – ils sont assurés de finir premiers, alors que les play-offs débutent le 28 février – les Grenoblois n’ont toujours pas garni leur armoire à trophée. « Une deuxième finale perdue cette année, ça met toujours une claque. Mais on a la chance de rejouer tout de suite derrière (NDLR : ils affrontaient Chamonix mardi soir, soit deux jours après la finale). Même s’il n’y a pas d’enjeu comptable, on veut montrer qu’on sera là dès les quarts de finale des play-off », confiait le défenseur Pierre Crinon. L’attaquant Christophe Boivin abondait dans le même sens : « Il y a eu de la déception, mais il faut regarder devant. On sait comment gagner des matchs, on l’a prouvé depuis le début de saison. On veut se créer des beaux moments, plutôt que de se lamenter sur notre sort. »

Des détails qui changent tout

Le meilleur pointeur de Ligue Magnus regrettait que les Grenoblois aient « donné trois buts » à Angers lors de cette finale de Coupe de France, et n’aient « pas été assez compacts défensivement ». Pour Sacha Treille, cette finale s’est « jouée sur des détails, et peut-être un manque d’opportunisme lors du premier tiers-temps. »
Mais le capitaine grenoblois ne craint pas un impact psychologique négatif après avoir encore perdu un match couperet : « Cela va nous rendre plus fort, parce qu’on ne veut plus voir nos adversaires soulever une coupe. »

Étape par étape

Pour remporter le titre de Ligue Magnus qui leur échappe depuis deux saisons, les BDL pourront s’appuyer sur ce qui a fait leur force jusqu’ici : « Un groupe très homogène avec quatre lignes de qualité, et davantage de profondeur d’équipe que l’an passé », selon Sacha Treille. « Il ne faut pas tout changer parce qu’on a perdu une finale. On doit rester dans la lignée de la saison régulière, en s’appuyant notamment sur un jeu bien physique », estime Pierre Crinon. Quoi qu’il en soit, pas question de mettre la charrue avant les bœufs pour Sacha Treille : « Bien sûr qu’on vise le titre. On a de bonnes chances d’y arriver si on continue sur notre lancée. Mais il faut y aller étape par étape, à commencer par les quarts de finale. »

REPÈRES
Les Grenoblois ne connaîtront sans doute leur adversaire en play-off qu’à l’issue de la dernière journée. À deux journées de la fin, Nice, Chamonix, Briançon et Cergy-Pontoise se tenaient en trois points, et pouvaient donc tous finir 8e. Seule certitude : les Grenoblois auront l’avantage de la glace sur l’ensemble des tours de play-off.

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