Le souhait de Salah Abdeslam, seul survivant des commandos du 13 novembre 2015, de s’engager dans une démarche de dialogue avec des victimes pose de lourdes questions en matière de légalité, d’opportunité et de philosophie pénale. Une réflexion est engagée au parquet antiterroriste.
Parmi les nombreuses personnes rassemblées place de la République ce jeudi pour rendre hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015, beaucoup de jeunes sont venus se recueillir.
La requérante, une femme née en 1981, a dû avorter aux Pays-Bas en 2020 en raison de « l’incertitude » régnant à l’époque dans la législation. Elle était enceinte d’un fœtus atteint de trisomie.