Le futur est là, non plus devant nous mais autour de nous. C’est pourquoi nous nous attelons à faire mieux que de la prospective : de la prospective du présent.
RSS | Usbek & RicaLe futur est là, non plus devant nous mais autour de nous. C’est pourquoi nous nous attelons à faire mieux que de la prospective : de la prospective du présent.
C’est le titre du livre publié ce jeudi 9 octobre en co-édition par Usbek & Rica et Robert Laffont. Un ouvrage collectif de la collection Les Nouvelles Lettres Persanes, sous la direction de Serge Tisseron, qui propose des perspectives originales pour mieux appréhender un sujet sensible au cœur de l’actualité.
Les déchets radioactifs nous obligent à poser aujourd’hui la question du très long terme, et questionnent la capacité des générations futures à réévaluer les choix du présent. Leur diversité pose également un certain nombre d’interrogations, et une difficulté à évaluer leur impact territorial. Des questions qui seront au cœur du débat public lors de la 6ᵉ édition du Plan national de gestion des matières et déchets radioactifs (PNGMDR) organisé par La Commission nationale du débat public (CNDP) du 10 octobre 2025 au 10 février 2026.
Et si, plutôt que d’être élus ou nommés, tous les ministres et les députés étaient tirés au sort parmi l’ensemble de la population française ? Dans le contexte politique actuel, l’hypothèse peut paraître farfelue. Parce qu’elle s’inscrit dans le cadre d’une réflexion plus large sur les vertus du tirage au sort en démocratie, nous l’avons explorée malgré tout.
Après le monde végétal en 2023 et les relations humain-machine en 2024, le Grenier à sel d’Avignon accueille cet automne une exposition qui interroge le règne animal et ses modes spécifiques de communication. Ludique et contemplatif à la fois.
Une utilisation de l'intelligence artificielle destinée à réduire les temps traditionnellement longs de la recherche et développement doit-elle être encouragée ? On s'est posé la question à travers deux scénarios qui projettent les effets d'une telle pratique dans le futur.
Longtemps territoire des idées masculinistes et d’extrême-droite, le culturisme est aujourd’hui investi par la gauche en ligne. Entre vidéos d’entraînements, memes antifascistes et recommandations littéraires, des adeptes des gros muscles revendiquent leur amour du gain de masse associé au militantisme. Une bataille numérique sous protéines qui assure que le sport, lui aussi, est politique.