Brésil, 1977, « une année semée d’embûches ». Marcelo (Wagner Moura), au volant d’une Coccinelle jaune, se rend à Recife après une halte ubuesque dans une station-service où un cadavre en putréfaction gisait sous un carton et après avoir été détroussé de son paquet de cigarettes par des policiers. Il s’installe dans une résidence aux allures de communauté hippie, placée sous la houlette de la bienveillante, parfois envahissante, Dona Sebastiana (Tânia Maria). On apprend
Le jugement politique s’inscrit dans une certaine temporalité politique. Et cette dernière relève moins d’une chronologie que d’une typologie. Quel type de moment vivons-nous actuellement aux États-Unis ? Notre système de gouvernement connaît-il un mouvement de balancier, une transformation existentielle ou quelque chose entre les deux ? Neuf mois après le début du second mandat de Donald Trump, les Américains sont confrontés à trois réponses très différentes à ces questions.
Après Premières classes (Kateryna Gornostai, 2025) et L’Invasion (Serguei Loznitsa, 2024) faisant suite à Donbass (2018) du même réalisateur, le public souhaitant retrouver en salles les conflits majeurs de l’époque pouvait, cet automne, découvrir Put Your Soul On Your Hand And Walk (Sepideh Farsi, 2025), documentaire reposant sur les échanges par visioconférence entre la réalisatrice et la jeune photographe gazaouie Fatma Hassona, victime d’une frappe israélienne le 16 avril 2025,